Saturday, December 11, 2004

AAB, évidemment que je vais m'occuper de Tweety en fin de semaine : par définition, les réunions du groupe des 5 servent à discuter de Tweety et de ses déboires, quels qu'ils soient. Sauf que comme c'est un souper que j'ai d'organisé, aujourd'hui, j'ai bien peur de n'avoir, moi aussi, que de la bouffe à offrir comme support moral... C'est pathétique, non ?

Friday, December 10, 2004

Avez-vous déjà remarqué que c'est toujours les femmes qui s'occupent de tout, pis que les hommes s'amusent ? Pis après, c'est elles qui passent pour des achalantes qui déconnent jamais, mais bordel, faut ben qu'il y ait quelqu'un qui soit responsable en quelque part, pis comme c'est pas eux qui vont faire un effort... Sans coeur. Sans coeur. Sans coeur.
DraG : c'est pas ma faute si t'es influençable. :P Mais bon, tant pis, bienvenue dans le merveilleux monde des listes.
Tweety : tout est sous contrôle, ton blog est de retour... en giga caractères. Je comprends pas. Je comprends vraiment pas. Enfin. C'est un signe. Il est temps que je reformatte mon ordi. Et comme la prochaine fois que je le reformatte, ça va être pour le redonner à mes parents, ça veut dire qu'il est temps que je m'achète un nouvel ordi. J'ai Uru devant moi, qui me regarde d'un air narquois...
Manque de motivation générale... J'habite à 3 pas de 2 dépanneurs, d'une caisse et d'une pharmacie, pourquoi est-ce qu'il pourrait pas y avoir une épicerie pas loin ? J'ai besoin de deux petites gugusses pour demain, et j'ai pas envie de sortir de chez moi. C'est triste : j'ai pas mis le nez dehors de la journée.

Je crois que je vais y aller demain matin, je vais avoir le temps en masse... *soupir*
Mais, mais, mais, mais !

Qu'est-ce qui se passe ? Depuis quelques jours, la majorité de ce que je visualise avec mon internet explorer est en caractères gigantesques, et j'arrive pas à arranger le tout ! C'est déprimant ! Et puis pourquoi c'est seulement certaines pages ? Blogger est énorme, mon guestbook aussi, et le blog de AAB... Le mien est correct, celui de Rob aussi... Je comprends vraiment plus.

Et j'arrive plus à accéder au blog de Tweety, non plus. C'est un moins pour un plus, au fond, parce que ça fait une page qui n'est pas affiché en caractères de taille 115....

Enfin. Faudrait que j'aille prendre ma douche et m'habiller, au cas où on viendrait déneiger le stationnement : j'ai pas envie de me faire surprendre en pyjama. J'ai pas vraiment envie de sortir mon auto du stationnement qui est maintenant devenu une patinoire enneigée, c'est vraiment mer-veil-leux, mais je suis contente d'être dans le fond, parce que personne ne peut m'accrocher, ya juste moi qui peux accrocher tout le monde, mais ça, ça n'arrivera pas.

Oh, et comme note finale, DraG, j'ai aucune pitié pour les gars qui font la baboune parce qu'ils ont pas de cote secrète. J'ai pas de cote du tout, moi, est-ce que je me plains ?

Thursday, December 09, 2004

Ma journée d'aujourd'hui, au lieu d'être une relaxe première journée de vacances, m'a autant épuisée que d'habitude.

Me suis levée aux aurores pour m'assurer d'être à l'heure à l'ouverture du bureau d'aide financière de l'université. Suis quand même arrivée juste. Ai eu mon certificat de garantie en un quart de tour, suis repartie.
Suis allée essayer de faire faire ma carte d'intermédiaire pour les autobus, et je me suis obstinée avec une crisse de grosse négresse imbécile contre qui j'en ai personnellement. (Disclaimer : je suis pas raciste, mais quand quelqu'un m'énerve, j'utilise tous les outils à ma disposition pour les bitcher. J'ai donc rien contre les gros, et rien contre les Noirs, voilà.) Mise en situation : pour faire faire la carte, il faut remplir un formulaire et le faire étamper par l'établissement scolaire fréquenté. C'est du moins ce que la même grosse négresse imbécile m'a dit l'an dernier. Je suis donc allée me taper une heure d'attente à l'université pour me faire étamper ce crisse de formulaire-là. Et quand je suis allée faire faire ma carte, à défaut de formulaire, on pouvait seulement présenter son horaire. Voilà. Me ferai pas fourrer une deuxième fois, me dis-je, ils vont me prendre sans formulaire. Mais Grosse Crisse De Négresse Idiote m'obstine. Non, il faut absolument le formulaire. Je pourrais bien lui apporter toutes les preuves d'études que je veux, elle veut rien savoir. Comme les gardes de sécurité du cégep. En août et en juin, ils acceptent le dernier bulletin ou l'horaire, qu'elle me dit. (Hého ? Je vais pas au secondaire, moi, mon année scolaire, elle est divisée en 3 périodes, pis c'est plus des bulletins que j'ai, c'est des relevés de notes !) Hello, what's the point ? Enfin, pas moyen de rien faire, la salope est boquée.

Suis allée chercher ma paye à la Fondation ensuite. J'aime bien aller à un endroit où je travaille plus, parce qu'on dirait que tout le monde s'ennuie de toi à mourir. Quand même, c'est juste hier, que j'ai fini... Enfin. Il y aura un simili party de Noël en janvier, possiblement un dîner avant les fêtes et c'est ça.

Sinon, j'ai passé ma journée dans le couraillage (décrit ci-haut) et en ménage. (Et en playstation, mais shh) Et maintenant, il faudrait que j'aille au centre d'achat acheter, pour la énième fois, mes dernières petites gugusses des fêtes.
Je tiens à alerter le B.T. qu'il y a une faille à l'interne. J'ai comme tout plein d'information privilégiée tout d'un coup ! Enfin, merci DraG pour les trucs, qui entraînent chez moi les 2 réactions suivantes :
1. PARDON ? LE 15 JANVIER ? D'accord, est-ce que j'ai une tronche à déménager en pleine session, moi ? Noooooooooon... Faudra définitivement que j'appelle Coordonnatrice. Je dois lui parler de l'absence brillante de visite de stage, d'évaluation d'employeur, et, voilà, de janvier. Moi, je vais à l'école. Est-ce que c'est clair ?
2. Hein ? Tu vas encadrer un stagiaire en hiver ? Est-ce que j'ai manqué un truc ? T'étais pas un stagiaire, toi aussi ? Comment est-ce qu'un stagiaire en encadre un autre ? Comment tu vas encadrer un stagiaire si té à Montréal ? Ou tu t'exiles à Ottawa pour découvrir le secret de la caramilk ?

Wednesday, December 08, 2004

I got screwed way too many times in the last few hours, but oh well, what can you do. That's the story of my life.

First, my boss thought that, having done everything I had to do for my work term, I could just leave today and not work for the rest of the week, which I was supposed to do to complete my work term. I'll still get paid, but shh - don't anyone tell anyone. They even offered me to leave at noon, but I was going out to lunch with Jillian and Alex so I decided I would just finish the website stuff and leave in the afternoon, with Alex because I'm driving him to the metro.
So in the afternoon, I bummed around, having nothing to do, waiting for Alex. Around 4 o'clock, I walked to his office and asked him if he still wanted to leave at 4. "Oh, sorry, he said. I forgot to tell you, Daniel will be driving me to the metro, so you get outta here, girl." (#1)

I walk back to my office, say bye to my MSN friends, close all my windows, and then, my boss turns to me : "Oh ! There's this thingy you need to translate ! Do you have time now ?" (#2)
So it took me almost an hour to finish this last thing and I left a little before 5.

And then I drove home and parked my car in the parking lot. Now the parking lot is a skating rink, I swear, I never thought it would be possible for it to be so icy, but it is. And of course, it's only after I maneuvered (damn, sp ???) courageously through the cars so I wouldn't hit anything or anyone that I realized that I'm going out tonight so I could've just parked the car in the street and spare me the effort of parking on ice twice in a row. Woe is me.
Ha !
I just finished translating the poem.
I thought I would post both versions here when I was done, but I think I'm gonna wait until the website is online. Then I can just link, but that's not the reason why I'm not posting it right now : I just don't think it's a very nice thing to do.
Au fait, la Fondation m'a annoncé hier qu'ils seraient prêts à continuer à m'employer en janvier, etc, et on m'a demandé d'établir comment je voulais être payée (tarif à l'heure / par mot / par tâche) et là, je suis un peu fourrée. Enfin, je crois que je vais demander d'être payée au mot, et j'exigerais un petit supplément pour des textes techniques, par exemple les règlements administratifs, etc. Mais est-ce que j'ai l'air de connaître les tarifs des traducteurs, moi ?

Alors ceci est un message à DraG, si tu passes par ici, quoi tu penses, toi ?
Je sais que ton ami payait 10 sous le mot, alors je pensais peut-être demander 12... et monter à, je sais pas, peut-être 15 pour des trucs juridiques... Mais je sais pas, moi ! Je suis innocente, moi ! Faut m'éduquer !
J'ai fait mon entrée hier soir dans le monde du traffic d'heure de pointe en pleine tempête. Faut dire que, quand Alex nous a offert, à moi et Jillian, d'aller démarrer nos autos dix minutes à l'avance, j'aurais dû me douter de quelque chose : Alex est un espèce de gros primate pas galant pour deux sous (tiens ! Tweety ! un primate, cé pour toi ! Et pendant que j'y pense, quand j'ai parlé que j'avais une amie de 6 pieds, blonde aux yeux bleus, il s'est assuré que j'avais son numéro de téléphone...) alors s'il veut démarrer mon auto, il y a quelque chose de louche... Et ce quelque chose était la pluie verglaçante, que j'avais oubliée, enfermée dans mon bureau sans fenêtre.

Je me suis donc engagée sur la 30 sur 800m avant de me diriger vers la 116... Tout allait bien, et le paysage était plutôt attrayant : on a même vu une dépanneuse dans le champ (vous savez que vous êtes vraiment une traductrice quand vous dites "dépanneuse" et non plus "towing"). Puis soudainement, tout s'est bouché, tout s'est arrêté, et puis pas moyen de voir quoi que ce soit devant. Attendez le prochain bulletin circulation : la 116 direction Montréal est fermée. Prenez quelques minutes pour faire comprendre à Alex-tout-perdu-et-inquiet-parce-qu'en-tant-qu'homme-il-est-incapable-de-prendre-la-situation-en-main que oui, nous sommes sur la route qui est fermée, et que oui, je sais ou nous sommes et oui, je suis capable de nous rendre au métro sans encombre. (J'ai dû lui expliquer en détail ou nous étions par rapport au métro et à la Fondation, et puis ça a porté fruit, puisque ce matin, fort de ce nouveau savoir, il m'a demandé, tout de go : mais pourquoi tu prends pas toujours cette sortie-là pour te rendre ? T'es sûre que c'est pas plus rapide ? Sans commentaire.)

Enfin, ça m'a pris plus d'une heure passer de la Fondation, au métro à chez moi, j'ai même reçu un coup de tel de mon chum qui, étant arrivé avant moi à la maison, était tout désemparé et déboussolé de trouver un appartement vide.

Tuesday, December 07, 2004

I am so downloading this as soon as I get home.
1. I received Robert Downey Jr's CD by mail yesterday. I am deeply troubled because he seems to like to mix lyrics, or to include other lyrics in his songs. Example 1 : "all we are saying is give peace a chance". Example 2 : "god give me the strength to change the things I can change" (or something like that, you all get what I'm talking about) Example 3 : in The Futurist, a lot of the lyrics come from Snakes, a song he recorded on one of Ally McBeal's soundtrack. And finally, the beginning of the second track strongly reminds me of something else, still haven't figured out what, but anyway. But so far, I like his CD, I am just very disappointed that River isn't on it. Oh well. Never mind.

2. Amazon officially cancelled my order for my Wallace & Gromit DVD, saying they can't get it anywhere. The order at Archambault still stands, but if they still haven't gotten it in 90 days, it will be cancelled as well. On the official Wallace & Gromit website, we can order the DVD. However, the price is in british pounds, and a britsh DVD just might not work here. (this is where I officially thank DraG for telling me this about the Ally McBeal DVD's a few months back, because althought everybody seemed to know about this, nobody ever bothered to tell me. I'm an idiot, you guys have to tell me stuff !)

3. Report was handed in last night, took me 15 minutes to catch a fucking elevator, just so I arrive too late to pick up my guarantee certificate, so I have to go back there next Monday, at 9 in the morning, watch me, I will be there.

4. J'ai commencé la traduction du poème, et ça se passe pas vraiment bien. Un poème, par définition, c'est pas clair. Et celui-là manque grandement de sujets dans ses phrases. Ya donc deux endroits ou je suis même pas sûr de la signification originale. Just kill me now.

Monday, December 06, 2004

The good thing about my work term being over soon is that I'll be away from that randomness. It's not a bad thing, I know, but having people walk in my office and ask me random questions without me knowing where the hell they're going with this, it just freaks me out.

This is sad, because I, myself, am random like that, so got to wonder how much I freak people out, but anyway.

Or maybe it's just a pattern thing.
I've talked about those personality patterns, long ago, how everybody has one and how some of them take time for you to really get them. Well, it might not take a while for you to get them, but that period of time when you don't really sucks, because everything someone does just confuses you. At least it does me. So I'm thinking, this particular guy, I thought I understood his pattern for a while, and then it turned out I didn't, so I guess that's why I'm so freaked out now, because I used to think it plain funny when he did that.

Anyway. I'm out.
Hé, les insultes !
Tweety : tout d'abord, j'étais pas hyperactive au point de me pitcher à terre, au secondaire, svp ! Quant à New York, eh bien sache qu'"on" n'a jamais établi quoi que ce soit : j'avais bien un bleu sur la jambe qui venait de mon sac, mais mes big gigas bleus en arrière de mes mollets, je crois pas qu'on peut blâmer mon sac. Si je m'étais crissé mon sac dans les jambes à assez de reprises pour avoir des bleus, j'aurais crissé le camp par terre au moins une couple de fois. Quant à samedi, eh bien, mystère... Je suis sûre que tu as une double personnalité ! Muahahahaha !
J'ai ouvert mon dico pour chercher néant, et je suis tombée directement sur le mot "nyctalope". Cela nous vaut bien une petite quote du jour commanditée par le Donjon de Naheulbeuk :
"Je suis nyctalope !
- Ah, je savais que t'étais une salope.
- Non, je suis nyctalope ! Ça veut dire que je vois dans la nuit."
Oh mon dieu ! Saviez-vous que le mot "bienvenue" comme dans :
-Merci.
-Bienvenue.
est un anglicisme ?
Je traumatise. Je disais pas ça avant, puis j'ai commencé à l'utiliser quand j'ai commencé à servir des clients, parce que, je sais pas, "de rien", je trouve que ça fait plus bête. Enfin. Je traumatise vraiment beaucoup. Quelqu'un veut traumatiser avec moi ?
Vous voulez vous amuser durant vos parties des fêtes ? Eh bien procurez-vous le eye toy, LE jeu du temps des fêtes ! Cette petite caméra, ploguée dans votre playstation, détecte vos mouvements pour vous permettre de contrôler votre bonhomme à l'écran. Ce petit jouet vous permettra de voir toute votre famille gesticuler comme des caves devant votre TV ! Des heures de plaisir garanties !

Plus sérieusement, j'ai vraiment découvert ça samedi, alors que tour à tour, Tweety, Matinée et Jo se sont essayé sur le eye toy - c'est vraiment le jeu de party. Une fois tout le monde soûl, ça doit être vraiment quelque chose.

Sinon, la journée de samedi a été très bien, sommes allés en groupe voir le Père Noël vs le bonhomme de neige au IMAX, en nous faisant tous passer pour les enfants de Peanut, je me suis faite masser les épaules par une mascotte (pas que je m'en plains, mais pourquoi tout le monde veut me masser les épaules, ces temps-ci ?), on est allés patiner, diner au Giorgio, avant de revenir chez nous jouer au eye toy, à Gangster (c'est moi qui a gagné, après avoir volé les hommes de Jo et hérité du diamant de Matinée) et commencé une game de zombies, jeu pas très clair. On allait continuer, mais Shining commençait à la télé, alors on est allé s'installer dans le salon.

Suis allée tenter de finir mes achats des fêtes dimanche, ça n'a pas marché, mais il me reste vraiment plus grand chose, et puis je suis en congé à partir de la semaine prochaine : je vais donc pouvoir éviter le gros traffic qui me rend folle.

Là-dessus je vous laisse, pour finir les valeurs de la Fondation, avant de m'attaquer au fameux poème !
Ça recommence : j'ai encore les jambes pleines de bleus. C'est vraiment grave, mais je crois en avoir trouvé la cause.
Ça a commencé au secondaire : j'avais en permanence les jambes pleines de bleu, et des vrais, multicolores, qui font mal, et qui prennent des semaines à partir. Ça s'est un peu calmé au cégep, et puis c'est revenu, périodiquement.
Et qui est-ce qui est avec moi depuis le secondaire ? TWEETY ! Un hasard ? Je ne crois pas... Surtout quand on pense que j'avais des giga bleus sur les mollets en revenant de New York... Et que j'en ai encore aujourd'hui, et qui est-ce que j'ai vu en fin de semaine ? TWEETY !
Alors voilà, Tweety, tu es au pied du mur : je sais que c'est toi qui me bats !