Saturday, May 07, 2005

Gust
~ 55% Water ~ 66% Wind ~ 55% Earth ~ 55% Fire ~
I want to live where the sky is big

Simple and free...

Let’s see... your personality reminds me of the...

...cool Sapphire, the non-red corundum, or its little brother, the Blue Topaz. Your colours are azure, indigo, and a bright yellow or gold.

Interpretation:

Out of the seven chakras, the Throat Chakra, which is associated with the element of wind and represents our desire to learn and communicate, seems to be predominant in you. Though this means you are probably the smartest one among your friends, it may result in feeling stressed or nervous or becoming too much of a perfectionist.

You can balance it by wearing a Rose Quartz; its soothing attributes help unwind, enable you to "love thyself", and accept limitations.

A Tarot references concerning your predominant element:

If you are a young lass or lad and still unmarried your card is the Page of Swords. Young women, especially married ones, identify with the Queen of Swords, also known as the Queen of Spades. If you are a young, unmarried man, you are the Knight of Swords, and married or “mature” males are identified with the King of Sword, commonly known as the King of Spades. Ladies, here is your intelligent man you’ve been looking for.



My test tracked 4 variables How you compared to other people your age and gender:


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You scored higher than 43% on water

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You scored higher than 25% on wind

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You scored higher than 41% on earth

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You scored higher than 23% on fire
Link: The Elemental Balance Test written by Nitsuki on Ok Cupid
J'avais pas vraiment envie d'aller sur internet ce soir, mais comme présentement mon chum et ses amis sont en train d'écouter le Seigneur des anneaux, la seule manière pour moi d'y échapper, c'est ici...

Voici donc deux bonnes citations de la soirée :

"Une fois que tu habites avec ton chum, tu deviens une genre d'affaire fatiguante qu'il appelle 'sa blonde'."

"Mais moi, je veux bien être sa distraction, même si c'est pour pas durer !"

Friday, May 06, 2005

Just because sometimes it's good enough to see daylight -

August 15, 2003
Or actually, no, it was written before that, but somehow I can't find the first version, so...

I wasn't sad exactly. A bit bitter, maybe, but I'd gotten over the sadness. I'd come to terms with the facts.
I hadn't exaclty given up either. I just couldn't believe in that stuff anymore. Or actually, I still believed it, but I thought it wasn't going to happen for me.
Once you accept something, you can start going forward again. And I just planned out my whole life like this, and it wasn't so bad, no, it wasn't so bad.
I didn't pity myself.
I had just lost that hope somehow and now maybe I should feel relieved that I was wrong, but who knows, maybe I wasn't, and in some dark corner of my mind, I still remember what that hopeless state of mind was like.


August 27, 2003
favorite line excerpted

maybe there will be no tomorrow, maybe tonight i will fall asleep for the last time maybe the end of the world is coming tonight have mercy i tried so hard maybe...
Haha ! Comme c'est drôle ! Je faisais des trucs avec la télé en background, tout à l'heure, quand j'ai entendu une nouvelle annonce de show-réalité américain traduit... J'ai relevé la tête par curiosité, puis je me suis rendue compte que... ça va être la toute première saison de Temptation Island, que j'ai suivi religieusement au cégep et qui nous a donné, à moi et à Tweety, de nombreux sujets de conversations !

Je sais pas pourquoi, mais au cégep, moi et Tweety prenions les shows-réalité très à coeur. Je suis pas mal sûre que ça a commencé avec Temptation Island (le pauvre Andy, le loser fini qui avait essayé tout le long de se trouver une autre fille), ensuite je l'ai forcé à écouter le tout premier Boot Camp (et c'est Wolf qui aurait dû gagner !), puis ça a été le premier American Idol (vive Kelly Clarkson), et puis, finalement, Joe Millionnaire (ça, c'était particulièrement mauvais, mais bon, comique quand même).

Je suis quand même contente que nous ayions évoluée et qu'on possède maintenant de meilleurs sujets de conversation !!!
Something that amazes me about English people is how they are CONSTANTLY aware of what time of the day/week it is.
And I'm not just talking about the damn "good morning/afternoon/night" distinction that's so annoying because you have to constantly keep track of what time it is that's apparently innate to them.
I'm also talking about their attention for holidays-weekends and stuff. They always know. They really do. You'll never say goodbye to an English colleague on Friday and not have them reply either "see you on Monday" or " have a good weekend". They'll always wish you a happy Thanksgiving although in Canada, we really don't give a damn about that holiday.
I don't think about stuff like that. I'll say hello or goodbye, that's as far as distinctions go with me. I don't think about when we're going to see each other next time, I don't think about what's happening during that period of time when we'll be NOT seeing each other, I'm just leaving and saying bye. How the hell then do THEY do to keep track of those things?

You think you're in relatively good shape until a simple, daily 30-minute walk makes your muscles ache. (Faut vraiment que je retourne au gym)

Présentement, je suis en train de mourir.

J'ai un 2000 mots à traduire - généralement, 2000 mots, c'est pas si long. Celui-là, par contre, est truffé d'abbréviations très obscures qui me sont totalement inconnues. Quand je pense qu'hier, ma réviseure m'avait promis un texte qui nécessiterait peu de recherches - vu que je n'ai TOUJOURS pas l'internet, ya vraiment quelque chose qui cloche entre moi et mon accès internet dans mes stages - et qui serait pas trop compliqué... Elle a apparemment décidé de me donner exactement le contraire : un texte illisible qui me prendra des années-lumières à traduire.

C'est pas vraiment la fin du monde, mais je risque d'être épuisée à la fin de ce truc-là !

Thursday, May 05, 2005

Han ! J'ai un bébé chèvre naine qui est né dans mon zoo virtuel !!!!
I really don't know why, but somehow, lately, all I seem to do is make up crazy ways for my friends to get rich and then reward me for my good advice.
Scratch that, mail-to-Blogger actually worked. That's why I'm repeating myself so much in the last two posts. I'm not sure why they sent me back my e-mail with Error as subject, but whatever. It worked. The rest of the world is at hand... if only I can get access to the Internet !
1. To my great surprise, although my internet access is STILL not activated (daaamn it), I can receive and send e-mails to anybody. However, my mail-to-Blogger feature doesn't seem to be working.
2. I was offered a flower this morning, when we all went to get coffee. This man I've hardly talked to so far bought two flowers and when we all got into the elevator on the way back, he said that if I laughed on the way up, I got a flower. So I did. Made my day.
3. Non, Tweety, j'ai pas d'explication à tes problèmes de paragraphes... C'est peut-être Blogger qui plante...
4. Ha ! Un gars qui perd ses mots devant Tweety ! Comme c'est cute ! Moi, ça m'est plus arrivé depuis le célèbre Manu... Mais bon, moi, j'ai eu un oeillet :)
5. Mon bal d'asso, ayant été grandement impopulaire auprès des étudiants (gang de cheaps !), a été remplacé par un genre de 5 à 7 dans un resto-bar mexicain. Je trouve ça très, très drôle. Mais comme ça a lieu lors de ma dernière journée de stage, je vais peut-être aller faire un tour.

Ça alors ! Je ne suis plus déconnectée du mooooooonde !

J'ai découvert ce matin que, de façon plutôt obscure, je suis capable de recevoir et d'envoyer tous les e-mails que je veux, et ce, même si mon Internet me boude obstinément. Et comme, grâce à un outil merveilleux de Blogger, je peux poster ici avec des e-mails, me voici, me voilà, comme je suis émue, regardez-moi ça !

Ce matin, quand on est descendu s'acheter un café en groupe (le quart de notre groupe ne prend même pas de café, c'est vraiment un prétexte à se dégourdir les jambes), un monsieur du groupe a acheté 2 oeillets, et sans que je sache trop pourquoi, il m'en a donné un. Vous voyez, ça fait que 4 jours que je suis ici et j'ai déjà des fans !
Enfin, tout ça pour dire que ça a fait ma journée et que pour la journée, quand mon texte devient trop chiant, je regarde ma belle petite fleur - j'ai mentionné qu'en plus, elle était rose ?

J'ai eu la révision de mon tout premier texte, c'était pas si mal. Ma réviseure (ah ! enfin un mot que je suis capable de féminiser !) et mon chef d'équipe ont dit que c'était très bien pour un début. Ce qui veut dire que maintenant, je peux me détendre.

Là-dessus, je retourne bûcher !

Wednesday, May 04, 2005

Aujourd'hui, c'est avec la photocopieuse que j'ai dû me battre. C'est elle qui a gagné...

J'ai toujours pas l'internet à la job et je déprime. Je me suis arrangée pour pouvoir écrire ici par e-mail, mais tant que mon accès internet fonctionne pas, ça me donne rien. Ah, et au fait, DraG, fallait que je t'avertisse que yavait une erreur dans l'adresse que je t'ai donné hier - apparemment, ya une deuxième Quartz en quelque part, par conséquent, pour m'écrire, faudra que tu ajoutes un 2 juste avant le @.

Je me suis rendue au bureau de Peanut en 25 minutes aujourd'hui - cette fois-ci, mes explorations de la ville souterraine ont rallongé mon chemin d'un coin de rue seulement. Suis arrivée un peu trop tôt là-bas, j'avais pensé faire un détour un peu plus haut pour essayer de trouver le building où j'ai une formation complètement inutile la semaine prochaine, mais c'est pas une expérience à tenter quand vos souliers frottent sur vos pieds et vous font mal. Je sais bien comment m'y rendre en métro, mais j'aimerais bien y aller à pied, si c'est pas trop loin. Je vérifierai ça avec mes cartes.

Tuesday, May 03, 2005

Renverser mon horaire sens dessus dessous, ça me fait pas. Ça fait quatre mois que je me couche après onze heures, je PEUX PAS soudainement me coucher plus tôt... J'ai même commencé à prendre ma douche le soir, ce qui me déstabilise encore plus - mais faut bien faire des sacrifices quand on veut pas se lever plus tôt...
Ha ! Ma lapine, après que je lui aie boosté la santé, n'a rien trouvé de mieux à faire que d'aller se foutre devant un vélo. Bordel...
Je m'en vais rejoindre Peanut à pied à son bureau en sortant du travail. Connaissant ma propension à me perdre dans les rues de Montréal, je décide de contourner le problème en descendant vers le métro pour prendre une sortie près de son travail. Après tout, si ya un endroit où tout est indiqué clairement, cé bien le métro.

Je prends l'ascenseur, je descend dans les entrailles de la terre. Je suis les flèches vers le métro... jusqu'à ce qu'elles disparaissent ! Je suis dans un cul de sac et le métro est sensé être dans le coin. Je tourne en rond quelques fois et j'abandonne l'idée de pas avoir l'air perdue. Au bout de cinq ou six minutes, je comprends que pour aller dans le métro, il faut que je remonte un étage. Je déambule dans le métro en essayant de deviner quelle sortie est la plus près du bureau de mon chum. C'est alors que j'aperçois le La Baie.

Le La Baie, c'est mon petit phare personnel. Ce La Baie-là m'empêche de me perdre quand je me rends au bureau de Peanut, c'est mon seul et unique point de repère. Et là, on aurait cru entendre les anges chanter, il m'apparaissait sous la terre ! Depuis que j'ai essayé une robe d'enfant là-bas et qu'elle m'a fait, le La Baie et moi, on se comprend à demi-mot. Vive le La Baie. Je m'avance - il y a deux sorties. Je prends la mauvaise, évidemment (tout va mal aujourd'hui, j'ai réussi à fucker une photocopieuse et une imprimante à moi toute seule, alors une mauvaise sortie, fallait s'y attendre). Je descend donc vers le Vieux-Port à pied en devisant intérieurement avec moi-même... J'arrive au coin de René-Lévesque, près d'un Tim Horton's. À deux gros coins de rues de mon point de départ. C'est là que j'ai réalisé que finalement, j'étais mieux de passer par dehors... Mon détour par le métro n'avait pas servi à grand-chose - mis à part un moment de bonding avec le La Baie et la découverte d'une petite crêperie....

Monday, May 02, 2005

Ha ! Mais ya personne qui m'avait averti que mes retours d'impôts rentreraient directement dans mon compte, moi ! En fait, bon, j'y avais pensé un peu, mais comme personne m'en avait parlé, j'attendais mon chèque...

Alors yay ! J'ai temporairement de l'argent !
J'attends encore une preuve un peu plus près de moi de ça, mais c'est quand même drôle à lire.
Je débarque de l'auto de Peanut beaucoup trop tôt devant l'immeuble où se déroulera mon stage. Je passe une bonne vingtaine de minutes à fixer le paysage et à passer en rafale à peu près tous les horribles scénarios qui pourraient m'arriver - incluant celui où j'ai pris le métro et celui-ci plante et me met en retard. Je l'ai déjà dit, j'aime bien exorciser mon stress en m'inventant des peurs. Quand j'étais petite, le soir, quand tout le monde était couché et que je dormais pas, j'entendais assez souvent un bruit... un genre de boum, boum, boum, plutôt lent, et comme je savais pas ce que c'était, je m'imaginais que c'était un énorme robot style Transformer qui était dans la cuisine et qui avançait lentement dans le corridor et qui allait éventuellement se rendre à ma chambre. Alors, je me foutais la tête sous les couvertures et je respirais très lentement, en me disant que comme ça, le robot ne me verrait pas quand il entrerait dans ma chambre - ou il croirait que j'étais morte. Je me suis rendue compte des années plus tard que le bruit que j'entendais, c'était uniquement mon propre sang poussé par chaque battement de coeur. Mais bon.

Je disais donc que je me suis fait des peurs pendant une vingtaine de minutes, avant de me diriger vers l'ascenseur, où j'ai vu, consterné, que dans le même immeuble se trouvait le bureau de mon prof de juridique de cet hiver. Ça veut probablement dire que j'ai de grandes chances de tomber sur mon prof de juridique cet été. Ça, ça faisait pas partie de mes petits scénarios d'horreur...

Je monte en haut, j'appelle mon encadreure/euse/trice (aucune idée du féminin du mot encadreur, je m'en suis tapée une crise de nerfs quand j'ai voulu rentrer mes heures tout à l'heure, mais bon, j'ai décidé que je m'en fichais). Elle vient me rejoindre à l'entrée - elle fait à peu près 4 pieds 10. Je me suis dit qu'on était faites pour s'entendre, elle et moi.

Elle m'a fait entrer dans un dédales de cubicules gris, où j'ai pressenti que j'allais me perdre un jour. Elle m'a montré mon bureau, m'a dit que le sien était juste à côté, et lorsqu'on s'est rendue là, j'aurais bien été en peine de retrouver mon chemin jusqu'au point de départ.

Je lui ai appris que c'était mon deuxième stage (on lui avait dit que c'était mon premier, j'aurais peut-être dû me taire), j'ai déclaré inutile les petites formations (sur Word, PowerPoint, etc) auxquelles j'aurais droit et ensuite nous sommes parties faire un tour du bureau. On m'a présenté des gens (j'ai retenu environ 4 noms, que je suis pas sûre de pouvoir associer aux bons visages, mais bon), d'autres stagiaires (qui étaient en train de faire la même tournée que moi), un photocopieur, un toaster et quelques micro-ondes. Le premier couple stagiaire-encadratère que j'ai croisé était formé de deux filles rigoureusement de la même grandeur. Cette fois, j'ai affirmé à voix haute mon impression que tout avait été prévu selon la grandeur. J'ai été présenté à un autre encadreur dont la stagiaire était en retard à cause que le métro était en panne. Je me suis fait un petit hommage personnel à mes dons de double vue. On m'a montré tout pleins de ressources nouvelles, attribué un compte d'ordinateur, de messagerie, de feuille de temps et d'internet ainsi qu'un texte et je suis restée toute seule pendant environ une demi-heure entre mes quatre pans de carton gris le temps de digérer tout ça.

Puis j'ai commencé ma toute première traduction - mon encadratatrice a été très impressionnée qu'après toutes les informations qu'on me bûchait dessus, j'aie été capable d'aller chercher mes documents toute seule dans le réseau. Évidemment, comme je ne pouvais pas être brillante jusqu'au bout, vers midi et demi, je suis allée la déranger pour lui demander si elle pouvait bien me reconduire jusqu'aux micro-onde entrevus plus tôt.

J'ai reçu tout plein d'e-mails qui m'ont annoncé 3 formations d'ici à mardi prochain, je me suis créé un nombre incroyable de mots de passe, j'ai fini par comprendre, vers la fin de la journée, comment fonctionnaient mes feuilles de temps, j'ai décidé de prendre une demi-heure de diner pour finir plus tôt, j'ai aussi appris que c'est très gênant quand un cellulaire au son perçant comme le mien se met à criailler lorsque tout ce qui vous sépare d'un environnement très silencieux, c'est des pans de carton gris. Mon internet n'avait toujours pas été activé quand je suis partie, et j'ai sérieusement envisagé de me pitcher dans les murs parce que ça me privait de dictionnaire de synonymes. Je l'ai pas fait parce que j'avais pas envie de détruire la belle architecture cubiculaire de l'endroit.

C'est donc à peu près ce qui s'est passé dans ma première journée de stage, j'aime bien, les gens sont très gentils, mais selon mon encadromateuse, ils mangent presque tous dans leur cubicule, ce qui, eh bien, n'est pas exactement l'idéal pour socialiser. C'est rare que je tiens à socialiser, mais c'est généralement utile quand on veut s'intégrer à un milieu de travail.
Trucs que je respecte pas :
1. Le gars qui décide de pas rentrer à son stage après s'être couché un peu trop tard, parce qu'il n'est pas payé;
2. Le gars qui met 50% du prix de son auto (on parle même pas de la valeur, là, et la valeur est plus basse) sur un système de son.
C'est le fun, aujourd'hui, j'ai monté deux fois de niveau sur Monlapin - une fois dans mon compte à moi, et une fois dans le compte de Tweety !

Enfin, Tweety, par rapport à ça, je voulais te demander de prendre une décision que je ne me sens pas apte à prendre toute seule (car dieu sait que de l'argent virtuel, c'est sérieux !) : ta lapine a présentement 47% de vie, et tu as 120$. Est-ce que tu veux que je t'achète une pilule à 20$ (+13 de vie), à 30$ (+19) ou à 40 $ (+26) ? Je vais attendre ta réponse ! Et bienvenue au troisième niveau !

Sunday, May 01, 2005

I need to learn to handle... me.

I mean, do I look like a girl who would, by any chance, be getting any sleep tonight?

I really need to realize that my habit of postponing the next day by not going to sleep doesn't actually affect the clock.
Quelques petites notes rapides car j'ai pas mal de trucs à faire :

1. La soirée d'hier s'est quand même pas si mal passée, même si nous avons eu droit, en plein visionnement de l'avant-dernière du Coeur a ses raisons, à l'éclatante affirmation suivante : Non mais tsé, quand tu regardes des vrais soaps, tu trouves vraiment des personnages avec ces caractéristiques-là... (Je PEUX PAS apprécier une fille dont le petit hamster dort au lieu de courir sur la petite roue !!!). Heureusement, elle fut rapidement suivie de la cinglante réplique sarcastique : Non ? Tu penses ? Euh... c'est peut-être pour ça qu'ils ont décidé d'en faire une pa-ro-die !!! qui m'a défoulée par procuration.
2. N'ayant pas eu une seule minute pour penser à ma petite personne ce week-end, je suis présentement en train de passer tout mon stress de je-commence-mon-stage-demain en même temps. Moi, j'ai besoin de vivre une certaine quantité de stress pour avoir l'air relativement sûre de moi lors de l'évènement stressant. Cette quantité-là en condensé, ça donne un stress de catégorie pleasejustkillmenow. Enfin.
3. Un de mes collants d'auto Tweety est légèrement déchiré. Suis déprimée. Très, très déprimée.
4. Suis la propriétaire d'une bouteille d'eau Winnie the Pooh. J'ai très hâte d'avoir ça sur mon bureau à la job et dans mes cours. Mais bon. Selon l'opinion populaire, mon quotient baisse en public, alors autant l'assumer. J'ai pas honte du tout, mais je suis pas exactement sûre de comment je vais bien réussir à dire que oui, cette bouteille-là est bien à moi, que je la trouve hot et que non, elle n'a pas appartenu à un jeune enfant auparavant.
5. J'ai besoin de vacances en Angleterre. Vraiment.
6. J'ai payé exactement 81$ d'impôt cette année. J'essaie de pas penser à ce que j'aurais pu me payer avec ça, et surtout, aux montants que je vais passer le restant de mes jours à payer.