La saga d'une fille qui se fait constamment exploiter. J'ai averti mes bosses que je ne voulais plus faire des shifts de 9 heures le vendredi parce que j'avais des cours et des devoirs. Et surtout, c'est plate en crisse, le vendredi soir. Demain je peux pas fermer à neuf heures, il faut que je sois partie à sept heures. Aujourd'hui, mon boss m'a avertie que je rentrerais à midi demain - et à quelle heure je finis ? "Ben, tu peux jusqu'à sept heures, non ? Peut-être un peu avant ça."
Je viens-tu de me faire fourrer, moi ?
Câlisse. J'ai hâte de sacrer mon camp de là.
Enfin, Tweety, je vais te l'envoyer par e-mail aussi, mais je confirme ce que je disais hier soir. Rendez-vous chez moi un peu après sept heures.
Ensuite de ça, quelques réflexions sur la pétassisation des filles de nos jours (je sais que j'arrête plus avec ça, mais je suis souvent dans les centre d'achats ces jours-ci, mon garde-robe criant famine).
1. Il est troublant de constater que les shorts sont aujourd'hui plus courts que la plupart des jupes courtes.
2. Il est extrêmement chiant de voir les tops rappetisser à la limite du possible. Ils ont du extra-small astheure, conçu expressément pour les planches à repasser, et c'est rendu que j'ai du mal à rentrer de façon décente dans du small. Or, moi, ça m'insulte trop de porter du medium, alors si le small me fait pas, je le laisse là. C'est pathétique, je sais, mais j'ai pas envie de commencer à complexer parce que je porte du medium.
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