1. Hier soir, je lisais mes notes de géo avec Sucré-Salé en background, à la télé. Il y avait un reportage sur la version française de My Fair Lady qui est présentée au Rideau Vert, mise en scène par Denise Filiatraut. Moi, bon, les traductions de comédies musicales, je tripe pas trop, mais on a vu un extrait de la fin de Just you wait, chantée par Catherine Sénart.
Ici, je dois expliquer, pour ceux qui ne le savent pas, que l'histoire de My Fair Lady, c'est le professeur Henry Higgins qui ramasse Éliza Dolittle dans la rue et jure à tous qu'en quelques semaines (je ne me souviens plus de la période exacte), il pourra lui apprendre à parler anglais suffisamment bien pour la faire passer pour une dame du monde. Évidemment, Éliza Dolittle a un accent de la mort (Just you wite, 'enry 'iggins, just you wite! You'll be sorry but yar tears well be too lite!) qui est illustré par le joual dans la version française. J'aurais cru que ça serait pénible, mais en entendant Catherine Sénart finir Just you wait en disant Oh-oh-oh, Henry Higgins - tu vas voér!, j'ai été convaincue... Ça a l'air comique.
Voilà, c'était ma critique du jour.
2. Je viens de mettre un gros 10 minutes à réviser mon espagnol. Je n'avais pas mesuré à quel point c'est vraiment simple, ce qu'on apprend présentement, à quel point ya pas grand chose au menu du quizz et à quel point je suis mieux de mettre mes énergies ailleurs que sur ce quizz qui vaut 5% de la note totale. De toute manière, je suis sûre que ça va être jeudi, et pas aujourd'hui.
3. Afin de m'aider à rester organisée - aujourd'hui, j'avance la lecture de mon livre pour jeudi. Demain, je peaufine mon étude de géo (The internal heat of the earth drives plate tectonics, which drive the rock cycle!) et je trouve un passage à analyser dans mon analyse littéraire, et j'envoie un courriel à la prof pour qu'elle l'approuve.
C'est la mort, en jetant un bref coup d'oeil à mon agenda, j'ai découvert que j'ai un examen ou quelque chose à remettre à chaque semaine à partir de celle-ci. Bordel que j'ai hâte que ça soit fini...!
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