Friday, September 12, 2008
Gestionnaire : De toute façon, vous avez encore du temps pour abandonner des cours ? Comme ça, si vous voyez que deux, c'est trop pour vous, lâchez-ça pis on n'aura pas besoin de payer...
Pour illustrer mon point, voici une jolie citation du cours d'hier soir.
Le prof parle des différents dogmes du droit, et il en vient à "nul n'est censé ignorer la loi".
Vous connaissez tous le principe : ça veut dire qu'en common law, le fait que vous ne saviez pas que vous commettiez une infraction n'est pas une excuse ou une défense. Ce que nous explique avec difficultés et hésitations le prof, avant de se replonger dans ses notes et de dire :
"Donc c'est ça... nul n'est tenu d'ignorer la loi."
Tuesday, September 09, 2008
Avez-vous vu ça ? Moi, le numéro de Stéphane Rousseau qui imite Yvon Deschamps m'a jetée par terre. Il était tellement bon ! C'était incroyable.
J'ai aussi beaucoup aimé André Sauvé, qui terminait par la finale du monologue "Le bonheur". Ça a fait changement de son énerguménage auquel il nous a habitués dans 3600 secondes d'extase...
Monday, September 08, 2008
Évidemment, je n'ai jamais demandé le service internet.
Je saisis mon téléphone et je compose le 310-BELL. Au bout d'environ 5 ou 6 appels, pendant lesquels le système me met en attente pour ensuite me raccrocher au nez, je finis par parler à une représentante de la téléphonie. Comme on me dit que c'est le service internet qu'on a ajouté, elle dit devoir me transférer aux responsables de l'internet. J'accepte après qu'elle m'ait assurer qu'on me raccrocherait pas encore au nez.
Je parle à une représentante de l'internet, qui n'a ni mon nom, ni mon numéro, ni mon adresse (l'ancienne ou la nouvelle) dans son système. Comme on me propose dans la lettre des forfaits interurbains, elle dit devoir me transférer à la téléphonie.
Euh, NON ! Je lui explique que c'est la téléphonie qui m'a renvoyé à elle. Elle est désolée, elle ne peut rien faire, mais elle m'assure que je n'ai pas de compte internet.
Je raccroche et je compose le numéro indiqué dans la lettre de promotion.
C'est le numéro du service de promotion de Bell.
Quand on me répond, j'explique qu'il y a deux problèmes. D'abord, on me dit que j'ai ajouté un service alors que ce n'est pas le cas.
Oh, ça c'est normal, de me répondre le représentant.
Quoi, c'est une habitude de Bell ?
Oh, vous savez, c'est le marketing. C'est pour que vous nous appeliez.
Calvaire...
J'ai pris la décision de terminer mon certificat en droit; ensuite, je verrai ce que d'autres peuvent me proposer.
Ça peut difficilement être pire que l'hypocrisie et les power trips qui remplissent tout l'espace, ici.
Ta.bar.nak.
Some time ago, Raiontzukai, Anémone, S and I realized neither of us had ever had cheese fondue and decided we should organize one. This took place Saturday night at Raiontzukai's and my new home. (Or something. I'm never exactly sure how to articulate that kind of phrase.)
S's kids were there as well as Agnan (my former upstairs neighbor who took out my garbage and Anémone's father) and G, the 12-year-old daughter of friends of Agnan's. We had a blast, but I didn't like the fondue all that much. We had four difference kinds of bread and quite a number of vegetables, and against all odds, I liked the vegetables better with the cheese. Maybe it was the cheese mix we got, but I thought it tasted too much like wine - I don't know, I wasn't impressed.
Anyone has tips?