Un jour, il faudra que j'apprenne à me méfier quand je me dis "tiens, ça serait drôle que tel truc arrive aujourd'hui", comme ça, nowhere, parce que ça arrive vraiment trop souvent.
Ce matin, en arrivant au gym, je me suis fait la réflexion que je n'avais jamais vu un des entraîneurs s'entraîner.
J'ai fait mon échauffement, je vais au sol faire mes abdos, je les termine, je m'assois, je me tourne vers ma gauche pour remplir ma feuille et j'entends une voix à ma droite : "Hé, salut, mademoiselle !"
Je me retourne, qui vois-je ? Oui-oui, mon entraîneur #2, celui qui a remplacé celui parti en Europe jusqu'au mois prochain.
En revenant du gym, j'ai enfilé mes shorts et mon haut de bikini avant d'aller faire des foutus devoirs d'espagnol (qui en as par-dessus la tête, s'il-vous-plaît ?) avec un semblant de diner sur le balcon. J'essaie de me motiver à faire mes travaux en les faisant dehors, au soleil, et j'essaie de me motiver à en faire pendant au moins une heure en mettant mon haut de bikini dans l'espoir de corriger un peu le bronzage croche que je me suis ramassée l'autre fin de semaine en vélo.
J'ai le bonheur de vous annoncer que je viens d'imprimer mon analyse littéraire. Et que j'ai terminé l'avant-dernier livre pour ce cours-là. Le dernier livre a une centaine de pages et il est pour mardi prochain, j'ai donc pas trop de pression. Et j'ai rien d'autre, vraiment, cette semaine, je suis super heureuse. Je me la suis donc coulée douce pas mal toute la fin de semaine...
Vive l'été. Si on pouvait me garantir du soleil comme ça pendant une bonne période de temps, je prendrais mon vélo et je partirais faire le tour du Québec...
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