To the idiot walking the two dogs whose curiosity forced me off the sidewalk as I was running - hold your freaking dogs, dammit!
Honestly, I have nothing against dogs or the people who own them. I understand that dogs get curious when a stranger passes them by. But if you see me running towards you on the same sidewalk, from a distance, then I expect you to keep your dogs from wandering towards me. This is Basic Courtesy 101, folks.
Saturday, April 29, 2017
Friday, April 28, 2017
Ah, pis une autre citation, ce matin, prononcée encore une fois par Coco, à qui on a appris le nom de chacun de ses doigts récemment, alors qu'il pleurait sa vie après s'être fait mal :
Quartz : Où est-ce que tu t'es fait bobo?
Coco (hurlant toujours) : À MON MAJEUR!!!!
Quartz : Où est-ce que tu t'es fait bobo?
Coco (hurlant toujours) : À MON MAJEUR!!!!
In:
Motherhood,
Quotations
Je peux vous garantir que mon gars, il va briser des coeurs de petites filles. Pourquoi? Pour ça :
Coco (pointant, sur le comptoir de la salle de bain, les bobby pins que j'utilise pour pinner mes cheveux par derrière en-dessous de mon casque de vélo, une tactique vraiment plus utilitaire qu'esthétique) : C'est quoi, ça, Maman?
Quartz : C'est ce que Maman utilise pour faire tenir ses cheveux.
Coco : Est-ce que je peux te les donner?
Quartz : Oui, j'en ai besoin, justement. (Coco s'exécute et je fixe mon toupet sur le dessus de ma tête.)
Coco (sur un ton admiratif, regardant le résultat) : Wow!
Coco (pointant, sur le comptoir de la salle de bain, les bobby pins que j'utilise pour pinner mes cheveux par derrière en-dessous de mon casque de vélo, une tactique vraiment plus utilitaire qu'esthétique) : C'est quoi, ça, Maman?
Quartz : C'est ce que Maman utilise pour faire tenir ses cheveux.
Coco : Est-ce que je peux te les donner?
Quartz : Oui, j'en ai besoin, justement. (Coco s'exécute et je fixe mon toupet sur le dessus de ma tête.)
Coco (sur un ton admiratif, regardant le résultat) : Wow!
In:
Motherhood,
Quotations
Thursday, April 27, 2017
So, am I really the only person on this planet who chooses not to carry conversations while in a washroom stall?
In:
Day-to-day
Ça fait cinq ans que j'occupe mon travail actuel, mais, compte tenu de mes deux congés de maternité, qui ont tous les deux été suivis d'un congé sans solde, j'ai été absente plus de deux ans. Ce qui fait que ya un tas de rédacteurs, ceux qui travaillent sur un autre étage que le mien, surtout, que je ne connais pas, et qui ne me connaissent pas. Ou qui ont simplement eu le temps de m'oublier, dois-je ajouter, car une collègue d'une autre équipe qui travaille pourtant sur mon étage est venue se présenter à mon retour, l'automne dernier, et j'ai dû lui annoncer qu'on se connaissait. Bref.
C'est pas grave, c'est compréhensible, moi aussi j'ai eu le temps de les oublier. Tout ce que ça crée, c'est des moments un peu cocasses, comme celui, cette semaine, où une rédactrice qui voulait me consulter pour un dossier que j'avais revu m'a demandé si j'étais nouvelle.
Mais, apparemment, ça crée aussi des moments juste malaisants comme celui que je viens de vivre. J'étais montée à l'étage supérieur remettre des dossiers à une rédactrice, qui n'était pas à son bureau. J'ai donc laissé les dossiers sur sa chaise, puis, en me dirigeant vers l'escalier pour redescendre, j'ai croisé la rédactrice en question qui discutait avec un rédacteur que je ne connais que de vue. Je leur ai jeté un coup d'oeil, envisageant de préciser à la rédactrice que je lui avais laissé ses dossiers, mais comme elle était dos à moi, je n'ai rien dit. Le rédacteur, lui, par contre, était face à moi. Et lui, il m'a vue. Il m'a comme suivie du regard pendant quelques secondes, mais quelques secondes qui en comptaient quand même juste une ou deux de trop pour que ce soit banal. Puis, pour me saluer, il a incliné, un peu au ralenti, non pas la tête, mais tout son torse, et encore une fois juste un peu trop, ce qui donnait une impression un peu trop révérencieuse. Le tout sans sourire, sans rien dire, juste en me fixant. Comme si j'étais dans un film hollywoodien en train de marcher au ralenti, les cheveux dans le vent, au son d'une chanson de Taylor Swift.
En tk, manifestement, lui, il avait eu le temps de m'oublier.
C'est pas grave, c'est compréhensible, moi aussi j'ai eu le temps de les oublier. Tout ce que ça crée, c'est des moments un peu cocasses, comme celui, cette semaine, où une rédactrice qui voulait me consulter pour un dossier que j'avais revu m'a demandé si j'étais nouvelle.
Mais, apparemment, ça crée aussi des moments juste malaisants comme celui que je viens de vivre. J'étais montée à l'étage supérieur remettre des dossiers à une rédactrice, qui n'était pas à son bureau. J'ai donc laissé les dossiers sur sa chaise, puis, en me dirigeant vers l'escalier pour redescendre, j'ai croisé la rédactrice en question qui discutait avec un rédacteur que je ne connais que de vue. Je leur ai jeté un coup d'oeil, envisageant de préciser à la rédactrice que je lui avais laissé ses dossiers, mais comme elle était dos à moi, je n'ai rien dit. Le rédacteur, lui, par contre, était face à moi. Et lui, il m'a vue. Il m'a comme suivie du regard pendant quelques secondes, mais quelques secondes qui en comptaient quand même juste une ou deux de trop pour que ce soit banal. Puis, pour me saluer, il a incliné, un peu au ralenti, non pas la tête, mais tout son torse, et encore une fois juste un peu trop, ce qui donnait une impression un peu trop révérencieuse. Le tout sans sourire, sans rien dire, juste en me fixant. Comme si j'étais dans un film hollywoodien en train de marcher au ralenti, les cheveux dans le vent, au son d'une chanson de Taylor Swift.
En tk, manifestement, lui, il avait eu le temps de m'oublier.
In:
Day-to-day,
Moments
Wednesday, April 26, 2017
Je disais ci-dessous que ma job consiste à répondre à une question simple par une autre question portant sur un autre truc super compliqué; je réalise également aujourd'hui que ma job consiste aussi à être perpétuellement insatisfaite.
In:
Thought
Tuesday, April 25, 2017
Monday, April 24, 2017
So I know I'm getting good at my job because when you ask me a simple question, I generally spend a disproportionate amount of time looking at it and end up spotting a bigger problem and replying to your question with another question.
In:
Thought
Citation illustrant à quel point, d'une part, c'est pas facile d'être le papa de Coco et, d'autre part, un enfant de trois ans n'a pas nécessairement beaucoup d'empathie -
Raiontzukai (qui sort de la chambre de Bout d'Chou, au lit, mais pas encore endormi, s'adressant à moi, qui suis dans la salle de bain avec Coco qui s'acquitte d'une obligation naturelle avant de retourner se coucher) : Je vais descendre, je ne me sens pas bien.
Quartz : D'accord.
Coco (à moi) : Bout d'Chou ne se sent pas bien?
Quartz : Non, c'est Papa qui ne se sent pas bien.
Coco : Papa est malade?
Quartz : Oui.
Coco (manifestement rempli de joie) : C'est toi qui va venir nous porter à la garderie demain?
Raiontzukai (qui sort de la chambre de Bout d'Chou, au lit, mais pas encore endormi, s'adressant à moi, qui suis dans la salle de bain avec Coco qui s'acquitte d'une obligation naturelle avant de retourner se coucher) : Je vais descendre, je ne me sens pas bien.
Quartz : D'accord.
Coco (à moi) : Bout d'Chou ne se sent pas bien?
Quartz : Non, c'est Papa qui ne se sent pas bien.
Coco : Papa est malade?
Quartz : Oui.
Coco (manifestement rempli de joie) : C'est toi qui va venir nous porter à la garderie demain?
In:
Motherhood,
Quotations
Chez nous, on a passé la fin de semaine avec une invitée surprise : Dame Gastro. (Et je dois vous en parler puisque ma gestionnaire m'a dit que même mes histoires de gastro étaient intéressantes!) Celle dont on ignore tout avant d'avoir des enfants. Et encore, je peux franchement pas me plaindre, parce que Dame Gastro passe à peu près jamais chez nous, qu'on se la passe à peu près jamais entre nous, que les enfants l'ont généralement dans une version très atténuée et, surtout, qu'ils attendent d'avoir genre deux ans avant de l'attraper pour la première fois.
En effet, Coco avait plus de deux ans la première fois où il l'a eue. Depuis, il l'a attrapée une poignée d'autres fois, mais chaque fois, le fait de vômir le remplit de désespoir comme si c'était la première fois. Faut le comprendre quand même, on se sent particulièrement misérable quand on vômit. Ainsi, quand Coco est malade, il hurle, il pleure à fendre l'âme pendant de longues minutes.
En fin de semaine, c'est Bout d'Chou, 23 mois, qui a été malade le premier. Dans la nuit de vendredi à samedi, donc, il s'est réveillé et a appelé Raiontzukai. Comme si de rien n'était. C'est uniquement en se foutant la main dans le vômi que Raiontzukai a compris ce qui se passait. Ainsi, au beau milieu de la nuit, nous avons allumé la lumière de la chambre, changé les draps, changé le pyjama, brossé les dents, donné un verre d'eau, devant notre bébé qui n'aime pas particulièrement dormir d'avance et qui était tous sourires, bien content du party qui se déroulait. J'appréhendais le moment de le recoucher, même si Bout d'Chou me répondait "oui" à la fin de chaque phrase que je prononçais pour lui expliquer qu'il était malade, mais qu'il allait continuer à faire dodo quand nous aurions terminé de tout nettoyer. Parce qu'un bébé, c'est mignon comme tout, mais ça ment.
Je me suis assise pour bercer Bout d'Chou pendant que Raiontzukai mettait les draps propres dans son lit. Quand ça a été fait, Raiontzukai est sorti de la chambre en éteignant la lumière. Bout d'Chou a pointé son lit en disant : "Lit? Dodo?" et a acquiescé quand je lui ai demandé s'il voulait aller dans son lit. Il s'est installé pour dormir, je me suis rassise dans la chaise berçante, j'ai chanté trois berceuses, et puis il s'est rendormi pour le reste de la nuit.
Ce fut déstabilisant tout d'abord parce que moi, mon bébé, il est d'une humeur au beau fixe après avoir vômi, et ensuite parce mon bébé qui fait un drame tous les soirs au moment du dodo a simplement accepté de se rendormir après un party au beau milieu de la nuit sans faire le moindre son de protestation. C'est simple, c'est un MIRACLE, gang.
En effet, Coco avait plus de deux ans la première fois où il l'a eue. Depuis, il l'a attrapée une poignée d'autres fois, mais chaque fois, le fait de vômir le remplit de désespoir comme si c'était la première fois. Faut le comprendre quand même, on se sent particulièrement misérable quand on vômit. Ainsi, quand Coco est malade, il hurle, il pleure à fendre l'âme pendant de longues minutes.
En fin de semaine, c'est Bout d'Chou, 23 mois, qui a été malade le premier. Dans la nuit de vendredi à samedi, donc, il s'est réveillé et a appelé Raiontzukai. Comme si de rien n'était. C'est uniquement en se foutant la main dans le vômi que Raiontzukai a compris ce qui se passait. Ainsi, au beau milieu de la nuit, nous avons allumé la lumière de la chambre, changé les draps, changé le pyjama, brossé les dents, donné un verre d'eau, devant notre bébé qui n'aime pas particulièrement dormir d'avance et qui était tous sourires, bien content du party qui se déroulait. J'appréhendais le moment de le recoucher, même si Bout d'Chou me répondait "oui" à la fin de chaque phrase que je prononçais pour lui expliquer qu'il était malade, mais qu'il allait continuer à faire dodo quand nous aurions terminé de tout nettoyer. Parce qu'un bébé, c'est mignon comme tout, mais ça ment.
Je me suis assise pour bercer Bout d'Chou pendant que Raiontzukai mettait les draps propres dans son lit. Quand ça a été fait, Raiontzukai est sorti de la chambre en éteignant la lumière. Bout d'Chou a pointé son lit en disant : "Lit? Dodo?" et a acquiescé quand je lui ai demandé s'il voulait aller dans son lit. Il s'est installé pour dormir, je me suis rassise dans la chaise berçante, j'ai chanté trois berceuses, et puis il s'est rendormi pour le reste de la nuit.
Ce fut déstabilisant tout d'abord parce que moi, mon bébé, il est d'une humeur au beau fixe après avoir vômi, et ensuite parce mon bébé qui fait un drame tous les soirs au moment du dodo a simplement accepté de se rendormir après un party au beau milieu de la nuit sans faire le moindre son de protestation. C'est simple, c'est un MIRACLE, gang.
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Day-to-day,
Motherhood
Sunday, April 23, 2017
Contexte : je regarde un livre sur les métiers avec Bout d'Chou. Et, au cas où vous ne le sauriez pas, quand on veut prendre la température d'un bébé, on y va pour la méthode rectale.
Bout d'Chou (pointant une image dans le livre) : Ça?
Quartz : Ça, c'est un thermomètre.
Bout d'Chou (joignant la parole au geste) : Fesses!
In:
Motherhood,
Quotations
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