Friday, September 22, 2006

Et uniquement parce que j'aime bien vous rappeler à quel point j'ai un cerveau fucké -

Cet été, j'ai suivi un cours sur les difficultés d'apprentissage. J'en ai parlé. J'ai également parlé du film qu'on avait vu à ce propos, lequel était, contre toute attente, incroyablement intéressant. Dans ce film, une poignée d'adultes rencontrait un professionnel des difficultés d'apprentissage qui les mettait dans des situations de façon à ce que ces adultes ressentent la même chose qu'un enfant qui souffre de difficultés d'apprentissage.

À un certain point, il leur a montré une image très floue sur un carton et leur a demandé de l'identifier. Personne ne savait ce que c'était et, imitant un professeur dans une telle situation, le professionnel en question s'est mis à perdre patience devant une dame qui était incapable de lui dire ce que l'image représentait. Après un certain temps, il a laissé tomber le rôle pour expliquer aux adultes qu'un enfant avec des difficultés d'apprentissage peut avoir des troubles au niveau visuel. Ainsi, on devra d'abord l'aider à voir une image qui nous saute aux yeux pour qu'il puisse la reconnaître la première fois. Ensuite, il n'aura plus de difficulté à la voir. À ce moment-là, il a sorti un transparent qu'il a mis par-dessus l'image floue qu'il avait distribuée aux adultes : avec ce transparent, on voyait clairement qu'il s'agissait de la photo d'une vache. Après avoir obtenu de l'aide pour voir la vache, tous pouvaient l'identifier facilement une fois le transparent retiré.

Ça m'a laissé songeuse et j'ai repensé à l'époque où je jouais au bon vieux Nintendo. Dans les jeux de NES, les méchants étaient souvent représentés par des bibittes quelconques que je n'ai jamais vraiment essayé d'identifier... j'ai commencé avec Mario Bros, jeu dans lequel les bibittes n'étaient pas faites pour être identifiables. Quand j'ai passé à des jeux où les bibittes étaient supposées être identifiables, je m'en suis jamais rendue compte. Et je me souviendrai toujours du jour où, alors que j'avais genre DIX-NEUF ANS, Peanut est débarqué chez moi alors que je jouais à Castlevania et qu'il a désigné une bibitte comme étant un vampire. J'ai plissé les yeux, me suis foutu le nez à 3 pouces de la télé - mais merde ! C'est que c'était vraiment un vampire ! Moi qui avais toujours cru que c'était juste une bibitte quelconque !

L'autre jour, j'ai reçu mon offre d'emploi du Bureau, sur laquelle on avait collé des post-it jaunes aux endroit où je devais apposer ma signature. Sur ces post-it jaunes, j'ai d'abord cru voir une sorte de barbeau à l'encre. Je me suis pas trop posé de questions sur le coup, et c'est au bout d'AU MOINS un quart d'heure que j'ai fini par me rendre compte que ce que j'avais pris pour un barbeau représentait en réalité une main qui tenait un crayon. Genre, pour que je comprenne que je devais signer.

Donc voilà. Après tout ça, je soupçonne que mes capacités visuelles ne sont pas au top de l'échelle.

Mais bon. Les cours de psycho sont là, à mon très humble avis, pour vous aider à vous trouver le plus de problèmes mentaux possibles et puis je m'en tire pas trop mal, donc je m'en fais pas avec ça.... mais bon, c'est encore un truc à ajouter à ma liste !
Aujourd'hui, je suis productive. Faut bien, j'ai vraiment vedgé toute la journée d'hier.

Donc j'ai passé un temps fou sur le site d'IKÉA à rechercher des rideaux qui me convenaient. Mon appartement est tout blanc et je n'ai pas le droit de peinturer les murs autre qu'en blanc ou en "blanc os" (oui, je sais, fouillez-moi ce que ça veut dire exactement, je fais que vous citer mon bail)... alors tant qu'à avoir des murs blancs, je vais toujours bien avoir des rideaux flash ! Par conséquent, je voudrais des rideaux rouges ou jaunes dans ma cuisine, des rideaux violets dans mon salon, des bleu marine dans ma chambre et.... eh bien, pour le bureau, je sèche complètement car j'ai aucun élément de couleur définie dans mon bureau. Donc à déterminer. Donc, chez IKÉA, on vend des rideaux dont la longueur s'ajuste facilement (du moins à ce qu'en dit la description, évidemment, si je risque de passer des heures à sacrer, on me le dira pas...). La question, c'est : est-ce que la largeur peut s'ajuster également ? Si quelqu'un le sait, faites-moi signe !

J'ai également fait deux appels pour mon assurance-habitation (parce que bon, c'est quand même dans 7 jours, il est temps que je m'attaque à ça aussi) pour compléter les trois premières soumissions que j'avais déjà obtenues. J'étais un peu dans l'hésitation alors j'ai appelé mon père pour avoir son opinion (mon père est ma référence pour toutes les questions comportant un signe de dollars à la fin) ainsi que pour lui poser quelques autres questions par rapport à demain - car demain, je m'en vais passer la journée à Gatineau pour magasiner des meubles et dépaqueter une première batch de boîtes. Ensuite, il m'a passé ma mère qui m'a raconté toutes ses tribulations scolaires. En raccrochant, ma mère m'a dit de ne pas me coucher tard étant donné qu'on part tôt demain. Je me suis sentie niaisée...

Et puisque je m'en vais à Gatineau, j'ai pris en note quelques adresses de magasins de meubles pour nous faciliter la vie demain - deux sont situés pas très loin de chez moi (évidemment, ya rien de loin de chez moi, j'ai même une caisse et un gym, ai-je découvert !). Le IKÉA et le Leon's Furniture sont à Ottawa et il faudra que je les situe rapidement sur une carte tout à l'heure, puisque c'est moi la navigatrice. Oh, et puis j'ai noté les dimensions des boîtes de mon lit, histoire de savoir si ça va rentrer dans le Rav4 de mon papa.

Thursday, September 21, 2006

Vous savez que j'ai mes petits côtés obsessifs-compulsifs. Un de ceux-là : la propreté de mes mains. Un deuxième : la salubrité lorsque je joue avec de la viande crue dans ma cuisine. Auquel vient d'ailleurs se mêler le premier et je vous dis pas le nombre de fois que je peux me laver les mains quand je touche de la viande crue !

Avez-vous vu la pub de Lysol où on vous explique que nettoyer sa cuisine avec une guenille sale équivaut à étendre les germes un peu partout et où on voit une femme nettoyer son comptoir et la porte de son frigidaire avec une poitrine de poulet crue ?!?!

Moi, c'est immanquable, à chaque fois que je vois cette pub, je me sens vraiment très mal.
Ça fait maintenant de longues années que je veux me faire allonger les cheveux. Je trouve pas qu'ils allongent assez vite, mais bon, ils allongent quand même.

Mais là, je sais pas quand c'est arrivé, mais en quelque part cette semaine, mes cheveux sont devenus longs.

Pis merde que c'est du trouble, des cheveux longs. Ils sont partout, dès que je me tourne de côté dans mon lit, je me fous immanquablement un coude dessous, je sais plus quoi faire avec, c'est chiant faire une tresse dans des cheveux longs mais de toute manière, à cette longueur-là, mes cheveux font durs quand ils sont frisés !

Hmmm.

Je vais m'habituer. Je vais m'habituer. Je veux des cheveux longs.
I actually wrote this yesterday but Blogger kept crashing on me because of this huge world conspiracy against my personal happiness so it never got either published or saved.

BUT I nevertheless have made a reservation for movers and a truck yesterday. I made way too many phone calls and it turned out that the cheapest place was also the one where I spoke with the nicest guy.

I was way more enthusiastic about it yesterday, but oh well.
Aujourd'hui, petite leçon de vocabulaire. En discutant avec un gars (*tousse* nommément "Peanut" *tousse*), j'ai découvert que lorsqu'un gars dit à une fille qu'elle est "jolie", ce n'est pas nécessairement un compliment.

Scan rapide dans mes souvenirs - fiou, il m'a jamais dit que j'étais jolie.

Devant un souper style buffet, c'est-à-dire qu'on avait mis tous les éléments sur la table et qu'on se servait, s'ensuit une longue conversation dans laquelle j'ai argué que si "jolie" était moins intense que "belle", ça voulait quand même dire mignonne, cute. Bref, c'était quand même positif. Peanut, de son côté, juge que "jolie" est un synonyme parfait de "ordinaire". Que "jolie" est tout au bas de l'échelle de la beauté.

Je pose donc la question ultime suivante : si tu trouves une fille ordinaire, pourquoi tu prends la peine de lui dire qu'elle est "jolie" au lieu de juste fermer ta gueule ? Réponse qui fait réfléchir : parce qu'il te faut une réponse innoffensive quand une fille que tu trouves pas vraiment belle te demande comment tu la trouves !

Donc, je crois pouvoir poser comme postulat, les filles, que lorsqu'un gars vous dit que vous êtes jolies sans que vous ayez tenté de recueillir son opinion ("comment tu me trouves ?" "qu'est-ce que tu penses de ce que je porte ?"), il s'agit d'un compliment. Si par contre vous avez quémandé un compliment, il s'agit uniquement de sa manière de vous faire plaisir. CQFD.

Ensuite, on s'est attaqué à la nuance entre "je t'adore" et "je t'aime", qui est beaucoup plus troublante et sur laquelle vous pouvez vous casser la tête encore plus longtemps.

Pour finir, on est resté assis devant la table pendant vraiment trop longtemps à continuer à grignoter du poulet et de la salade de pâtes alors qu'on n'avait clairement plus faim, uniquement parce que la discussion se continuait...
Bon ! J'ai enfin réussi à tout re-publier ! Ça a juste pris 24h, mais je l'ai eu !

Wednesday, September 20, 2006

Okay people, this is me apologizing for screwing up my own template by mistakenly removing a closing "small" bracket and not noticing before having republished the whole blog when removing the "worship me" link. I've been trying to republish the whole blog after putting the bracket back where it belongs, but Blogger is being a bitch and refusing to republish so as to shame me to the face of the world.

Screw you, Blogger, that's been done before and you're not measuring up!

So the homepage is okay, but you guys won't get the chance to explore my archives today. Quartz's Song apologizes yet again for any inconvenience and would like to remind its readers that none of this would've happened if Signmyguestbook.com were able of keeping a guestbook up.
Puisqu'il y a un certain nombre de personnes qui viennent ici juste pour ça, je me suis dit que j'étais peut-être aussi bien d'y aller clairement, histoire de les rassurer une fois pour toutes.

Je vais bien. Je me suis rendu compte que tout ça, c'était que de la bullshit et que ça avait aucune valeur. Parce que si ça avait eu la moindre valeur, on n'en serait pas là. Donc je vais bien même si je me sens comme une maniaco-dépressive ces temps-ci parce qu'en me levant le matin je peux jamais savoir si je vais être tellement à terre que j'aurai même pas la force de prendre ma douche ou si je vais être pleine d'entrain toute la journée. Donc j'ai les pires sautes d'humeur que j'ai jamais eues, mais c'est toujours sur un bon fond. Et même que ça me fait salement chier parce que par bouts, j'aimerais ça juste être déprimée, juste sauter ma coche et juste faire pitié moi aussi. J'aimerais ça penser que ça vaut la peine de faire du faux drame, d'essayer frénétiquement de faire entendre ma voix à tout le monde pour qu'ils prennent mes idées en considération au lieu d'accepter passivement ce que des hypocrites leur disent sur moi sans avoir la moindre idée de ce qui se passe dans ma tête. Oui, j'aimerais crissement ça aller mal parce que ça donne plein de privilèges et c'est beaucoup plus simple. C'est salement fatiguant, aller bien, vous saurez.... mais le mieux que je peux faire, c'est d'oublier mes principes, c'est le mieux que je peux faire pour agir en me câlissant bien des conséquences. Mais bon, c'est mieux que rien.

Au fond, c'est pas grave. J'ai cru que j'avais des amis, c'est-à-dire des gens qui seraient les premiers à croire en moi. Je me suis trompée parce que ces gens-là se sont avérés être plutôt les premiers à répandre des faussetés sur moi pour se remonter, et aussi les premiers à croire ces faussetés-là. C'est pas si grave, et je ne me battrai pas pour personne... j'ai pas besoin de gens prêts à se faire manipuler de façon aussi flagrante. Personne n'a envisagé que ya que moi qui suis dans ma tête. Personne ne s'est rappelé que je ne me confie pas complètement aux gens, justement pour garder le contrôle sur mes pensées et mes sentiments. Personne n'a compris que se faire raconter ce que je pense après deux chaînons du jeu du téléphone, c'est pas exactement l'idéal. Non, les gens que je croyais mes amis ont plutôt préféré accepter sans questionnement une version subjective et erronnée de mes actions, de mes mots et de mes pensées. Ces gens-là ont cru qu'une amitié, c'était de choisir un côté. Très bien. J'en n'ai rien à foutre que vous n'ayez pas choisi mon côté. J'ai même pas envie de vous expliquer ce que je pense en réalité ou de vous mettre le nez sur quelques beaux mensonges éhontés qu'on vous raconte en mon nom.

Il vient un moment dans la vie où vous avez l'occasion de prouver aux gens à quel point vous tenez à eux. Mon conseil, c'est : la prochaine fois, ne le ratez pas.

Je vais bien parce que j'ai jamais eu besoin d'un piédestal et que j'ai jamais trouvé difficile d'être seule. Je l'ai jamais été aussi totalement, je l'avoue, mais je commence à m'habituer et c'est pas si mal. Pendant des années, j'ai écouté les gens me dire que j'étais donc forte et que j'avais donc confiance en moi et que c'était donc incroyable tout en me disant que WOW, on me connaissait vraiment mal. Mais après tout ça, je commence à me dire que j'étais dans le champ parce que moi, je suis encore debout et que en aucune occasion je n'ai pensé que j'avais mérité la façon dont les gens me traitaient. L'autre semaine, j'ai lu un truc écrit par une fille qui racontait qu'elle avait l'impression que les gens qui la laissaient tomber le faisait parce qu'elle ne valait pas mieux... et ça m'a frappée. Que des gens puissent penser ça, d'abord. Puisque cette idée-là ne m'ait même pas effleuré l'esprit, moi qui, je croyais, étais la première à me dénigrer et à me trouver des raisons pour déprimer.

Mais non.
Je ne ramperai jamais aux pieds de gens qui sont si rapides à se ficher de moi et je n'ai jamais demandé à personne de ramper à mes pieds. Tout ce que j'ai jamais voulu, c'est qu'on me prouve qu'on tenait à moi. Et maintenant, depuis que j'ai flushé mes principes dans la toilette et puisque c'est comme ça que le monde fonctionne, une composante de cette preuve consiste à ce qu'on choisisse mon côté.

C'est de valeur, mais c'est ainsi.
Moi, je vais bien.
I decided to temporarily remove the "worship me" link to the guestbook at the end of each post so as to clear things up for those who have not been following the oh-my-god-my-guestbook's-screwed saga.

Now that this is done, maybe I should start talking about other stuff.

Tuesday, September 19, 2006

Demain, je dois :
1. appeler quelques déménageurs pour voir si je peux obtenir meilleur prix que ce que j'ai obtenu jusqu'à présent;
2. réserver mes déménageurs;
3. appeler mon proprio pour lui demander si je peux passer prendre les clefs de mon appart' en fin de semaine.

Demain, je devrais :
1. aller au gym;
2. obtenir quelques autres soumissions d'assurance-habitation.
Ha! Figured it out.

Everytime I get to thinking maybe I'm not a goddess after all, something happens to remind me that yes, I truly am that great!

Comment away, folks!
Can't get the comments to work. This is a curse...
The fact that I designed my own template seems to be interfering with the activation of comments on this blog.

I will have to do some reading about Blogger's tags and hopefully I should be able to manually add the necessary code pretty soon.

I must admit I am extremely disappointed in Signmyguestbook.com which never was down for so long in the past 5 years....

Monday, September 18, 2006

J'ai pris mon vélo pour aller au bureau de poste acheter un timbre pour envoyer mon acceptation de mon offre d'emploi. En sortant, j'ai passé devant un éternel client du café où j'ai travaillé pendant ma première année d'université, situé dans le mail. Je ne l'ai pas vu alors il s'est écrié "Salut Quartz !" dans mon dos. J'ai donc fait demi-tour pour aller jaser avec lui et en me voyant approcher, il a semblé réfléchir avant d'ajouter : "ah, ta fête est passée.... c'était en juillet..."

J'étais soufflée. Surtout que moi, je ramais pour retrouver son nom et qu'il ne m'est revenu qu'une fois que je l'aie quitté pour repartir chez moi. Je sais pas si vous réalisez ? Ça fait deux ans que je ne travaille plus là, et il se souvient de mon nom ET de ma date de fête ! C'est plus que certains de mes amis ! Je l'ai d'ailleurs félicité en lui exprimant à quel point j'étais impressionnée.

On a jasé pendant quelques minutes avant que je ne décide de partir. Je lui ai dit que j'allais travailler à Ottawa et je suis prête à vous gager tout ce que vous voulez que si je le recroise l'année prochaine, il va s'en souvenir.
Dans la vie, on n'a que ce qu'on mérite.

Si vous décidez de vous crisser des gens, faut pas s'attendre à ce qu'ils vous traitent différemment. Si vous les manipulez, faut vous attendre à vous faire manipuler. Si vous mentez, faut s'attendre à vous faire cacher la vérité. Et quand on agit en cave avec le monde, on peut pas blâmer les autres qui agissent en cave avec vous.

Le problème, c'est que la majorité des gens font ça pour se faire mettre sur un piédestal par les autres. Avoir besoin d'un piédestal pour vivre, c'est la définition même de pathétique. Et parce qu'un jour on vous retire votre petit piédestal, faudrait pas virer fou.

On fait des choix dans la vie et on les fait relativement à ce qu'on veut. On n'obtient pas toujours ce qu'on veut, malheureusement, et les principes, ça sert à ça : est-ce qu'on sera toujours content d'avoir fait ce qu'on a fait pour avoir quelque chose si pour finir on ne l'obtient pas ?

Mais bon.
Moi, c'est pas mon problème.

Sunday, September 17, 2006

Ça fait maintenant de longues minutes que j'essaie de pondre un texte. Ça fonctionne pas. J'ai donc essayé de me tourner vers une chanson. J'ai rien trouvé qui convenait. Je sais pas pourquoi, mais ce soir, j'y arrive pas. Je vais donc y aller pour un genre de résumé, je crois -

1. Un lever quand même assez tôt, suivi de la chienne qui m'a empêchée d'aller au gym.
2. Un coup de téléphone inattendu suivi d'une conversation psycho-pop d'une bonne heure et demi. J'en profite pour vous inviter à réaliser à quel point il est rare de pouvoir discuter avec quelqu'un sans arrière-pensée, juste pour discuter sans que ça tombe dans le déversement de mots de façon totalement stérile.
3. Un diner beaucoup plus fancy et complet que ce à quoi je suis habituée, un peu raté selon l'opinion du cook mais beaucoup plus que convenable à mon humble avis.
4. Un après-midi incroyablement vedge passé à compter les moments bizarres.
5. Une soirée qui passe plutôt rapidement jusqu'à présent.