Il y en a qui disent que l'enfer, c'est la répétition... je commence à être d'accord. (je suis pas mal certaine que j'ai pris ça dans un livre ou un film, si yen qui reconnaissent la référence... moi j'ai un blanc)
Tout d'abord, je suis déménagée ici en septembre il y a deux ans. Premier gossage avec les meubles et rangeage des trucs. Ensuite, Ex-Coloc Salope est partie : j'ai déménagé Peanut en ouf, à peu près 6 voyages dans ma petite Accent deux portes. Deuxième gossage, plus élaboré et plus compliqué, avec les meubles, accompagné d'un giga clean-up de l'appart' puisque dans les 4 mois que j'ai vécu avec Ex-Coloc, je l'ai jamais vu manier un chiffon ou un balai. Pendant les six mois suivants, période de sous-location, s'accumulent dans le corridor perdu toutes les maudites gugusses qu'Ex-Coloc nous a laissé là en promettant de venir les chercher, sans jamais le faire.
Juillet arrive. Ex-Coloc sort ses trucs et les nôtres rentrent. Autre gossage de meuble. Heureusement, les trucs traînant dans le corridor débarrassent. Allons-nous ENFIN pouvoir vivre dans un appartment propre ?
Eh bien non, puisque s'ensuit un dégât d'eau dû à l'incompétence de FutureShop. D'autres semaines à vivre dans le bordel.
Heureusement, le tout se règle, et, au moins de décembre, le proprio installe de la céramique. En sciant sa céramique à l'intérieur, de façon à foutre de la poussière sur le plus de trucs possibles. Énième bordel, énième grand ménage.
Puis en fin de semaine, c'est le remplacement du tapis par du plancher flottant. Scié à l'intérieur de l'appart' encore une fois, évidemment. Autre bordel, autre ménage, mais j'en peux plus, moi !
Le plus gros a donc été fait, ne reste plus que la chambre, soit peut-être une journée supplémentaire de travail. J'ai décidé que ça se ferait samedi prochain, parce que cette semaine, j'ai des travaux à faire et j'ai besoin de mon ordinateur. Par conséquent, en fin de semaine prochaine, ce sera un nouveau bordel et un nouveau grand ménage. Que se passera-t-il après ça ?
Sinon, en gros, ma fin de semaine :
A. Nous avons appris que Grébiche ne possède pas deux stationnements. Ça veut donc dire qu'il y a un stationnement de libre à l'appart qui est destiné à être libre et non à être assigné, pour les urgences. Qui appartient donc à tout le monde.
B. Je suis une déesse des dames. Ou alors c'est juste Peanut qui est vriament poche. En à peu près 6 games de jouées, il n'a réussi à en gagner qu'une seule. Je le plante systématiquement. Muahahaha.
C. J'ai un talent moyen aux quilles. J'ai toujours cru que j'étais pourrie. Or, la soirée de quilles de samedi m'a démontré que, quand j'y mets un tantinet de sérieux - ce que je fais rarement puisque j'ai trop peur de me planter, alors tant qu'à me planter, autant le faire en déconnant - j'obtiens des résultats acceptables. J'ai même battu Jo deux fois. Quand même.
D. Avons transformé la séance de quilles en compétition gars-filles, comme pas mal tout le temps. En clair, les scores des filles additionnés devaient dépasser ceux des gars additionnés. Pas si facile quand les trois filles se situent aux alentours du 100. Enfin, avons fini par trouver le truc : nous nous sommes placées dans l'allée à côté de la nôtre (libre) et nous avons élaboré quelques petits moves de danse style choeurs : leurs scores ont littéralement droppé. Hourrah pour nous. Malheureusement, nous étions juste en face du DJ, qui nous a baptisé publiquement les Spice Girls.
E. J'ai fait un dalot qui a abbattu quelque chose comme 3 ou 4 quilles. Oui, la boule a ressorti du dalot ! Je dis toujours que les trucs dont les probabilités sont nulles m'arrivent....
F. Les gars prennent certains trucs trop au sérieux. J'ai eu droit à un sacre parce que j'ai déplacé la table sur le plancher neuf et que Peanut avait peur que ça fasse une scratch. Il s'attendait probablement à ce que je la soulève avec ma tête pour la remettre à sa place...
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