Mon coeur bat à 50 battements/minute ce matin.
Ça vous intéresse pas, mais moi, c'est le genre de chose qui me fait plaisir, bon !
À la fin de mon secondaire V, quand je passais ma vie à m'entraîner, ça a déjà baissé à 47/minute. Ça fait même pas trois mois que je m'entraîne, et puis il y a des jours comme ça ! Ça réconforte de voir que ce genre de chose-là, ça se perd pas. :)
Sur une note peut-être plus intéressante, j'ai su que mes examens finaux d'espagnol se tiendront le 3 et le 10 décembre. Le 10, ce sera l'examen oral, pour lequel on aura un rendez-vous, ce qui signifie que je devrai me rendre au cégep pour la minute et quart que durera mon oral, et puis ensuite, je pourrai retourner chez moi. (et ce matin-là, j'ai mon rendez-vous chez la coiffeuse ! Peut-être que la teinture va finir par pogner... :)) Si vous avez un esprit le moindrement déductif (okay, structure de phrase douteuse, mais vous avez compris l'idée - est-ce que ça se dit vraiment ?), vous comprenez qu'il ne reste plus que la note de mon examen final de physique à rentrer. Je me sens très «fin-de-session».
Ah, et finalement, je vous lance comme défi de trouver pourquoi je suis rackée dans les bras. Je n'ai pourtant rien foutu - enfin, me semble. J'ai bien dû faire de quoi...
Être rackée après m'être entraîner, j'aime bien, parce que ça me fait sentir que j'ai vraiment fait quelque chose.
Être rackée pour rien, cé moins agréable, parce que ça fait juste me dire que je ne suis pas assez forte pour passer à travers de mes tâches quotidiennes !
Bon, je commence à avoir faim, bonne journée !
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