Friday, December 06, 2019
Pis dans le même ordre d'idée, ce matin, je suis vraiment en beau tabarnak, mais vraiment, vraiment en beau tabarnak, au point que je prendrais une osti de journée de congé pour me calmer si on n'était pas vendredi.
In:
Ramblings
Thursday, December 05, 2019
Ça faisait des années, groupe, mais j'ai encore au bureau une Prise en charge de marde. Ou, plus précisément, je n'ai PAS de Prise en charge, j'ai quelqu'un qui insiste pour se prendre pour ma prise en charge et qui est trop dans le jus pour faire quoi que ce soit à mon niveau.
Pis ça me met en maudit. Je sais bien que c'est totalement incompréhensible pour un paquet de monde, Raiontzukai le premier, qui répond à mon chialage avec des "C'est vrai que ça te dérange, toi, ces trucs-là", qui sont capables de se contenter de faire leur job sans exiger une certaine base de respect et de considération. Ben moi, je suis pas capable. Parce que j'estime que je mérite mieux. Parce qu'une job, c'est juste une job. Je ne revendique pas un milieu de travail parfait dans lequel je suis enveloppée dans de la ouate, non-non, je veux juste qu'on reconnaisse ma foutue présence, qu'on me bullshit pas avec des ostis de phrases creuses destinées à calmer les esprits et qu'on me donne de l'information.
C'est tout. Après ça, ça va me faire plaisir de step up pour contribuer à une équipe dont les rangs sont réduits sous le seuil acceptable et fonctionnel et de foncer dans le changement avec un esprit ouvert en me concentrant sur les solutions envisageables. C'est pas compliqué, saint-sacrament du câlisse.
Mais c'est trop demander. Faque je suis en crisse.
Pis bon, c'est pas mon genre de tourner en bourrique dans mon bureau au lieu de faire passer le message au niveau supérieur. Même si ça donnerait pas grand chose (les phrases creuses, vous vous souvenez?), je pourrais quand même donner mes idées pis obtenir de l'information. Mais dans le cas présent, je ne suis pas la seule concernée et la collègue en cause n'a pas la même détermination que moi, si bien qu'elle veut attendre.
Faque je viens chialer sur mon blog. Nébuleusement parce que je suis remplie d'éthique jusqu'aux oreilles, mes excuses. Mais faut que ça sorte.
Pis ça me met en maudit. Je sais bien que c'est totalement incompréhensible pour un paquet de monde, Raiontzukai le premier, qui répond à mon chialage avec des "C'est vrai que ça te dérange, toi, ces trucs-là", qui sont capables de se contenter de faire leur job sans exiger une certaine base de respect et de considération. Ben moi, je suis pas capable. Parce que j'estime que je mérite mieux. Parce qu'une job, c'est juste une job. Je ne revendique pas un milieu de travail parfait dans lequel je suis enveloppée dans de la ouate, non-non, je veux juste qu'on reconnaisse ma foutue présence, qu'on me bullshit pas avec des ostis de phrases creuses destinées à calmer les esprits et qu'on me donne de l'information.
C'est tout. Après ça, ça va me faire plaisir de step up pour contribuer à une équipe dont les rangs sont réduits sous le seuil acceptable et fonctionnel et de foncer dans le changement avec un esprit ouvert en me concentrant sur les solutions envisageables. C'est pas compliqué, saint-sacrament du câlisse.
Mais c'est trop demander. Faque je suis en crisse.
Pis bon, c'est pas mon genre de tourner en bourrique dans mon bureau au lieu de faire passer le message au niveau supérieur. Même si ça donnerait pas grand chose (les phrases creuses, vous vous souvenez?), je pourrais quand même donner mes idées pis obtenir de l'information. Mais dans le cas présent, je ne suis pas la seule concernée et la collègue en cause n'a pas la même détermination que moi, si bien qu'elle veut attendre.
Faque je viens chialer sur mon blog. Nébuleusement parce que je suis remplie d'éthique jusqu'aux oreilles, mes excuses. Mais faut que ça sorte.
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Ramblings
Tuesday, December 03, 2019
Je suis la plus jeune membre de mon équipe de travail. Mais quand même de beaucoup. Genre que nous sommes deux personnes qui avons moins de 40 ans, et la troisième personne a huit ans de plus que moi. Mais en général, même si je m'amuse beaucoup à ploguer la phrase : "Veux-tu que je te dise quel âge j'avais cette année-là?" quand mes collègues mentionnent l'année où ils ont terminé leurs études, ont été embauché, etc., je n'ai pas beaucoup conscience de l'écart d'âge.
La semaine dernière, je parlais à une collègue qui prendra sa retraite d'ici cinq ans. J'ignore son âge exact, mais je sais bien qu'il y a un bon écart entre nous. Elle me disait qu'elle avait l'intention, quand elle prendrait sa retraite, de retourner vivre dans le village où elle a grandi. Je lui ai demandé quelle était la distance entre ce village et la ville plus importante qui est la plus près. Elle m'a répondu en miles. J'ai pris un air troublé. Elle m'a expliqué qu'elle avait toujours entendu cette distance en miles parce que le Canada n'était pas encore passé au système international quand elle habitait là.
Je suis restée silencieuse quelques secondes sous l'effet du choc intergénérationnel. J'avais pas réalisé que je travaillais avec des gens qui avaient connu le système impérial...
La semaine dernière, je parlais à une collègue qui prendra sa retraite d'ici cinq ans. J'ignore son âge exact, mais je sais bien qu'il y a un bon écart entre nous. Elle me disait qu'elle avait l'intention, quand elle prendrait sa retraite, de retourner vivre dans le village où elle a grandi. Je lui ai demandé quelle était la distance entre ce village et la ville plus importante qui est la plus près. Elle m'a répondu en miles. J'ai pris un air troublé. Elle m'a expliqué qu'elle avait toujours entendu cette distance en miles parce que le Canada n'était pas encore passé au système international quand elle habitait là.
Je suis restée silencieuse quelques secondes sous l'effet du choc intergénérationnel. J'avais pas réalisé que je travaillais avec des gens qui avaient connu le système impérial...
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