I ordered a few books two days ago on amazon, and my order still hasn't been processed.
I think it's not this time either that my order will not be delayed...
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Hier soir, la vie m'a donnée tout plein de leçons. Et comme j'essaie, à l'aide de ce blog, de vous faire partager mes connaissances afin de ne pas vous assomer de ma supériorité :
1. Tout d'abord, évidemment, on m'a menti quand on m'a dit que le Père Noël n'existait pas.
2. Le jeu Zombies est amusant, pour reprendre les mots de Peanut, pendant les 5 premières minutes.
3. En fait, le jeu Zombies pourrait être pas si mal s'il était pas aussi long, ou si, au moins, les gars n'y jouaient pas. Quand ça commence à être long, les filles se liguent ensemble pour que quelqu'un - n'importe qui - finisse la game. Quand ça commence à être long, les gars commencent par faire chier tout le monde en rajoutant des zombies partout - rallongeant le jeu d'environ une heure. Quand, ensuite, ils veulent vraiment que le jeu finisse, ils élisent quelqu'un qui doit gagner. C'est cette personne, et aucune autre, qui doit gagner, ainsi, ils vont aider cette personne et planter toutes les autres.
(j'ai quand même gagné. c'est pas trois gars ligués contre moi qui vont me faire peur. je suis donc the all-time Zombie champion.)
Et puis, ce matin :
1. Quand votre parapluie meurt, n'attendez pas avant d'en acheter un autre. Sinon vous allez devoir vous faire pleuvoir dessus. C'est jamais le fun.
2. En fait non, vous ne devrez pas vous faire pleuvoir dessus. Vous pourrez utiliser votre giga sac et le tenir au-dessus de votre tête pour vous protéger. Ça marche. Z'aurez l'air stupide, mais ça fera la job.
3. Marcher 3 ou 4 coins de rue en tenant un gros sac au-dessus de sa tête, c'est une expérience. Surtout quand vous vous tenez sur un coin de rue à attendre que la lumière devienne verte.
4. D'un autre côté, si vous êtes du genre à n'avoir aucun muscle dans les bras et à ne pas avoir de temps ou d'argent pour le gym, se promener 3 ou 4 coins de rue en tenant un giga sac au-dessus de sa tête peut être la solution. En tk, moi, je vais avoir mal aux biceps demain.
Hier après-midi, j'étais assise sur un banc dans un parc, en attendant que Peanut finisse de travailler. Je reçois soudain un message texte : c'est ma mère qui me demande de l'appeler quand j'aurai une minute car elle a un service à me demander. Comme j'ai encore quelques minutes à rester assise dans le parc sans rien faire, je décide de l'appeler immédiatement au lieu d'attendre d'être arrivée chez moi.
Elle me parle de ma grand-mère, qui vient de se faire opérer à un genou, qui a parlé d'un vieux livre qu'elle aurait aimé lire. Il faut souligner ici que ma grand-mère se promène d'hôpital à centre de soins à chez elle depuis des mois et qu'elle déprime tranquillement de ne pas pouvoir faire grand chose par elle-même, ou toute seule. Ainsi, quand elle a parlé du livre «La force de la vie» (daté de 1975, ne cherchez pas), ma mère s'est dit que le moment était rêvé pour lui acheter.
Elle a donc fait de nombreux coups de téléphones dans plein de librairies : aucune ne l'avait en stock (daté de 1975, n'oubliez pas). En dernier recours, elle a téléphoné à une libraire spécialisée dans les livres vieux ou rares, située près de chez moi, et ils l'avaient (au prix mirobolant d 3$ - j'ai mentionné que le livre datait de 1975 ?). Elle voulait donc que j'aille le chercher - d'autant plus que je vais passer la fin de semaine chez mes parents, donc que je peux l'amener avec moi pour que ma grand-mère l'ait rapidement.
Après avoir soupé, donc, j'enfourche mon vélo et je me dirige vers la librairie en question. Elle est située juste en face d'une pharmacie, j'en ai donc profité pour y faire quelques commissions, puis, j'ai traversé la rue, j'ai entré dans la librairie par la porte déjà ouverte... et Il était là. Je l'ai pas reconnu tout de suite puisque c'est avec l'autre employée, une dame, que j'ai discuté, mais quand je suis arrivée à la caisse et que je l'ai regardé, j'ai eu peine à y croire : c'était le Père Noël. Vraiment.
En fait, ma première réflexion a été qu'il ressemblait beaucoup au Père Noël : pas trop grand, une grosse bedaine, le visage tout rouge, et la longue barbe blanche (vraiment blanche, pas grise ou grisâtre, blanche). Puis, quand je me suis rendue compte qu'il n'y avait pas de caisse (ou n'importe quelle autre technologie de ce genre) sur le comptoir et que j'ai vu le Père Noël devant moi commencer à ÉCRIRE les détails de la transaction À LA MINE, SUR UN PAPIER BLANC, en dessous de toutes les autres transactions de la journée, j'ai compris que c'était vraiment lui. Après tout, comment est-ce qu'un vieil homme qui dirige une fabrique de jouets dans laquelle tout est fait à la main et qui, à l'heure de FedEx et de UPS, prend encore la peine d'aller faire ses livraisons en traineau tiré par des rennes, pourrait bien voir l'utilité d'une caisse électronique ? C'est évident.
J'ai donc trouvé ce que fait le Père Noël pendant les longs mois avant Noël. Après tout, faut bien gagner sa vie, non ?
Quand je suis arrivée ici, il manquait deux lumières dans le corridor juste à côté de mon cubicule. Évidemment, j'ai jamais remarqué, jusqu'à ce qu'ils les réparent, aujourd'hui. Maintenant, il fait tellement clair dans mon bureau que je suis toute déstabilisée.
Vous savez, la drôle d'impression qu'on a quand on dort ailleurs que dans notre propre lit, qu'on se réveille en plein milieu de la nuit en pensant être chez nous et puis on sursaute parce que, oups, on est ailleurs ? C'est à peu près la même impression que j'ai : je travaille à mon texte, je suis concentrée, puis, quand je lève la tête, je suis toute surprise de voir où je suis !
Qui se souvient qu'en secondaire III, j'avais été marquée par la toune de Zachary Richard et qu'un de mes runnings gags était de chantonner à tout bout de champ, avec une drôle de voix «petit codiac» ?
Qui aurait pu se douter que des années plus tard, j'allais tomber sur un texte à traduire dans lequel on parle de Beauséjour-Petitcodiac ?
Je viens de goûter au tout premier chocolat noir que je trouve bon de toute ma vie. Soyez émus. Maintenant, allez !
Message très obscur affiché près de l'imprimante : je le regarde depuis ce matin en essayant de comprendre...
Tout d'abord, en gros : «Veuillez déposer les feuilles dans le bac avec le côté imprimé vers le bas.»
Effectivement, il y a un bac à côté de l'imprimante qui sert à recueillir la page couverture qui sort automatiquement avec chacune de nos impressions - comme ça, on peut séparer les documents qui sont dans la file d'attente avant nous au lieu de tout mélanger.
Plus bas, en tout petit, on lit, et c'est là que je ne suis plus du tout : «Les gens qui s'en servent à la maison vous sauront gré de ne pas gaspiller leur encre.»
Hein ?
Tweety : wow, c'était rapide ! M'attendais pas à ce que tu me répondes dans la même journée.
Donc vendredi moi aussi je travaille et je peux m'arranger pour finir vers 4 h... Plus le temps de revenir (vendredi, je suis en métro-autobus), d'attrapper l'auto et de me rendre au fort... D'après moi, ça devrait être faisable en 1 h 30, donc je pourrais être là vers 5 h 30 - ça te va ?
Tweety : faudrait que tu me donnes une réponses dans les meilleurs délais quant à la question du lift ou du pas-lift pour vendredi. C'est que si tu préfères ne pas prendre ton auto, au retour, j'irais directement chez mes parents pour y passer la fin de semaine (au lieu de m'y rendre le samedi matin) - donc faudrait que j'avertisse mes parents pour qu'ils sachent quel jour m'attendre !