Saturday, January 22, 2005

Truc qu'il faudrait bien que je finisse par me rentrer dans la tête une fois pour toute : les gars sont cons. Les gars sont immatures. Ça vaut pas la peine de se casser la tête pour les gars. Et considérant que je veux pas d'enfants, je vois vraiment pas ce que je pourrais bien retirer d'une relation quelconque avec un gars.

Un gars nono, c'est un gars qui dit devoir ab-so-lu-ment aller au salon de l'auto aujourd'hui à une heure pour rencontrer ses chums, même si c'est aujourd'hui que le proprio vient finir le plancher. Un gars niaiseux, c'est un gars qui, en plus, se prend un rendez-vous aujourd'hui à dix heures pour être bien certain de pas être là pour aider à tasser les meubles. Un gars pas vite, c'est un gars qui part vers midi et quelques en vous disant de ne pas vous sentir obliger de ranger tous les meubles, qu'il le fera en revenant. Un gars cave, c'est un gars qui vous appelle à quatre heures, soit-disant pour savoir où les choses en sont, mais uniquement pour vous dire subtilement que la visite est loin d'être finie. Un gars qui cherche le trouble, c'est un gars qui tente de bargainer sur l'heure à laquelle il doit rentrer à la maison accomplir sa fameuse promesse de ranger les trucs (pensant que sa blonde va attendre sagement attendre jusqu'à dix heures qu'il daigne se pointer et replacer le lit). Un gars imbécile, c'est un gars qui pense qu'en plus de passer la balayeuse, ranger la majorité des meubles et du stock qui va dans les meubles, sa blonde va aller se geler dehors pour aller rapporter son film au club vidéo.

Non mais c'est quoi le besoin URGENT de sortir quand l'appartement est de même ? Pourquoi est-ce que c'est LUI qui se donne le droit de sortir et que, par conséquent, c'est MOI qui doit rester effoirée ici à rien foutre, dans le bordel ? Pourquoi est-ce qu'un gars c'est trop cave pour vieillir, éventuellement, pis prendre ses responsabilités ? Me semble que c'est pas la fin du monde à comprendre, que quand on a un dégât d'eau, des rénovations, faut faire des sacrifices, est-ce que ç'aurait vraiment été la fin du monde de sortir DEMAIN ? Quand on a un âge mental d'adolescent de 15 ans, c'est simple, on part pas en appartement...

Friday, January 21, 2005

J'ai beaucoup trop de trucs à faire aujourd'hui pour avoir la motivation pour les faire.

Thursday, January 20, 2005

I don't post on my other blog as much as I used to. I had an online diary, but I think I am officially saying good bye to it this year. I spent a great deal of time there, this is where I wrote before I started this blog, it allowed me to meet great people who opened my eyes on a hell of a lot of things, but I think it's over.

So I don't post on my other blog as much as I used to. I actually need to give it a makeover, which I haven't done in a long time, because now I feel that the old layout needs to go, because this layout in itself has come to mean something on its own, and well, the blog is changed, and you can't change a blog and keep the same layout.

I don't post on my other blog as much as I used to because now I can post most of my thoughts just here. I used to think eventually I would make the link public, but now I know I never will. I do re-read parts of it sometimes and a lot of those times I myself think it's way too heavy and I can't bear just reading it, so I wouldn't subject someone else to it. Rob: I think I understand why you e-mailed me back then, and I now realize what a bitch I was to you. still not an excuse for young and stupid and just looking for attention :P

I don't post on my other blog as much as I used to, but I do have a lot of stuff there. I actually have translated ICQ convos saved there. Old, old stuff.

And then I think : maybe I am back where I started. I think I am. Took 4 whole years to achieve a complete cycle, but maybe it's done. It's funny, because at the same time, I am back where I was 4 years ago, but also pretty much where I thought I would be today.

Thing is, I lived so long just trying to get to HERE, thinking I knew what it meant and how it was or would be, it's depressing to see, well, it's not.
I thought I was working towards something that would guarantee me total bliss when I finally would get it. At the same time, at the back of my mind, of course I knew that it probably wouldn't... but it was just at the back of my mind, because I didn't really believe it, I just thought about it because this is what they all say. You think something's going to make you happy right up until you get it. Right ?

So you finally get IT, and things are working out for a while, and you're thinking, yes, that is what I wanted, and yes, I think I am happy, and I knew that is all that I needed.

But sooner or later, it's gonna hit you: no. IT isn't all that you needed to get to happiness. Have you just wasted all that time?

No.

I had come to the conclusion a few years back that happiness is mainly something you know you have when you don't think about it. I still think that is a good definition.

All I know is I'm back where it started, therefore in a good state of mind. I got mostly what I wanted, and now I see that it never was a condition to my own happiness. Or say, yes, it was, but not to the extent I thought it was. However, I am not unhappy, and as I would totally fail to list the things that make me happy, I think that means I am happy.
Haha.

Quand je sais pas trop quoi faire, comme présentement, je retourne lire mes archives... Et je viens de tomber sur un post où je raconte que "Je me suis fait un ami hier dans mon cours de traduction du moment où je me suis exclamée : Lucky charms !!! quand notre prof a parlé de l'expression 'a pot at the end of the rainbow'. C'était pas vraiment sensé être drôle, c'était vraiment pas mon meilleur coup, mais lui a trouvé ça drôle et a passé tout le cours à se bidonner de mes commentaires.

Je me suis rappelée qu'ensuite, Tweety avait signé mon guestbook en disant que ça, c'était pas un ami, mais bien un monsieur-public.

Alors, DraG, tu as le choix : t'aimes mieux "ami" ou "public" ?
Je respire hyper mal depuis quelques jours. C'est mauvais signe.

Ya vraiment trop de trucs déprimants qui m'arrivent ces temps-ci.

Je pense que le rythme de mes cours, cette session-ci, me convient pas vraiment.

Je pense aussi que quand je gagne quelque chose d'un côté, je le perds de l'autre.

Je suis peut-être juste fatiguée...
Je suis très troublée de constater que quelqu'un est arrivé sur mon blog en faisant une recherche avec l'expression "photos jupe courte".

Ce qui me fait penser que, parlant de photos, je compte faire imprimer une dizaine de photos numériques éventuellement, pour pouvoir me promener avec une photo papier de la charmante Francesca qui se déplace ou vous reçoit en toute confidentialité. (voilà, et ensuite, je me demande pourquoi ya des recherches freaks qui mènent à mon blog...)
I applied lip balm once this morning around 9 o'clock, then at 12:20 and then at 4:30 in the afternoon. This blog is becoming an official demonstration of a girl trying to break her addiction to lip balm. And for what it's worth, I finally deducted that there is no actual addiction at all. In my case, everything lies in the fact that as soon as my lips don't have that smooth balm feeling, I think they're dry, when they are not. However, I'm not giving up just yet as I've made tremendous improvements in one week. Plus, I got quite good at gaining control over my addictions lately, so who knows, maybe one day I'll write a book about it. So I can teach people how to quit smoking, quit chewing their nails, quit si'ing, etc. I am going to rule the world, ya know.
Les jeudis sont très rofs quand vous avez un cours qui finit à 10:45 hres le mercredi soir. Je suis fatiguée. En plus que déjà, cette semaine n'est pas ma meilleure semaine, alors si en plus, je suis fatiguée, cé pas la joie non plus. Et fatiguée, je le suis présentement, si vous voulez savoir.

Ce matin je me suis mise en marche pour aller prendre l'autobus que Galia a décidé qu'on prenait, à genre 7 coins de rues de chez moi, quand il y en a un qui passe juste au coin. Parce que Galia pense qu'il faut ab-so-lu-ment prendre cet autobus-là, pourquoi ? Parce qu'il nous débarque à Montréal. Je suis plutôt du genre à accepter les lubies de autres, surtout l'été, quand il fait chaud et que je risque pas mon nez et mes oreilles à chaque fois que je me rends à l'arrêt d'autobus. J'avais toujours rien dit jusqu'à ce matin, parce que ce matin, on a pogné le traffic sur le pont. Bizzarrement, je vois pas l'intérêt de se forcer pour prendre un bus pogné dans le traffic, surtout quand il ne nous débarque même pas proche de l'université...

Arrivée au cours : retour des TP. Je me suis ramassée un 87 % (avec un espace, j'ai perdu trois points pour ne pas avoir mis d'espace avant mon signe de %, es-ti) qui me semblait assez honnête, comparé à la fois au 66 % de Galia et au 78,35 % de moyenne, jusqu'à ce que je me fasse brutalement péter la gueule par à peu près tous mes compères de co-op qui eux, se sont tapés des 100 %. Et voilà la valeur de mon stage.

Sur cet échec cuisant, je m'en fus à mon cours de révision, qui promet de me rendre (encore plus) folle d'ici la fin de session. Je l'ai déjà dit, mais la correction d'épreuve se situe à un niveau de difficulté à peu près inexistant : il suffit de comparer le texte tapé au texte manuscrit et d'identifier les erreurs de frappes à l'aide de symboles spécifiques. La difficulté, c'est de se souvenir des symboles. Vous parlez d'un calvaire... Sauf que ya des gens qui aiment se compliquer la vie, couper les cheveux en quatre et s'obstiner pour rien. Je les ai officiellement identifié aujourd'hui comme les fameux "oui mais moi" découverts par Tweety au cours de la session passée... Sa définition, trop exacte pour être altérée, étant : En classe, peu importe le sujet, peu importe le moment, peu importe si quelqu'un est déjà en train de parler, leur main se lève avec le désir irrépressible de faire part aux autres de leur foutue expérience de vie. C'est pas utile, ça n'a même pas besoin d'avoir de lien avec le sujet de la discussion, ils se tournent vers le prof et lui lance invariablement " oui, mais moi..."
Dans mon cours à moi, ça se traduit (ah ! mais quel jeu de mot !) par des :
"Oui mais moi, j'aurais pas fait ça comme ça" (évidemment, ton 3ème cours de révision te met au-dessus des auteurs de notre livre);
"Oui mais moi, mon autre prof nous a dit de mettre un espace avant le point-virgule" (quand vous atteignez l'âge respectable de 35 ans, vous devriez savoir que ces trucs-là ont toujours varié et varieront TOUJOURS d'un prof à l'autre);
"Oui mais moi, j'aurais fait ça de cette autre manière-ci pour éviter que les gens ne se posent des questions inutilement... (Ça, c'est dans le top 5. Quand on fait uniquement des interventions inutiles dans un cours, faudrait pas en vouloir à ceux qui le font occasionnellement);
"Oui mais moi, je me suis fait dire qu'il fallait pas séparer les noms de ville qui ont des trait-d'union..." (d'accord, ça, c'était DraG, ça s'est fait plus rapidement et c'était déjà plus justifié, MAIS ça commençait tout de même par "oui mais moi").
Les "oui mais moi" de traduction ressemblent donc un peu aux "oui mais moi" de psychologie, à cette différence près que les "oui mais moi" de traduction vous donneront, si c'est possible, une envie encore plus accentuée de les tuer puisque les "oui mais moi" de traduction se substituent littéralement au prof. C'est-à-dire qu'ils vont répondre à une question d'un étudiant AVANT que le prof n'ouvre la bouche, complèteront sa réponse APRÈS ou, encore mieux, couperont la parole du prof PENDANT qu'elle donne une explication. Parce qu'évidemment, leurs trois premiers cours de révision à eux valent plus que vos trois premiers cours de révision à vous.

*soupir*

J'étais presque aussi de mauvaise humeur que Galia...
Bon, je peux avoir l'air de la bitcher fort aujourd'hui, mais elle m'a aussi bitchée aujourd'hui, donc je ne fais que mettre ça au niveau. Elle s'est aussi sauvée de moi et DraG deux fois, la première fois en levant soudainement de la table où on dînait tranquillement en déclarant "bon, ben moi, je vais faire un bout...".
Enfin, elle s'est tout de même transformée en bodyguard personnel en déclarant mon nombril zone privée. Il faudra donc rédiger sous peu l'Acte du nombril privé de la Quartz québécois. Oui, j'ai dû traduire dernièrement un truc sur l'Acte de l'Amérique du Nord Britannique et j'en suis pas encore tout à fait revenue, faut me pardonner...

Wednesday, January 19, 2005

Je viens d'appeler au gym duquel j'ai eu l'offre supposément privée et confidentielle, pour savoir quelle était la crosse... Eh bien la crosse, c'est que un an gratuit avec cotisation mensuelle, pour eux, ça veut dire le même prix que tout le monde moins les frais d'inscription. C'est malheureusement hors de mes prix (et c'est plus cher qu'au Nautilus qui est à peut-être 7 coins de rues de chez moi) alors tant pis. J'irai au gym quand j'aurai fini mes études, j'imagine.

J'ai fait une version allégée de mon ménage hebdomadaire puisque de toute manière, il va encore y avoir du brin de scie partout samedi prochain. J'ai imprimé le TP que je dois remettre ce soir, si bien qu'il ne me reste plus aujourd'hui qu'à lire mon chapitre d'anthropo et prendre des notes. Je fais très rarement mes lectures, sauf qu'on parle ici d'un cours où le prof n'explique pas vraiment ce qui est dit dans le livre. C'est un peu troublant. Mais bon, on parle aussi ici d'un prof dont l'anglais est tellement mauvais que quand il a sauté une ligne en nous lisant une diapo, lundi, il a continué comme si de rien n'était, parce qu'il ne s'est jamais rendu compte que ce qu'il disait n'avait soudainement plus de sens.

J'ai transféré de l'argent de mon compte d'épargne à mon compte chèque pour pouvoir payer les électros à FutureShop dès que possible, et ainsi annuler ma carte de crédit FutureShop avant de ne devoir payer les frais annuels de 25$ pour l'année prochaine. J'ai aussi sorti notre police d'assurance pour forcer Peanut à les appeler ce soir et m'ajouter sur les assurances (ça fait quand même un an que j'en paye la moitié sans être assurée, en voulez-vous, une belle poire comme moi ?). En gros, je suis en train de tout régler mes trucs d'"adulte" pour pouvoir redevenir pendant un certain temps un petite fille et triper parce que j'ai un wok. (imaginez, je tripe autant et je m'en suis même pas encore servi...)

Là-dessus, je vous laisse pour travailler sur le site du voyage. J'ai assez hâte de finir l'Ouest canadien... Au fait, avez-vous entendu parler des pluies torentielles qui tombent sur la Colombie-Britannique et qui causent des glissements de terrain ? Il paraît que c'est surtout Vancouver qui est touché... Et je me rappelle que peu de temps après notre retour de voyage, yavait eu des feux de forêt sans fin à Kamloops, enfin, je me suis fait la réflexion tout à l'heure que j'étais bien contente d'être allée en Colombie-Britannique pendant que Kamloops et Vancouver existaient toujours...
Alors comme il fallait s'y attendre, j'ai reçu un coup de fil de mon ancien boss hier soir... disant que j'aurais dû l'appeler, que lui il pensait que son comptable l'avait envoyé, etc, etc, qu'il le paye pour faire ça... Je lui ai répondu qu'à sa place, je changerais de comptable. Il a dit qu'il allait l'appeler et lui demander d'apporter ma cessation d'emploi ici, au lieu de l'envoyer par la poste, vu qu'il est pas fiable. (Ça aussi, c'est ma suggestion, qui l'a débalancé pendant quelques minutes, style "tu peux pas faire ça ?" "ben, euh, non, j'veux dire, c'est pas comme ça que ça fonctionne d'habitude...")

Enfin. On verra. De toute manière, j'ai un wok.

Tuesday, January 18, 2005

MERCI TWEETY POUR LES PHOTOS DE L'HALLOWEEN !!!!
ELLES SONT TELLEMENT HOT !
Alors pour ceux qui me voient fatiguer devant le Benix du Faubourg depuis deux semaines, à chaque fois que je sors de mes cours, eh bien je peux vous annoncer que je me suis finalement procurée aujourd'hui le fameux wok à 20$ que j'y admire à chaque fois. Ben quoi ? Il me fallait une motivation pour aller porter ma lettre à mon boss, alors... Et 20$, cé à peu près dans ce que je peux me permettre comme dépense non-obligatoire ce mois-ci.

Mon boss était pas là. J'ai donné ma lettre à mon ancien copain serveur, digne de confiance. Je n'attends plus que l'appel indigné de mon boss qui va m'expliquer pour la énième fois que c'est pas lui, c'est son comptable.

J'ai aussi fini par annuler ma carte Visa Desjardins. J'avais jamais fait ça auparavant, mais je dois vous dire que c'est drôlement amusant de découper une carte en petits morceaux. En plus, puisque les problèmes de dégâts d'eau sont réglés, je vais payer FutureShop pour les électros au plus vite, ce qui va me faire une autre carte de crédit à annuler donc à pouvoir déchiqueter. C'est le fuuuun.

J'ai aussi reçu un truc privé et confidentiel me disant que j'avais été sélectionnée pour avoir droit à un an d'abonnement à un gym pas très loin, moyennant une cotisation mensuelle pour tenue de compte. Je vais appeler pour le fun, d'un coup que la cotisation mensuelle tourne aux alentours de 5$, je vais peut-être le prendre. Je veux désespérément retourner au gym depuis cet automne, mais j'ai pas d'argent pour payer 35$ par mois, alors ça pourrait être cool. On verra.

Mon niveau d'achèvement de travaux scolaires pour aujourd'hui est très près du zéro (mais pas totalement ! hourrah !) mais j'ai un wok et j'ai fait pleins de trucs que je voulais faire depuis full longtemps, alors c'est quand même une journée très productive.
Voici la lettre que j'irai porter aujourd'hui à mon ancien boss :

18 janvier 2005

Bonjour X,
Cela fait maintenant 5 mois que je ne travaille plus pour toi. Il a fallu des mois avant que j'aie mon 4%, ce qui dépassait déjà de beaucoup le raisonnable. Cependant, j'attends toujours ma cessation d'emploi, et je trouve que cette période d'attente n'est absolument pas justifiée. Par conséquent, je me vois obligée de t'accorder un dernier délai. Si dans deux semaines je n'ai toujours pas ce papier entre les mains, je n'aurai d'autre choix que d'appeler les Normes du travail. J'attendrai donc ton coup de fil (123-4567) jusqu'au 1er février.
Je suis désolée d'en venir à cela, mais c'est apparemment la seule façon dont je dispose pour me faire entendre.
Merci,
Quartz


Je ne me ferai pas de photocopies puisque si je dois faire une plainte, je vais devoir lui renvoyer une lettre enregistrée de toute manière. Je ne suis pas vraiment sûre que les Normes peuvent quoi que ce soit pour moi, puisque je n'ai jamais entendu parler de délai maximal pour remettre une cessation d'emploi mais comme il ne connaît pas du tout les normes, ça risque de lui donner le coup de pied qu'il faut pour bouger.

Et dire que ça sera à recommencer quand je voudrai avoir mon T4... Bordel...
Tweety : c'est impossible, effectivement, que j'aie 45 lecteurs. Je l'ai cru jusqu'à ce que le chiffre dépasse le 20, puis j'ai conclu que ce poll-là est tellement général que tout le monde qui arrive ici par google ou whatever, décide de voter aussi. C'est pour ça que je me décide pas à le changer, le monde n'arrête plus de voter...

Peanut : ça serait effectivement idyllique que tous les gens qui votent ou même qui visitent mon blog signent le guestbook.... j'ai essayé, vraiment essayé pendant longtemps, avec des messages à répétition, bilingues, et même des alertes onpageload, ya rien qui fait. J'ai fini par l'accepter et par me tourner sur l'identification des IP. Sinon, tant pis.

Monday, January 17, 2005

Et je suis presque débarassée de ma dépendance au lipsyl : la fin de semaine a été bénéfique et j'en applique maintenant une fois par deux, même trois heures.

Je crois que je commence à m'habituer.

C'est pas très urgent, de toute manière, j'ai quand même 5 lipsyls neufs dans mon tiroir en attente...
All right, I give up.

I mean you can't force a girl to translate when all online databases are so slow.

I finished my assignment, and the other short paragraph I have to translate for Wednesday night will be done tomorrow.

The rest of today will be spent working on my website and playing with Peanut's addictive Nintendo DS.
Who knows, maybe I'll end up feeling guilty enough to work on it a little before I'm off to class...
Petit fait cocasse de la journée :

Il y a quelques semaines, Peanut est allée aux portes ouvertes de son ancienne école avec un copain. Il en a ramené un dépliant parce qu'il était sur la couverture : on le voyait de biais, en train de travailler à un dessin.

En déplaçant tous nos trucs, hier, je suis tombée sur ce dépliant-là. Et j'ai remarqué une deuxième fenêtre ouverte sur le bureau de l'ordinateur de Peanut. Je me suis rappelée qu'il allait souvent sur internet pendant ses cours, même s'il n'était pas supposé... J'ai tenté de déchiffrer le titre flou de la page, m'attendant à voir quelques chose comme Jeux vidéo.com ou, même, sait-on jamais, Quartz's Song. Je cligne des yeux, et non, ce n'est pas une page d'Internet Explorer, c'est mieux que ça : c'est une game de Freecell.
Mais quelle belle publicité...
I am officially addicted to the Nintendo VS version of Mario 64. Or, rather, to the bonus games that are included.

J'ai très envie de travailler sur le site du voyage - surtout parce que je veux me concentrer sur le voyage en Angleterre - mais je peux pas... faut que je fasse mes travaux...

La bonne nouvelle, c'est que si j'arrive à finir mon TP et le petit paragraphe à traduire aujourd'hui, demain, je vais pouvoir consacrer la plus grande partie de ma journée au site....
J'ai rêvé que j'allais me présenter aux auditions de la comédie.

Ce qui me rappelle que faudrait que j'aille voir c'est quoi qu'ils présentent cette année, et c'est quoi les dates des shows.

Tweety, tu veux y aller, cette année aussi ?
Il y en a qui disent que l'enfer, c'est la répétition... je commence à être d'accord. (je suis pas mal certaine que j'ai pris ça dans un livre ou un film, si yen qui reconnaissent la référence... moi j'ai un blanc)

Tout d'abord, je suis déménagée ici en septembre il y a deux ans. Premier gossage avec les meubles et rangeage des trucs. Ensuite, Ex-Coloc Salope est partie : j'ai déménagé Peanut en ouf, à peu près 6 voyages dans ma petite Accent deux portes. Deuxième gossage, plus élaboré et plus compliqué, avec les meubles, accompagné d'un giga clean-up de l'appart' puisque dans les 4 mois que j'ai vécu avec Ex-Coloc, je l'ai jamais vu manier un chiffon ou un balai. Pendant les six mois suivants, période de sous-location, s'accumulent dans le corridor perdu toutes les maudites gugusses qu'Ex-Coloc nous a laissé là en promettant de venir les chercher, sans jamais le faire.

Juillet arrive. Ex-Coloc sort ses trucs et les nôtres rentrent. Autre gossage de meuble. Heureusement, les trucs traînant dans le corridor débarrassent. Allons-nous ENFIN pouvoir vivre dans un appartment propre ?

Eh bien non, puisque s'ensuit un dégât d'eau dû à l'incompétence de FutureShop. D'autres semaines à vivre dans le bordel.
Heureusement, le tout se règle, et, au moins de décembre, le proprio installe de la céramique. En sciant sa céramique à l'intérieur, de façon à foutre de la poussière sur le plus de trucs possibles. Énième bordel, énième grand ménage.

Puis en fin de semaine, c'est le remplacement du tapis par du plancher flottant. Scié à l'intérieur de l'appart' encore une fois, évidemment. Autre bordel, autre ménage, mais j'en peux plus, moi !

Le plus gros a donc été fait, ne reste plus que la chambre, soit peut-être une journée supplémentaire de travail. J'ai décidé que ça se ferait samedi prochain, parce que cette semaine, j'ai des travaux à faire et j'ai besoin de mon ordinateur. Par conséquent, en fin de semaine prochaine, ce sera un nouveau bordel et un nouveau grand ménage. Que se passera-t-il après ça ?

Sinon, en gros, ma fin de semaine :
A. Nous avons appris que Grébiche ne possède pas deux stationnements. Ça veut donc dire qu'il y a un stationnement de libre à l'appart qui est destiné à être libre et non à être assigné, pour les urgences. Qui appartient donc à tout le monde.
B. Je suis une déesse des dames. Ou alors c'est juste Peanut qui est vriament poche. En à peu près 6 games de jouées, il n'a réussi à en gagner qu'une seule. Je le plante systématiquement. Muahahaha.
C. J'ai un talent moyen aux quilles. J'ai toujours cru que j'étais pourrie. Or, la soirée de quilles de samedi m'a démontré que, quand j'y mets un tantinet de sérieux - ce que je fais rarement puisque j'ai trop peur de me planter, alors tant qu'à me planter, autant le faire en déconnant - j'obtiens des résultats acceptables. J'ai même battu Jo deux fois. Quand même.
D. Avons transformé la séance de quilles en compétition gars-filles, comme pas mal tout le temps. En clair, les scores des filles additionnés devaient dépasser ceux des gars additionnés. Pas si facile quand les trois filles se situent aux alentours du 100. Enfin, avons fini par trouver le truc : nous nous sommes placées dans l'allée à côté de la nôtre (libre) et nous avons élaboré quelques petits moves de danse style choeurs : leurs scores ont littéralement droppé. Hourrah pour nous. Malheureusement, nous étions juste en face du DJ, qui nous a baptisé publiquement les Spice Girls.
E. J'ai fait un dalot qui a abbattu quelque chose comme 3 ou 4 quilles. Oui, la boule a ressorti du dalot ! Je dis toujours que les trucs dont les probabilités sont nulles m'arrivent....
F. Les gars prennent certains trucs trop au sérieux. J'ai eu droit à un sacre parce que j'ai déplacé la table sur le plancher neuf et que Peanut avait peur que ça fasse une scratch. Il s'attendait probablement à ce que je la soulève avec ma tête pour la remettre à sa place...