Non, vous ne rêvez pas, pour la première en ouf, plusieurs mois, voire des années, j'ai passé toute une journée - celle d'hier évidemment - sans aller sur internet du tout. Je ne suis ni fière ni déçue de moi-même, juste très impressionnée.

Alors une petite update, j'ai fini par recevoir un téléphone de la comédie le 4 vers 6 heures le soir, c'était presque émouvant, et la pratique d'hier fut très amusante et très éducative. J'ai par exemple appris que je suis vraiment petite, qu'un speaker peut vous donner la peur de votre vie et que faire le tour des noms de tout le monde peut prendre plusieurs siècles.

Ensuite de ça, moi et Tweety avons été visité des gyms, et avons fini par pas mal décidé qu'on allait s'inscrire au Nautilus probablement cette semaine. D'ailleurs, Tweety, ma mère veut aller s'inscrire en même temps que nous, ce qui complique un peu les choses, mais bon.

Ensuite de ça, j'ai fait un drôle de rêve. Drôle par rapport à ce qui se passait - qui ne semble pas sur le bord de passer réellement et ne me semble pas correspondre à une peur consciente et/ou profonde - et drôle aussi en ce sens que j'arrivais dans mon rêve sans savoir ce qui se passait. En temps normal, même quand vous vous mettez à rêver à quelque chose de ridiculement insensé, vous savez toujours ce qui se passe et ça vous semble logique. Pas dans ce rêve-là. J'ai passé tout le temps à essayer de comprendre ce qui se passait. Enfin, voici ce que j'en sais :

En commençant, mon chum me laissait. Enfin, c'est ce que je pensais. (ah, j'en connais un qui va regretter de ne plus visiter mon blog ;)) Et le plus étonnant là-dedans, c'est que je sortais déjà avec un autre gars, que je n'identifierai pas ici parce que j'ai bien trop honte et que j'aimerais bien savoir ce qui a poussé mon subconscient à croire que je sortirais avec ce gars-là. Bon, alors mon chum m'avait sacrée là et il n'avait jamais voulu me dire pourquoi sous prétexte qu'il ne voulait pas que je sois fâchée à cause de ce qu'il dirait et qu'il ne voulait pas qu'on s'engueule et qu'on finisse par s'haïr. Ce qui semble super délicat en théorie, mais qui me pousserait à m'acheter un batte de baseball si ya un gars qui me sort ça un jour. D'un autre côté, c'est peut-être juste mon subconscient qui ne savait plus quoi inventer. Faut dire que c'est comprenable, avec tout ce qu'il a inventé dans ce rêve-là. Ouf. Je crois que je suis tombée hors-sujet.
Donc, j'ai jamais su pourquoi il voulait me laisser, et ça me faisait chier, mais j'étais pas trop frustrée parce qu'après tout j'avais quelqu'un d'autre ! (ew, ew, ew, ew) Sauf que, la crosse fut qu'à un moment donné, je me suis ramassée dans un restaurant avec celui qui était mon ex dans le rêve. Fouillez-moi pourquoi, parce qu'à aucun moment j'ai eu d'invitation ou quoi que ce soit, en fait, il n'y a même pas eu de trajet pour ce rendre au resto, j'ai juste cligné des yeux et j'étais là. Et là, j'ai découvert qu'il ne m'avait pas laissée, en réalité - du moins, pas encore. Il me disait juste qu'il savait qu'il allait me laisser bientôt, mais il ne savait pas quand. (Autre réplique qui méritait un coup de batte de baseball, mais passons) À ce moment-là, je me suis mise à ramer en chien pour essayer de comprendre ce qui se passait... Par exemple, le fait que j'aie déjà un autre chum, et pourquoi ça ne semblait pas déranger l'autre... Ou encore simplement pourquoi est-ce qu'il m'avertissait en avance ? Ou bien comment j'avais bien fait pour me trouver un autre chum en lui disant que celui que j'avais présentement allait me laisser et que par conséquent j'étais théoriquement libre !!!!

Enfin, il y a ben d'autres affaires que je comprenais pas et avec lesquelles je me débattais comme une perdue pour leur trouver du sens, mais bon. J'ai aussi halluciné le téléphone sonner cette nuit. Je crois que mon subconscient était fâché contre moi cette nuit.

Ah, et sur une autre note, hier, j'ai voulu mettre ce que j'amenais à la pratique de chant dans mon sac à dos, ayant totalement oublié que mes affaires de physique y étaient toujours. J'ai crié un retentissant «ah, ouache !» en les voyant, et ai subi aussi un profond traumatisme.

Ah, et finalement, comme mot de la fin, je vais y aller avec :
C'est bien vrai qu'elle est étrange mademoiselle Belle !