Saturday, August 27, 2005

Hey ! Je suis pas un critère ! Et je correspond sûrement pas à celui-là, même si je sais pas ce que c'est !!! Bon !!!

Friday, August 26, 2005

Hier après-midi, je descendais encore au Vieux-Port à pied. Pour l'avant-dernière fois, d'ailleurs. Et je me suis rendue compte que les gars ont beau dire que ce sont surtout les filles qui sont victimes de l'image que les magazines mettent dans leurs pages de mode, ils se mettent le doigt dans l'oeil. Tentez l'expérience, les filles : habillez-vous tout ce qu'il y a de plus décemment, une paire de pantalons pas trop serrés et une camisole dans ce qui se fait de moins décolleté. Ensuite, ajoutez le gros sac et la paire de grosses lunettes qui vous mangent la moitié du visage (de façon à ce que Tweety ne puisse pas, pour une fois, invoquer vos supposées «special features») - parce que vous avez vos côtés fashion victim, vous aussi. Eh bien je vous garantie qu'on vous garrochera plus de looks que si vous portiez du linge qui vous colle à la peau et un décolleté plongeant. Pourquoi ? Tout simplement parce que vous aurez l'air d'une pub d'accessoires.

J'en étais à peu près là dans mes réflexions quand j'ai tourné le dernier coin de rue avant le bureau de Peanut. J'ai croisé une camionnette d'entreprise, laquelle m'a klaxonnée. Parce que je suis innocente, et aussi parce que les probabilités que je connaisse quelqu'un dans ce coin sont déjà plus élevées, j'ai essayé d'identifier le chauffeur... qui s'est révélé être un employé de l'entreprise, en uniforme, âgé de genre 35, 40 ans, qui a sorti sa tête de ladite camionnette et qui m'a lancé un genre de « woo-hoo! ».

Arrivez-vous à le croire? Moi pas. Je suis sûre qu'il a une Civic montée, un gros système de son et qu'il sort dans les bars pour se ramener une petite jeune à tous les soirs. Mais quand même. Ça prouve mon point.

Pendant que j'y suis, Tweety, je suis allée aux Promenades en fin de semaine dernière et j'en ai profité pour remarquer le « cinéma Promenades », pour utiliser l'expression que tu as utilisée pour me le décrire quand on voulait aller voir The Hitchiker's Guide to the Galaxy, et j'ai été très surprise de voir que c'est pas un « cinéma Promenades » du tout, en fait, c'est un Cinéma Cinéplex Odéon !!!

Mixed emotions: feeling nostalgic because it's your last day at work but being yet eager to leave as early as possible to go to that Tori Amos' show tonight.

Thursday, August 25, 2005

I don't
I don't know why
In your boys life you become like a bull
Like a bull in a china shop
Smash it up into smithereens
There you, there you go again
Breaking, breaking porcelain
Is that all I am just a doll you got used to
We've done, we've done this before
As Mars sauntered through his door
Don't say it's time to say
Goodbye to Pisces
Goodbye to Pisces
I cried and I washed my tears
That turned into diamond
Ice into ice and if it could freeze
My heart wouldn't float away
Here we, here we go away
Breaking, breaking porcelain
Is that all we are just dolls we got used to
We've done, we've done this before
As Mars sauntered through his door
Don't say it's time to say
Goodbye to Pisces
Goodbye to Pisces
So how, how will I go
Back on, back on the shelf
With a smile, with a smile
To the customer and say
On sale by the owner
Here I
Here I go again
Breaking
Breaking porcelain
Is that all I am
Just a doll you got used to
We've done
We've done this before
As Mars sauntered through his door
Don't say it's time to say
Goodbye to Pisces
Goodbye to Pisces
Goodbye my Pisces

Wednesday, August 24, 2005

Ha ! Enfin !

J'ai fait ma demande de prêts et bourses en retard cette année - ou plutôt, à la dernière minute, soit, genre, vendredi dernier. Je dois lever mon chapeau à l'Aide financière aux études d'ailleurs parce que mon calcul a été terminé hier, c'est vraiment rapide. Je croyais pas que ça se ferait avant que je commence mes cours. Enfin.

Le système a été tout tourneboulé dans les dernières années, mais je crois qu'il y a du bon, parce que pour la première fois, j'ai eu droit au message suivant : « Nous vous avons reconnu, dans le calcul de votre aide financière, des dépenses reliées à votre stage coopératif. » Hour-rah.

Le plus troublant, c'est qu'en partant d'ici vendredi, puisque c'est la fin de mon stage, je vais devoir passer par les bureaux d'à peu près tous les gens que je connais assez (de vue ou autre) pour ne pas pouvoir décemment quitter sans leur dire au revoir. Ça peut être pas si mal pour les gens à qui je parle régulièrement, mais pour les autres, ça risque d'être une belle expérience remplie de malaise.

Tuesday, August 23, 2005

The number of people who go to the washroom to brush their teeth after lunch here certainly falls within the "unbelievable" range.

Monday, August 22, 2005

À tous les soirs depuis près de 4 mois, je me rends au Vieux-Port à pied rejoindre mon lift. Je descends donc la même pente plutôt prononcée à chaque jour depuis 4 mois, et parce que j'ai rien d'autre à faire finalement pendant ce temps-là, je m'amuse à tenter de découvrir la manière de la descendre qui me donne l'air le moins folle.

Pour ce faire, j'examine les tactiques des autres. Tout d'abord, il y a ceux qui se penchent vers l'arrière pour contrebalancer la pente et qui se raidissent pour contrôler leur vitesse. Juste à les regarder, j'ai mal aux genoux. Il y a aussi ceux qui plient les genoux justement pour m'éviter de souffrir à les regarder, mais ceux-là finissent s'adonner au même rebond saccadé qu'ils tentent justement d'éviter et qui est pratiqué par les autres. Les autres se fichent de la pente et accélèrent le pas jusqu'à la limite précédant la course pure et simple, et donne l'impression de rebondir sur le trottoir (en haut, en bas) de façon saccadée dans un style de dérapage semi-contrôlé.

Au bout de 4 mois, j'ai enfin identifiée la manière la plus naturelle de descendre cette pente-là. Il s'agit d'utiliser une variante de la tactique numéro 2. Donc on accélère légèrement, on plie les genoux, on ne se penche PAS vers l'arrière... et on transforme le fâcheux rebond en déhanchement plutôt prononcé.
Cette méthode efficace a cependant des préalables :
Tout d'abord, il faut être une femme pour l'utiliser - parce qu'un homme qui se déhanche, c'est pas tout à fait sexy, et que le but de la chose est justement d'éviter d'avoir l'air idiot.
Ensuite, il faut être en jupe - parce que ledit déhanchement risque de ne vous donner l'air bizarre en pantalon. Évidemment, je l'ai pas encore testé, mais j'avertis. Ce deuxième préalable ajoute au premier : parce qu'un homme à la fois en jupe et se déhanchant superbement, c'est juste épeurant. Par conséquent...

Et à tous ceux qui se demandaient « à quand la sitcom mettant Quartz en vedette? », je suis fière (ou peut-être pas tant que ça) d'annoncer qu'elle a enfin été créée, à mon insu, que j'y incarne, au choix, une salope/une briseuse de couple/une pauvre fille victime de rumeurs et que déjà, un groupe de comptables d'un cabinet reconnus de la métropole la suivent religieusement à toutes les semaines.

J'ai toujours su que j'allais être célèbre...

Parce que ya rien qui me réjouit plus que de ploguer des mots fancy dans mes textes (on s'amuse comme on peut, quand on est traductrice), je dois annoncer que j'ai plogué le mot « vespérale » dans mon présent texte. Évidemment je crois que j'aurai pas le choix de l'enlever pour cause de mauvais niveau de langue, mais comme il ne figure même pas dans mon dictionnaire de synonymes, ça risque d'être ardu :)

L'automne est revenu. Caféine commence à nouveau à 6 h au lieu de 7, l'équipe de Yé trop de bonne heure est de retour, on a droit à tout plein d'annonces des émissions de l'automne, et, surtout... ya à nouveau du traffic sur le pont.

Bonjour l'automne.

Sunday, August 21, 2005

J'ai commencé Uru, à la demande de Peanut. J'ai joué assez longtemps pour en sortir avec un horrible mal de coeur. C'est génial, la vision 360 degrés dans les jeux, mais ça me demande toujours une bonne période d'adaptation.