Alors qu'est-ce que j'ai fait en fin de semaine ? Du sô-cial. Juste du sô-cial...
D'abord évidemment avec le proprio qui posait le plancher, puis avec les chums de Peanut... puis hier après-midi, ce sont ses parents qui ont débarqué inopinément. Évidemment, pour empirer les choses, Peanut est parti au club vidéo avec son père pendant une demi-heure, me laissant toute seule avec sa mère ! Ça, si c'est pas un coup chien... Heureusement, elle a beaucoup de jasette et je l'ai parti sur un sujet qui lui tient à coeur, alors ça s'est relativement bien passé. Et, évidemment, le tout s'est fini sur une autre séance d'introduction à Hot Shot Golf. On a montré à jouer à ce jeu-là à exactement 9 personnes jusqu'à maintenant, ça commence à devenir répétitif... et j'en peux vraiment plus de tous les voir faire exactement les mêmes erreurs au début. Enfin.
Je commence à être franchement en retard dans mes travaux, avec tout ça, mais la motivation est toujours presque nulle, alors c'est pas grave.
J'ai lu dans une revue que la procrastination, même si c'est une caractéristique humaine, proviendrait d'une basse estime de soi. Dans le style "je ne mérite pas d'avoir du succès alors je mets tout en oeuvre pour que ça soit difficile d'en obtenir"... Je trouve ça un peu exagéré. Enfin. Tout ça pour dire qu'il me reste un TP, un travail et de l'étude à faire.
À part de ça, les désagréments d'un plancher (je détestais avoir du tapis au début, mais j'avais fini par m'y habituer...) :
1. votre chum qui est la seule et unique personne à refuser obstinément d'enlever ses bottes avant d'entrer dans l'appart'. Je suis à la veille d'installer une moppe portative juste à l'entrée pour qu'il nettoie ses traces tout de suite.
2. le glissement que ça cause. Quand on s'assoit dans le sofa, il recule de quelques pouces. Faut constamment le ravancer, sinon, il va finir par trop reculer et renverser le speaker derrière lui.
3. c'est encore pire quand je m'assois dans ma chaise d'ordinateur, qui a des roulettes : je revole d'un pied ou deux. Aucun sens.
4. c'est froid, un plancher. j'aimais avoir du tapis parce que c'était comme une giga pantoufle étendue à la grandeur de l'appart'.
D'un autre côté, tous nos meubles sont finalement au niveau, ce qui, après un an de chialage, est plutôt rafraîchissant.
Là-dessus, je vous laisse pour avancer un peu mes travaux.
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