Saturday, August 25, 2007

Okay, so I bought ibuprofens and took two of them immediately. (Do those induce drowsiness? Because I did spend a few hours yawning. And I never, ever take anything stronger than regular strength acetaminophen...) The pain is now at a more appropriate and bearable level, and it better sort itself out because damn it, never in my life have I in any way wished to wind up spending hours waiting in a hospital because an idiot rode a freaking bike into me.

Anyway, I should tone the bitching down, so here are two links you should visit if you could use a laugh or two: Pachelbel Rant (thanks to Ananas-au-carré; and I dare each and every one of you not to have Pachelbel's Canon stuck into your head after watching that) and Fiona Apple's Not About Love Video (I've had the CD for almost two years now and I just can't seem to get tired of watching this one; and it's also very entertaining/disturbing to those who know me because she and I definitely have very alike facial expressions...).

Yay happiness.
Somehow when I got up, the pain in my ribcage had at least doubled.

I am very, very fucking pissed.

It better pass over the course of the day.

Friday, August 24, 2007

It's not that I'm troubled all that easily, folks, it's that troubling things happen to me all the time.

When the weather is nice, because it's the first bus that I can catch when I finish work, because I enjoy walking and also because walking is pretty much the only physical activity I'm in any way capable of performing at the moment, I take a bus that takes me to the terminal, leaving me to walk about 15 minutes to get home.

I was on my way back this afternoon, walking, lost in my thoughts, when I suddenly noticed this Jeep stopped in the middle of the street. When I got close enough, the lady in the driver's seat, whom I'd never seen in my entire life, leaned towards the passenger's window and said: "Excuse me? You live all the way down there, on X Street, don't you?"

I was puzzled; it wasn't the street I live on, but it was still one that's very close, so I said yes.

"Do you want a ride?", the lady asked. "I live there too, and I see you walking every day."

I mean, that sort of thing just doesn't happen, EVER, people.
Ah, câline !

Quand j'étudiais à Montréal, j'avais été très fâchée de constater que mon université était la seule à ne pas me permettre le paiement de mes frais de scolarité par AccèsD.

Comme je suis à nouveau une étudiante ayant des frais de scolarité à payer, je me logge ce matin dans AccèsD pour ajouter ma nouvelle université (TEU, pour The Evil University) à la liste de mes factures.

Je sélectionne "université" et je lance la recherche. Je fais ensuite défiler les résultats pour arriver àTEU, et qu'est-ce que je ne vois pas en chemin, innocemment parmi les résultats ?

Mon ancienne université.

Je me sens niaisée...

Si je partage un seul cerveau avec Tweety, peut-être partage-je un corps unique avec Maridi.

Car après avoir été blessées simultanément au genou, à présent, alors que j'ai les côtes fêlées, Maridi a une entorse cervicale à la suite d'un accident de voiture.
Ce qui entraîne la quote du jour suivante : quand une de nos profs de danse a demandé de nos nouvelles, Maridi lui a répondu que nous étions toutes deux "blessées suite à un accident où un cave nous a simplement rentré dedans en innocent".

Bon, voici mon mea culpa public à l'intention de Mel, dont j'ai tenté inconsciemment et en vain de me débarrasser hier soir !

Le party de shortcake aux fraises (d'ailleurs particulièrement joli, le shortcake; moi et R sommes juste impressionnantes, même si on fout de la crème fouettée un peu partout quand on décide de se faire prendre en photo au moment de la fabrication dudit shortcake) était organisé par moi et R. L'idée originale lancée au début de l'été était de R; par conséquent, pour moi, c'était évident que ça ne pouvait avoir lieu que chez elle. Comme je travaille avec Mel et Raiontzukai, c'est moi qui me chargeais de les inviter, et... il m'est juste jamais venu à l'esprit de préciser à quel endroit ç'aurait lieu !

Comme Raiontzukai est mon taxi personnel depuis, genre, ma deuxième journée de travail ici, ça n'a pas posé problème. Par contre, la pauvre petite Mel, qui ne doit pas habiter à plus de 5 minutes de chez R et qui se remet d'une gastro, a pris la peine de se rendre chez moi (un trajet de 20 minutes) pour se river le nez à une porte close avant de déduire que c'était sans doute chez R qu'elle devait nous retrouver...

Alors voilà ! Je suis une personne horrible ! Lapidez-moi !

Thursday, August 23, 2007

As part of your daily So, What's Hurting Today, Quartz? update, I will tell you that while the pain in my ribs has remained pretty much the same all throughout the week, it is still freaking annoying when I sneeze or laugh. I'm actually beginning to fear lunch break at work because I know I will be laughing. I guess it's a good thing my workload has forced me to skip or shorten my lunch breaks this week.

Anyways.

R and I have organized a Strawberry Shortcake Dinner Party for tonight, and because I plan for it to be fun, and mostly, funny, I actually just took pain killers to help me make it.

That would classify amongst "pathetic".
So trip to Tunisia takes place in two weeks now.

I only just realized it, so I took out my huge luggage bag (just so I can go hyper simply from seeing it in the corner of my room everyday) and wrote down my packing list.

I love when that sort of thing begins to feel tangible.
En Outaouais, et c'est très impressionnant, les voitures trop avancées dans une intersection reculent pour que les piétons qui traversent ladite intersection ne soient pas obligés de les contourner.
Quand j'ai suggéré à R d'organiser un party shortcake aux fraises cette semaine (car oui, en Outaouais, on s'organise des party shortcake en plus des party salades et daiquiri...), j'ignorais que je devrais ramer à ce point pour le mériter....

Je suis actuellement partiellement sortie de mon jus. Et je touche du bois. J'ai pris presque tout mon temps de lunch, aujourd'hui.

Wednesday, August 22, 2007

Je vous mets au défi de ne pas éclater de rire quand vous recevrez un coup de fil de l'Association de basketball en fauteuil roulant...
Réponse : non, pas de temps supp !

Mais tout un rush en vue demain pour compenser.

Les paris sont ouverts : temps supp ou pas temps supp ce soir ?

Tuesday, August 21, 2007

Écoeurement grave.

Incapacité à trouver une position dans laquelle les côtes fêlées ne protesteront pas.

Intense besoin de marche et d'air frais.

Besoin d'un léger coup de pied au cul pour continuer à ramer en débile.

Joie devant les heures supp projetées qui diminuent significativement en quantité.

Okay, faudrait vraiment que tout le monde revienne au travail, là... parce que je fais du temps supp ce soir et que je m'en prédis aussi pour demain....!
After exploring the front and the side of my ribcage, the cracked-rib-related pain has now moved to the back.

If it keeps behaving like it has a personality of its own, I'm going to have to give it a name.

Because I'm absolutely evil, here are two words for you if the company you work for has denied you blog access: Google Reader.

Still can't access comments or template (and it's most likely NOT to happen), but still. I'm on my way to rule the world.

All right, so this girl has officially registered in two Law classes.

I'm a student, damn it.

Destabilizing.

This is what it means to step down your cloud.

Monday, August 20, 2007

Des pensées inspirées par Swan -

C'est l'horizon qui change. Qui change du tout au tout, et qui change tout.

Le vide qui apparaît, et qui jamais ne sera comblé. Comme s'il faisait partie du tout. Le nouveau autant que l'ancien.

Comme un échec.

Pourtant il n'y a aucun doute à avoir; pourtant tout fonctionne presque au quart de tour. Alors ?

Ce sont peut-être les efforts. Que nul n'a vu. Ils ont la même valeur sans témoin - pourtant c'est comme s'ils ne comptaient pas. Parce que personne n'était là - là pour apprécier, applaudir peut-être, ou simplement comprendre. Comprendre ce que ça prend en fait de courage. En fait de désespoir aussi. Et dire "félicitations". Ou juste pour hocher la tête sans dire un mot, puis regarder ailleurs.

Parce qu'ils ne voient tous que le résultat, sans avoir la moindre idée de tout ce qu'il y a derrière, de ce qu'il a fallu pour en arriver là. Les difficultés, les sacrifices, les larmes, le moment où on s'est jeté dans le vide. Et ensuite. Tous les moments qui ont suivi, à continuer d'avancer sans regarder trop loin devant - un pied devant l'autre, voilà, c'est tout - pour s'assurer de ne pas s'effondrer.

C'est la route droite, mais si meurtrière.

C'est tout ça à la fois : l'horizon, le vide, la solitude, la simplicité.

Le tout. Qui se trouve là avant même qu'on sache ce qu'il est et si on en veut. Qui est, tout simplement.

On s'y fait peu à peu, mais pas du tout à la fois.

On est au milieu de tout ça, mais c'est comme si on ne le voyait pas.
Et voilà : depuis cet après-midi, je n'ai plus accès ni à Blogger, ni à Blogspot de mon bureau.

Ça ne signifie pas grand chose; c'était déjà le cas pendant mon stage, et ça ne m'a jamais empêchée de blogger.

Par contre, ça m'empêchera de visualiser vos commentaires avant mon retour à la maison et ça compliquera la mise à jour régulière de mon countdown... tant pis !
(Notez tout de même que suite à un complot où genre PERSONNE est rentré travailler ce matin, je suis en train de pas diner pour terminer un texte supra-urgent que je partage avec ma gestionnaire qui, vu son poste, n'est même pas sensée traduire to begin with...)

(Ça veut quand même dire que je vais quitter plus tôt cet après-midi alors c'est pas trop grave, mais quand même. Tout à l'heure, ma gestionnaire ET la conseillère sont arrivées au même moment à mon bureau pour me donner du travail...)
Suis-je vraiment siiiiii prévisible ???

J : Qu'est-ce qui se passe, Quartz, t'es pas en camisole, aujourd'hui ?
Non ! Non !

Arrêtez de bitcher ! Arrêtez !
Mon moral est pas exactement à 100% aujourd'hui.

Heureusement, je viens de me trouver vraiment, vraiment très cool en déduisant par moi-même la signification d'un acronyme du texte de Mel devant ma réviseure qui fouillait les ressources du net une à une pour essayer de m'aider.

Donc ça va mieux.

Je suis véritablement une déesse, j'ai juste tendance parfois à l'oublier ou à le définir en accordant une importance démesurée à des trucs qui ne devraient pas en avoir. Ce qui fait de moi une déesse fucked up. Peut-être...
Ce matin, je me suis réveillée un peu avant mon cadran, et j'attendais qu'il sonne pour me lever. J'ai même pris la peine de vérifier l'heure sur ma montre.

N'empêche que quand le téléphone a sonné et que j'ai entendu la voix de Mel au bout du fil, j'ai vraiment eu peur que mes yeux m'aient fait défaut et d'être à nouveau en retard...

C'est sans doute la définition même d'un traumatisme.

Sunday, August 19, 2007

Un jour dans ma vie, faudra vraiment que je vois le show du Refuge, parce que selon ce qui passe à la télé ce soir, c'est vraiment m a l a d e.
Voici ce que j'ai mangé pour souper.

Je vous promets que vous voulez essayer.
Mon véritable prénom n'en est pas un à partir duquel on peut tirer un surnom. Si bien que j'ai jamais vraiment eu de surnom de ma vie.

Puis, j'ai emménagé ici, et à la suite d'une faute de frappe, Mel m'en a attribué un.

Et là, plusieurs semaines plus tard, de façon complètement indépendante, Anémone m'a téléphoné, et elle m'a saluée en utilisant exactement le même surnom.

C'est spécial, tout ça.
I won't be seeing my physiotherapist for a while now (hopefully, never again, but we'll see about that when I start jogging again), but I still have to do some muscle work and stretches.

My ribcage barely hurts at all during my day-to-day activities now, but it's still a bitch when I'm lying down - which means I haven't done my muscle reinforcement exercise all week as it required for me to lie on my back. And I just tried my streching exercises, and couldn't finish them.

Wanna bet that by the time my ribs are fixed, my knee will be hurting again?
Interlude girly/fruit/pub


Si vous n'avez jamais eu de rouge à lèvre qui sentait vraiment pas bon, vous ne mesurerez sans doute pas à quel point le nouveau gloss de CoverGirl qui sent les fruits peut me rendre heureuse.

Tout comme d'ailleurs le déo Lady Speed Stick à la pomme verte.

Et tant qu'à être dans une thématique fruitée, j'ai trois autres mots pour vous : Eau de fruit (Fruits & Passion).

Voilà. C'est pas utile, mais fallait que j'en parle !
Parfois, remettre la prise d'une décision à plus tard, c'est vraiment optimal.

Par exemple, j'ai passé la journée de vendredi à être indécise devant l'invitation simili-camping d'Anémone. Finalement, quand j'ai fini par l'avoir au bout du fil (Anémone, pas l'invitation), les plans avaient changé et ç'aurait été plutôt bizarre que je l'accompagne.

Et vous voyez, ça fait de longues semaines que je me demande si je vais chez la coiffeuse avant ou après la Tunisie, si bien qu'aujourd'hui, le décompte en est à 20 jours. Ce qui signifie qu'il ne resterait avant le départ, au maximum, que deux semaines; et c'est pas intelligent de payer un bras pour des mèches que vous scraperez dans l'eau de mer dans moins de 15 jours !

J'aime les trucs qui se règlent d'eux-mêmes !