Saturday, August 31, 2002

Pour commencer, un petit quelque chose que je voulais écrire ce matin mais qui m'est sorti de l'esprit, pour ne me revenir que la fraction de seconde où je me suis déconnectée. Et alors j'avais plus le temps, il fallait que j'aille travailler.

Alors tout le monde ensemble, prière de souhaiter un très joyeux anniversaire à notre FRANKSTER national !
Je te souhaite tout ce qu'il y a de mieux pour la prochaine année, une job passionnante et une hausse de morale très prochaine !

Ensuite de ça, bon, je devrais pas être sur internet parce que j'ai un téléphone à faire, mais il faut que je vous raconte ça. Ce matin, je rentre au restaurant, à la vaisselle, comme tous les samedis, sauf que la fille des pains n'est pas rentrée, et elle ne reviendra plus, alors c'est moi qui les a fait à sa place, parce qu'en plus il y avait une nouvelle de qui faire le training...

L'affaire, c'est que j'avais jamais fait les pains le samedi. C'est pas très différent du dimanche, sauf que c'est la même fille qui monte les assiettes et qui sort les pains du congélateur à la fin de la journée.... ce que j'avais jamais fait. C'est pas sorcier, sauf que montrer à quelqu'un d'autre ce que vous n'avez jamais fait en ayant l'air compétente, ça relève un peu du miracle. Bon, j'exagère, quand même, mais bon. Maintenant, je peux monter des assiettes. C'est-à-dire déchiffrer l'écriture des serveuses. Et sortir les racks de pains. Ce qui, quand vous devez en empiler douze, relève aussi du tour de force quand vous ne mesurez que 5 pieds...

Enfin.

C'est tout !

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