Conversation passive-agressive du jour -
Quartz (à une collègue qui s'installe dans mon bureau pour regarder mes commentaires sur son travail et voir ce qu'elle en pense alors que j'ai un 200 pages sur mon bureau) : Mais là, tu sais, j'offre pas de service d'accompagnement. J'ai d'autres dossiers, je vais pas juste te regarder....
(Sous-texte : Sors de mon bureau, j'ai autre chose à faire.)
Collègue en question : On se voit pas souvent, tu vas me regarder.
(Sous-texte : Je m'en câlisse.)
Thursday, December 19, 2019
Récemment, j'ai recommencé à porter les longues boucles d'oreilles et les colliers que j'avais mis de côté après avoir eu des enfants, parce que Coco et Bout d'Chou sont déjà toujours embarqués sur moi et que j'avais pas envie, en prime de me faire tirer le cou et les oreilles. Ce matin, j'ai mis mes longues boucles d'oreilles à plumes. Ça m'a valu la réaction suivante de Bout d'Chou, très diplomate :
Wow Maman, tu es belle, mais qu'est-ce que tu as sur les oreilles?
In:
Motherhood,
Quotations
Wednesday, December 18, 2019
Dans la vie, je suis vraiment pas la bonne fille à qui parler de poids et de régime. Je juge pas les gens qui veulent perdre (ou prendre) du poids ou qui suivent des régimes, là. Aucunement. Je me garde franchement de tout commentaire parce que je suis consciente que j'ai le privilège d'avoir un métabolisme qui fonctionne franchement bien et me permet de manger du gâteau et des chips sans prendre de poids et de revenir après chaque grossesse à mon poids antérieur sans faire véritablement d'efforts.
Pis de toute façon, je me suis assez rendue malade à une époque. J'ai fait le tour de la question. Je suis devenue une solide adepte de "manger de tout en modération" et de "équilibrer son alimentation et ses dépenses énergétiques". Bon, je sais que ça s'applique pas à tout le monde, mais à la base, pour moi, ça marche de même. Faque j'ai du mal à m'empêcher de lever les yeux aux ciel quand on me parle de régime draconien et de tactiques louches pour perdre du poids qui sont adoptées comme première étape "pis là je vais ajouter de l'exercice".
L'obsession de la minceur chez les adultes, j'ai toujours trouvé ça triste. Encore là, pas de jugement de ma part : je trouve juste ça dommage qu'un adulte consacre de l'énergie à ce genre de truc futile. On devrait tellement pas perdre du temps à se rendre malheureux avec ça. À l'adolescence, bah, tant qu'à moi, on trouve toujours de quoi pour se rendre malheureux, ça fait partie de la condition. Mais ensuite? Me semble qu'on mérite tous mieux.
Faque me semble que je devrais pas me faire parler de mon poids et de mon alimentation au bureau, sacrament. Mais c'est le cas. Pis ça m'énarve sans bon sens. La première fois, j'allais m'acheter un des cupcakes que cuisine hebdomadairement une rédactrice pour financer le voyage scolaire de son fils : "Tu en achètes un? Ah, ben, tu peux te le permettre." Commentaire de marde s'il en est un, même s'il se voulait sans doute un compliment. Si j'avais une bedaine tu me jugerais de m'acheter un cupcakes? T'es qui pour me dire si je peux ou non me permettre un foutu cupcake?
Puis aujourd'hui, encore. La même personne s'exclame sur la chance que j'ai d'avoir un métabolisme qui me permet de manger du beurre de pinotte, parce que "le beurre de pinotte ça fait grossir". Je m'excuse, fille, mais la bouffe qui fait grossir, ça n'existe pas. Surtout si on parle du beurre de pinotte qui doit totaliser 200 calories dans mon déjeuner. Je trouve pas ça déraisonnable, moi, un déjeuner à plus de 200 calories. Peux-tu te mêler de mes affaires et ne pas juger mes choix alimentaires?
Faque vraiment, plus le temps passe, plus je comprends la pertinence du mouvement Le poids? Sans commentaire!
Pis de toute façon, je me suis assez rendue malade à une époque. J'ai fait le tour de la question. Je suis devenue une solide adepte de "manger de tout en modération" et de "équilibrer son alimentation et ses dépenses énergétiques". Bon, je sais que ça s'applique pas à tout le monde, mais à la base, pour moi, ça marche de même. Faque j'ai du mal à m'empêcher de lever les yeux aux ciel quand on me parle de régime draconien et de tactiques louches pour perdre du poids qui sont adoptées comme première étape "pis là je vais ajouter de l'exercice".
L'obsession de la minceur chez les adultes, j'ai toujours trouvé ça triste. Encore là, pas de jugement de ma part : je trouve juste ça dommage qu'un adulte consacre de l'énergie à ce genre de truc futile. On devrait tellement pas perdre du temps à se rendre malheureux avec ça. À l'adolescence, bah, tant qu'à moi, on trouve toujours de quoi pour se rendre malheureux, ça fait partie de la condition. Mais ensuite? Me semble qu'on mérite tous mieux.
Faque me semble que je devrais pas me faire parler de mon poids et de mon alimentation au bureau, sacrament. Mais c'est le cas. Pis ça m'énarve sans bon sens. La première fois, j'allais m'acheter un des cupcakes que cuisine hebdomadairement une rédactrice pour financer le voyage scolaire de son fils : "Tu en achètes un? Ah, ben, tu peux te le permettre." Commentaire de marde s'il en est un, même s'il se voulait sans doute un compliment. Si j'avais une bedaine tu me jugerais de m'acheter un cupcakes? T'es qui pour me dire si je peux ou non me permettre un foutu cupcake?
Puis aujourd'hui, encore. La même personne s'exclame sur la chance que j'ai d'avoir un métabolisme qui me permet de manger du beurre de pinotte, parce que "le beurre de pinotte ça fait grossir". Je m'excuse, fille, mais la bouffe qui fait grossir, ça n'existe pas. Surtout si on parle du beurre de pinotte qui doit totaliser 200 calories dans mon déjeuner. Je trouve pas ça déraisonnable, moi, un déjeuner à plus de 200 calories. Peux-tu te mêler de mes affaires et ne pas juger mes choix alimentaires?
Faque vraiment, plus le temps passe, plus je comprends la pertinence du mouvement Le poids? Sans commentaire!
In:
Ramblings
Tuesday, December 17, 2019
Parce que chaque année, je suis étonnée : La lettre au père Noël : une tradition au résultat toujours un peu surprenant.
In:
Technology,
Writings
Vous le savez, j'aime pas le monde. Dans la vie, en général, parlez-moi pas. Parlez-moi juste pas. Je n'éprouve aucune envie de vous connaître. Je pars systématiquement de la prémisse que vous ne m'intéressez pas, pis c'est à vous de me prouver que vous valez mon temps. C'est pas très joli, mais qu'est-ce que vous voulez, je veux rien savoir de vous, c'est de même. Cet aspect de ma personnalité explique très certainement le fait que j'aie rencontré l'homme de ma vie au bureau. Parce que c'est le seul contexte de ma vie où j'ai vraiment pas le choix de parler aux gens et de m'intéresser à eux....
Bref.
Il y a des gens qui aiment jaser avec les inconnus dans l'autobus. Pas moi. Ben, parfois, je me fais prendre, mais en général, je laisse ça aux autres. Toutefois, je comprends que ça arrive : on est pognés ensemble dans une grosse boîte pendant 30-40 minutes, ça se peut qu'on ait soudain envie de commenter l'expérience commune qu'on est en train de vivre. Ça va. Je concède.
Cependant, une fois l'expérience terminée, c'est-à-dire une fois qu'on a débarqué de l'autobus, c'est fini. Chacun reprend le cours de sa vie personnelle et individuelle sans tanner les autres avec leur existence. En tk, à mon avis, c'est de même que ça devrait marcher.
Mais c'est pas l'avis de tout le monde. Ainsi, hier après-midi, je suis descendue à mon arrêt, en même temps qu'un dude que je connais pas. J'ai suivi ledit dude pendant quelques secondes, bien sagement, 6-7 pas derrière lui, pis subitement il s'est retourné pour me dire : "On est chanceux, ce soir, il fait moins froid que ce matin."
Sérieux, là? Non seulement tu vas me parler alors que je suis enfin libre, loin du carcan de l'autobus, mais tu vas en plus choisir de me parler de météo? Ajoutez à ça que je me souvenais plus du tout de la température du matin. Parce que je pensais pas devoir retenir l'info pour faire du small talk dix heures plus tard avec un gars avec qui j'ai jamais désiré avoir une conversation. C'est d'ailleurs ce que j'ai répondu - ben, juste le bout où je me souvenais pas de la température, là. J'ai gardé le reste de ma réflexion pour moi. Mon petit dude a renchéri : "Ouin, le cerveau fonctionnait pas très bien ce matin!"
Ben oui, c'était supposé être une blague. De la part de n'importe qui que je connais, ç'aurait été correct, mais pour vrai, déjà que j'avais pas envie de parler de météo avec un nobody en sortant de l'autobus, j'aurais franchement pu me passer de ses commentaires sur l'activité de mon cerveau.
Faque je l'ai suivi sur environ un demi-coin de rue en priant le saint-ciel que rendu à l'intersection, il ne se dirigerait pas du même côté que moi. Mes voeux ont été exaucés et j'ai pu clore mes longues minutes d'agonie avec un "bonne soirée!" et traverser la rue sans me retourner.
Mais là. Vous devinez? Osti que j'ai peur de retomber sur le même gars dans l'autobus ce soir....
Bref.
Il y a des gens qui aiment jaser avec les inconnus dans l'autobus. Pas moi. Ben, parfois, je me fais prendre, mais en général, je laisse ça aux autres. Toutefois, je comprends que ça arrive : on est pognés ensemble dans une grosse boîte pendant 30-40 minutes, ça se peut qu'on ait soudain envie de commenter l'expérience commune qu'on est en train de vivre. Ça va. Je concède.
Cependant, une fois l'expérience terminée, c'est-à-dire une fois qu'on a débarqué de l'autobus, c'est fini. Chacun reprend le cours de sa vie personnelle et individuelle sans tanner les autres avec leur existence. En tk, à mon avis, c'est de même que ça devrait marcher.
Mais c'est pas l'avis de tout le monde. Ainsi, hier après-midi, je suis descendue à mon arrêt, en même temps qu'un dude que je connais pas. J'ai suivi ledit dude pendant quelques secondes, bien sagement, 6-7 pas derrière lui, pis subitement il s'est retourné pour me dire : "On est chanceux, ce soir, il fait moins froid que ce matin."
Sérieux, là? Non seulement tu vas me parler alors que je suis enfin libre, loin du carcan de l'autobus, mais tu vas en plus choisir de me parler de météo? Ajoutez à ça que je me souvenais plus du tout de la température du matin. Parce que je pensais pas devoir retenir l'info pour faire du small talk dix heures plus tard avec un gars avec qui j'ai jamais désiré avoir une conversation. C'est d'ailleurs ce que j'ai répondu - ben, juste le bout où je me souvenais pas de la température, là. J'ai gardé le reste de ma réflexion pour moi. Mon petit dude a renchéri : "Ouin, le cerveau fonctionnait pas très bien ce matin!"
Ben oui, c'était supposé être une blague. De la part de n'importe qui que je connais, ç'aurait été correct, mais pour vrai, déjà que j'avais pas envie de parler de météo avec un nobody en sortant de l'autobus, j'aurais franchement pu me passer de ses commentaires sur l'activité de mon cerveau.
Faque je l'ai suivi sur environ un demi-coin de rue en priant le saint-ciel que rendu à l'intersection, il ne se dirigerait pas du même côté que moi. Mes voeux ont été exaucés et j'ai pu clore mes longues minutes d'agonie avec un "bonne soirée!" et traverser la rue sans me retourner.
Mais là. Vous devinez? Osti que j'ai peur de retomber sur le même gars dans l'autobus ce soir....
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Day-to-day,
Ramblings
Sunday, December 15, 2019
Aujourd'hui, nous avons passé l'après-midi chez Tubes et Jujubes avec Coco et Bout d'Chou pour la fête d'une des filles de J et R.
Tubes et Jujubes, si vous ne le savez pas, c'est un centre de jeux intérieur pour les enfants. On peut aussi appeler ça l'enfer sur terre, ou plus simplement Le Bordel. En tk, moi, j'haï ces places-là. J'y vais parce que je vois bien le bonheur que ça procure aux enfants. Mais j'y vais pas trop souvent, parce que j'haï ça. Une énorme salle remplies d'enfants aux âges incompatibles qui courent à plein régime de tous les côtés sans regarder devant eux, disparaissent dans des racoins cachés de la vue des parents pour réapparaître totalement de l'autre côté de l'édifice - me semble que ça peut juste pas bien se finir. Ça se rentre dedans. Ça se chicane. Ça se tapoche. Ça pleure. Pourquoi on irait là?
Bref. Au bout de quelques minutes, Bout d'Chou s'était viré un pied dans les petites balles et s'était réfugié dans mes bras en pleurant, le coeur lourd de toute la peine que peut contenir le coeur d'un enfant de 4 ans qui n'a pas fait de sieste. Il ne voulait plus débarquer de mes bras, convaincu que sa vie était finie et qu'il n'éprouverait plus jamais la moindre once de plaisir du reste de sa vie. (On est un peu fataliste, à 4 ans.)
On avait fini par trouver le coin avec les méga-ballons. Coco tripait sa vie et appelait son frère à venir jouer avec lui. Bout d'Chou était intéressé, mais il y eut plusieurs faux départs : un ballon sur la tête, une main qui lui accroche le bras. Chaque fois, il revenait dans mes bras, proie au désespoir : "Mais tout le monde arrête pas de me pousser!"
L'affaire, quand on a 4 ans, c'est que dès qu'on accroche quelqu'un, on pense que cette personne nous a poussé. Pis on a beau se faire expliquer qu'on est dans un lieu où les accidents sont inévitables pis qu'il faut passer outre, ben on s'en fiche.
C'est donc dans cet était d'esprit que Bout d'Chou était lorsqu'il est retourné dans le coin avec les méga-ballons pour genre la septième fois. Ça se déroulait bien, il était heureux à courir après son ballon.
Puis, subitement, il a empoigné son ballon et a fait demi-tour sur lui-même pour se diriger de l'autre côté du coin. Derrière lui se trouvait un innocent enfant d'environ 8 ans. Je dis innocent parce que le pauvre garçon se tenait parfaitement droit, sans bouger. Mais après avoir effectué son demi-tour, Bout d'Chou s'est élancé droit devant selon son plan original et a foncé dans le grand. Et comme je vous le disais, à 4 ans, quand on fonce dans quelqu'un, on pense qu'on se fait pousser. Faque Bout d'Chou a vu rouge. Il en pouvait plus de se faire pousser de tous bords, tous côtés. Faque il a lâché son ballon par terre. Pis il a poussé le grand, qui faisait le double de son âge, le double de son poids, à deux mains. Le grand s'est déplacé sans trop réaliser qu'il était victime d'une attaque. Bout d'Chou l'a suivi en courant pour encore le pousser à deux mains. Le grand lui a lancé un regard déstabilisé, du genre c'est-quoi-ton-problème et je-sais-que-tu-es-trop-petit-pour-que-je-te-frappe-mais-tu-mérites-une-claque. Là, évidemment, moi et Raiontzukai nous sommes interposés pour que Bout d'Chou cesse le feu, mais j'aurais donné cher pour voir pendant combien de temps il aurait continué.
Je me suis rassise à ma place avec un solide fou rire, pis là je pense qu'on va envisager sérieusement d'inscrire Bout d'Chou au hockey. Il a clairement une carrière toute tracée comme goon.
Tubes et Jujubes, si vous ne le savez pas, c'est un centre de jeux intérieur pour les enfants. On peut aussi appeler ça l'enfer sur terre, ou plus simplement Le Bordel. En tk, moi, j'haï ces places-là. J'y vais parce que je vois bien le bonheur que ça procure aux enfants. Mais j'y vais pas trop souvent, parce que j'haï ça. Une énorme salle remplies d'enfants aux âges incompatibles qui courent à plein régime de tous les côtés sans regarder devant eux, disparaissent dans des racoins cachés de la vue des parents pour réapparaître totalement de l'autre côté de l'édifice - me semble que ça peut juste pas bien se finir. Ça se rentre dedans. Ça se chicane. Ça se tapoche. Ça pleure. Pourquoi on irait là?
Bref. Au bout de quelques minutes, Bout d'Chou s'était viré un pied dans les petites balles et s'était réfugié dans mes bras en pleurant, le coeur lourd de toute la peine que peut contenir le coeur d'un enfant de 4 ans qui n'a pas fait de sieste. Il ne voulait plus débarquer de mes bras, convaincu que sa vie était finie et qu'il n'éprouverait plus jamais la moindre once de plaisir du reste de sa vie. (On est un peu fataliste, à 4 ans.)
On avait fini par trouver le coin avec les méga-ballons. Coco tripait sa vie et appelait son frère à venir jouer avec lui. Bout d'Chou était intéressé, mais il y eut plusieurs faux départs : un ballon sur la tête, une main qui lui accroche le bras. Chaque fois, il revenait dans mes bras, proie au désespoir : "Mais tout le monde arrête pas de me pousser!"
L'affaire, quand on a 4 ans, c'est que dès qu'on accroche quelqu'un, on pense que cette personne nous a poussé. Pis on a beau se faire expliquer qu'on est dans un lieu où les accidents sont inévitables pis qu'il faut passer outre, ben on s'en fiche.
C'est donc dans cet était d'esprit que Bout d'Chou était lorsqu'il est retourné dans le coin avec les méga-ballons pour genre la septième fois. Ça se déroulait bien, il était heureux à courir après son ballon.
Puis, subitement, il a empoigné son ballon et a fait demi-tour sur lui-même pour se diriger de l'autre côté du coin. Derrière lui se trouvait un innocent enfant d'environ 8 ans. Je dis innocent parce que le pauvre garçon se tenait parfaitement droit, sans bouger. Mais après avoir effectué son demi-tour, Bout d'Chou s'est élancé droit devant selon son plan original et a foncé dans le grand. Et comme je vous le disais, à 4 ans, quand on fonce dans quelqu'un, on pense qu'on se fait pousser. Faque Bout d'Chou a vu rouge. Il en pouvait plus de se faire pousser de tous bords, tous côtés. Faque il a lâché son ballon par terre. Pis il a poussé le grand, qui faisait le double de son âge, le double de son poids, à deux mains. Le grand s'est déplacé sans trop réaliser qu'il était victime d'une attaque. Bout d'Chou l'a suivi en courant pour encore le pousser à deux mains. Le grand lui a lancé un regard déstabilisé, du genre c'est-quoi-ton-problème et je-sais-que-tu-es-trop-petit-pour-que-je-te-frappe-mais-tu-mérites-une-claque. Là, évidemment, moi et Raiontzukai nous sommes interposés pour que Bout d'Chou cesse le feu, mais j'aurais donné cher pour voir pendant combien de temps il aurait continué.
Je me suis rassise à ma place avec un solide fou rire, pis là je pense qu'on va envisager sérieusement d'inscrire Bout d'Chou au hockey. Il a clairement une carrière toute tracée comme goon.
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