Coco : Maman, le camion qui transporte Flash McQueen, il s'appelle comment?
Quartz : Il s'appelle Mack.
Coco : Notre auto à nous, elle s'appelle comment?
Quartz : ... Cindy.
Le jour où j'ai nommé mon auto, je m'attendais vraiment pas à ce qu'un jour, mon enfant de 4 ans puisse le claironner à la garderie.
Friday, September 01, 2017
Thursday, August 31, 2017
As you may or may not have forgotten, last winter, I discovered that Coco and I have the same head size.
Recently, I made a trip to the clothing store to get fall and winter gear for the kids - because yes, when you enter the world of parenthood, you realize that August is the moment to shop for fall and winter gear, and that come October all stores will have run out. This in itself is extremely frustrating - especially on that night when your toddler outgrows his boots or comes home with a dying mitten in December.
But anyways.
I went to the store alone, so I made sure to bring toques and mittens that we already had at home and that still fit so I could make sure to get the missing gear in the appropriate sizes. (One day, I will tell you about the time Raiontzukai had to go to the store three days in a row in order to buy water shoes for Coco.) It's a trick that works really well, but when came the time to find a toque for Coco, I couldn't seem to decide between sizes. And of course, the toque I had brought was the one that fits me to a T.
So yes. I grabbed the new toque in two sizes, found a mirror, tried on Coco's toque and then sucessively tried on the other one in the two sizes, so I could figure out which fit the most like the old one.
Recently, I made a trip to the clothing store to get fall and winter gear for the kids - because yes, when you enter the world of parenthood, you realize that August is the moment to shop for fall and winter gear, and that come October all stores will have run out. This in itself is extremely frustrating - especially on that night when your toddler outgrows his boots or comes home with a dying mitten in December.
But anyways.
I went to the store alone, so I made sure to bring toques and mittens that we already had at home and that still fit so I could make sure to get the missing gear in the appropriate sizes. (One day, I will tell you about the time Raiontzukai had to go to the store three days in a row in order to buy water shoes for Coco.) It's a trick that works really well, but when came the time to find a toque for Coco, I couldn't seem to decide between sizes. And of course, the toque I had brought was the one that fits me to a T.
So yes. I grabbed the new toque in two sizes, found a mirror, tried on Coco's toque and then sucessively tried on the other one in the two sizes, so I could figure out which fit the most like the old one.
In:
Day-to-day,
Motherhood
Je vous ai présenté, le mois dernier, ma nouvelle montre GPS, une Polar M200 - appelons-la donc Paula.
Quand j'ai commencé à courir avec Paula, j'ai découvert que Polar a mis au point un certain Running Index, calculé d'une façon un peu obscure à partir de ma fréquence cardiaque et d'autres données sur ma course. Cet indice-là permet à ma montre de me dire en combien de temps je devrais, en m'entraînant adéquatement, arriver à parcourir certaines distances : 5 kilomètres, 10 kilomètres, un demi-marathon, un marathon.
J'avais des doutes, mais les temps que Paula me donnait pour le 10K et le demi-marathon correspondaient pas mal à mes meilleurs temps pour ces distances. Il y avait donc une certaine crédibilité à accorder à ce running index... mais le temps pour le 5K, lui, ne cadrait pas. Je n'avais jamais réussi à courir 5 kilomètres en moins de 26 minutes, et Paula soutenait que je pouvais le faire en moins de 25.
Ce n'était pas très surprenant, à vrai dire, car je deviens, quand je cours, un peu princesse. Autrement dit, j'ai besoin d'être confortable. (Bon, je suppose que les vraies princesses, elles, ne courent pas du tout, mais j'ai besoin d'une métaphore, alors passons.) Ainsi, je suis capable de courir longtemps, mais pas trop vite. Sauf que pour un 5 kilomètres, hé bien, on n'a pas le temps d'être confortable. Il faut courir vite dès le départ.
Je n'avais donc pas le choix : il fallait que j'essaie de courir un 5K en 25 minutes.
Je me suis trouvée une course qui fittait dans mon horaire de présidente - oups, de mère de famille - et c'est ainsi que, samedi, je me suis présentée à une pride run qui en est à sa deuxième édition seulement. L'ancienneté de la course n'a généralement pas grand impact sur l'expérience, la seule différence notable étant un nombre de participant moindre. Et ça, je m'en fous - j'étais là pour battre un record personnel, vous vous en souvenez?
J'ai quand même été saisie par le petit nombre de particiant - nous étions 140, ai-je appris par la suite. Ici, je dois m'arrêter pour accorder une mention spéciale à la fille qui, étant demeurée habillée en long alors que nous attendions le lancement de l'événement, s'est animée lors du dernier appel pour le sweat check. Je ne faisais pas trop attention à elle, j'avais simplement remarqué qu'elle portait des pantalons et un chandail à manches longues. Puis, soudainement, elle portait des shorts et... euh... deux colliers à fleurs colorées style hawaïen. Les colliers cachaient presque l'intégralité de son torse, mais on apercevait quelque chose de multicolore en-dessous. Un bikini, un top de sport? Non - car lorsque la fille en question m'a fait dos pour déposer son sac au sweat check, j'ai constaté que son dos était entièrement nu. J'étais plus que curieuse, vous vous en doutez, mais je ne voulais quand même pas la fixer, alors la seule conclusion à laquelle je suis parvenue, c'est qu'il devait s'agir de physio tape multicolore. Auquel cas c'est vraiment une bonne idée, mais j'aurais franchement pas voulu être à sa place au moment de le retirer. Quoique, je dis ça, mais j'ai jamais porté de physio tape, alors ça s'enlève peut-être plus facilement que je le pense...
J'ai perdu la fille en question de vue lorsque nous nous sommes tous dirigés vers la ligne de départ, et je me suis concentrée sur la tâche à accomplir. Quand a retenti le signal du départ, je me suis lancée à corps perdu, et après la première moitié du parcours, j'ai revu mon objectif : selon le rythme que je soutenais, il me semblait réaliste de terminer le 5K entre 23 et 24 minutes...
Finalement, j'ai franchi la ligne d'arrivée, juste derrière la fille au physio tape, en 23:45 minutes (temps officiel 24:01, je vous expliquerai si ça vous intéresse)! Force m'était d'avouer que Paula avait eu raison. J'étais super contente, et en m'avançant vers les bouteilles d'eau, j'ai entendu un petit monsieur, fiche à la main, affirmer à un autre homme : "We're waiting for third."
En temps normal, j'aurais fait mes étirements, bu de l'eau, et je serais retournée chez moi - je devais rejoindre Raiontzukai à une fête d'enfants, vous vous souvenez? Mais cette phrase m'a intriguée, et comme j'avais clairement suivi le peloton de tête pendant la course, j'ai décidé de rester pour voir si, par hasard...
Et OUI! Mesdames et Messieurs, votre Quartz préférée a terminé au troisième rang chez les femmes! Complètement prise de court, je me suis vu remettre une médaille de fortune et une petite pâtisserie, et j'ai participé à la mini-séance de photo des vainqueurs.
Alors voilà, j'ai officiellement réussi à monter sur un podium. J'envisage donc d'abandonner la jurilinguistique pour me consacrer toute entière à une carrière olympique.
Quand j'ai commencé à courir avec Paula, j'ai découvert que Polar a mis au point un certain Running Index, calculé d'une façon un peu obscure à partir de ma fréquence cardiaque et d'autres données sur ma course. Cet indice-là permet à ma montre de me dire en combien de temps je devrais, en m'entraînant adéquatement, arriver à parcourir certaines distances : 5 kilomètres, 10 kilomètres, un demi-marathon, un marathon.
J'avais des doutes, mais les temps que Paula me donnait pour le 10K et le demi-marathon correspondaient pas mal à mes meilleurs temps pour ces distances. Il y avait donc une certaine crédibilité à accorder à ce running index... mais le temps pour le 5K, lui, ne cadrait pas. Je n'avais jamais réussi à courir 5 kilomètres en moins de 26 minutes, et Paula soutenait que je pouvais le faire en moins de 25.
Ce n'était pas très surprenant, à vrai dire, car je deviens, quand je cours, un peu princesse. Autrement dit, j'ai besoin d'être confortable. (Bon, je suppose que les vraies princesses, elles, ne courent pas du tout, mais j'ai besoin d'une métaphore, alors passons.) Ainsi, je suis capable de courir longtemps, mais pas trop vite. Sauf que pour un 5 kilomètres, hé bien, on n'a pas le temps d'être confortable. Il faut courir vite dès le départ.
Je n'avais donc pas le choix : il fallait que j'essaie de courir un 5K en 25 minutes.
Je me suis trouvée une course qui fittait dans mon horaire de présidente - oups, de mère de famille - et c'est ainsi que, samedi, je me suis présentée à une pride run qui en est à sa deuxième édition seulement. L'ancienneté de la course n'a généralement pas grand impact sur l'expérience, la seule différence notable étant un nombre de participant moindre. Et ça, je m'en fous - j'étais là pour battre un record personnel, vous vous en souvenez?
J'ai quand même été saisie par le petit nombre de particiant - nous étions 140, ai-je appris par la suite. Ici, je dois m'arrêter pour accorder une mention spéciale à la fille qui, étant demeurée habillée en long alors que nous attendions le lancement de l'événement, s'est animée lors du dernier appel pour le sweat check. Je ne faisais pas trop attention à elle, j'avais simplement remarqué qu'elle portait des pantalons et un chandail à manches longues. Puis, soudainement, elle portait des shorts et... euh... deux colliers à fleurs colorées style hawaïen. Les colliers cachaient presque l'intégralité de son torse, mais on apercevait quelque chose de multicolore en-dessous. Un bikini, un top de sport? Non - car lorsque la fille en question m'a fait dos pour déposer son sac au sweat check, j'ai constaté que son dos était entièrement nu. J'étais plus que curieuse, vous vous en doutez, mais je ne voulais quand même pas la fixer, alors la seule conclusion à laquelle je suis parvenue, c'est qu'il devait s'agir de physio tape multicolore. Auquel cas c'est vraiment une bonne idée, mais j'aurais franchement pas voulu être à sa place au moment de le retirer. Quoique, je dis ça, mais j'ai jamais porté de physio tape, alors ça s'enlève peut-être plus facilement que je le pense...
J'ai perdu la fille en question de vue lorsque nous nous sommes tous dirigés vers la ligne de départ, et je me suis concentrée sur la tâche à accomplir. Quand a retenti le signal du départ, je me suis lancée à corps perdu, et après la première moitié du parcours, j'ai revu mon objectif : selon le rythme que je soutenais, il me semblait réaliste de terminer le 5K entre 23 et 24 minutes...
Finalement, j'ai franchi la ligne d'arrivée, juste derrière la fille au physio tape, en 23:45 minutes (temps officiel 24:01, je vous expliquerai si ça vous intéresse)! Force m'était d'avouer que Paula avait eu raison. J'étais super contente, et en m'avançant vers les bouteilles d'eau, j'ai entendu un petit monsieur, fiche à la main, affirmer à un autre homme : "We're waiting for third."
En temps normal, j'aurais fait mes étirements, bu de l'eau, et je serais retournée chez moi - je devais rejoindre Raiontzukai à une fête d'enfants, vous vous souvenez? Mais cette phrase m'a intriguée, et comme j'avais clairement suivi le peloton de tête pendant la course, j'ai décidé de rester pour voir si, par hasard...
Et OUI! Mesdames et Messieurs, votre Quartz préférée a terminé au troisième rang chez les femmes! Complètement prise de court, je me suis vu remettre une médaille de fortune et une petite pâtisserie, et j'ai participé à la mini-séance de photo des vainqueurs.
Alors voilà, j'ai officiellement réussi à monter sur un podium. J'envisage donc d'abandonner la jurilinguistique pour me consacrer toute entière à une carrière olympique.
In:
Day-to-day
Wednesday, August 30, 2017
Pendant ma course, lundi, j'ai traversé une intersection juste devant une voiture de Google. Vous savez, le type qui sert à prendre les photos pour Streetview?
Je risque donc fortement de paraître, dans toute ma moiteur, dans la prochaine mise à jour Streetview de ma ville.
Si vous êtes gentils, je vous donnerai le nom de l'intersection.
In:
Day-to-day,
Moments
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