Vous dire à quel point je suis tannée de ne pas jamais pouvoir être prise en charge au travail. Je suis tellement à boutte.
Cette fois, le problème, c'est que j'ai une prise en charge qui en est à ses premiers balbutiements de prise en charge. Pis elle essaie, elle est pleine de bonne volonté, mais elle a aucune idée. Et bon, je concède que prendre en charge en temps de pandémie, ça doit pas être évident. Je voudrais pas le faire. Je le ferais pas nécessairement mieux. Mais avez-vous vu que je n'essaie pas de le faire, non plus?
Faque en janvier j'ai posé des questions. J'ai obtenu des réponses à toutes sauf une, soit celle qui me permet d'appliquer les réponses à toutes les autres. Ma Prise en charge devait me revenir. On est trois mois plus tard, pis c'est le silence radio. Pas le moindre petit osti de suivi de politesse. Fuck all. Sweet e-rien. En conséquence de ça, j'ai droit à des trucs, mais je ne peux pas m'en prévaloir. Je me trouve à être pénalisée, pis ma Prise en charge s'en contrecâlisse, clairement, parce que je l'ai pas vue depuis janvier. Vous dire comment ça me met en crisse. Mais en crisse, là. Pourquoi c'est si difficile de se faire respecter dans la vie, saint-osti?
Faque je suis en plein rush au bureau, j'entame ma troisième semaine de préposée à l'apprentissage virtuel des enfants, mais je vais quand même devoir prendre le temps de chialer à qui de droit. Pis je suis tellement serviable que je vais même proposer une solution à ma Prise en charge - autrement dire, faire sa foutue job à sa place. Pis si elle accepte pas, ça se peut que ça vire mal en tabarnak.
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