Saturday, September 18, 2004

I am FURIOUS right now.

Tried to visit my website lately ? (about the trips, not this blog)
Please be my guest : it's not working. It will lead you to a page saying there is no index.html page. Which there was up until, well, today, obviously.

I logged in : or rather, I tried logging in - I was told my username can't be found. They said that it probably means my website WAS DELETED for a terms of service violation.

WHAT THE FUCK ?????

I did not violate the terms of service. My website was a cute, funny display of the fun Tweety and I had on our trips. But now it's obviously lost, and for now fucking valid reason.

I e-mailed tech support to ask them what the fuck was going on, and I intend to e-mail them again, once I have confirmation that my stuff is definitely gone, to tell those idiots to go to hell. I mean damn it, I worked so many fucking hours on this perfectly innocent site - they have no right to delete it. The assholes.
*sigh*

I haven't even had time to buy Uru (or to buy a brand-new computer to run it) and Myst IV is being released already...
note to self : work term report is due December 6th.

I don't know where I could possibly write it down right now. It'll probably end up on a post-it stuck on my mirror...
Fall is here... depressing to have to wear long sleeves.

Friday, September 17, 2004

Days go by I'm hypnotized
I'm walking on a wire
I close my eyes and fly
Out of my mind - into the fire
Au fait, Tweety : je pense pas que tu doives être déçue de ne pas avoir été ma "best" au secondaire, puisque la seule que j'ai eu était une idiote de la plus pure espèce qui se servait des autres pour se créer une personnalité. À ta place, je serais heureuse de ne pas faire partie de la même catégorie qu'elle.
J'en ai déjà parlé : je déteste me faire des lunches. Si c'était juste de moi, je pense que je ne m'en ferais jamais. Si c'était possible, en fait, je ne m'en ferais pas et je mangerais une fois de retour chez moi. Je déteste ça. Je sais jamais quoi m'apporter, alors la moitié du temps je finis par me traîner une pomme, un yogourt, une barre tendre, une bouteille d'eau et quelques biscuits. Et puis j'ai faim à 3:30 hres.

Mon stage commence lundi, et je me promets de longues semaines à souffrir à être obligée de me traîner un lunch. Je suis en train d'évaluer la possibilité de faire comme les mères de famille débordées, c'est-à-dire de profiter de ma fin de semaine pour me faire des giga batch de bouffe que je vais ensuite pouvoir amener comme lunch au bureau.

Sinon, je reviens des Promenades, où j'ai déniché un cadeau à Matinée (sa fête est en fin de semaine prochaine). J'ai aussi dû me battre avec moi-même pour ne rien m'acheter. J'ai failli céder et m'acheter un petit porte-clef de coccinelle super trognon chez Renaud-Bray, et puis, quand je l'ai pris dans ma main, la coccinelle s'est cassée. J'ai pris ça comme un signe (comme la fois où j'ai déchiré un pantalon en tirant sur la ganse - non mais je tire TOUJOURS sur mes ganses de pantalon, c'est à ça que ça sert, c'est pas normal que ça déchire, ça veut dire que c'est le pantalon qui est cheap, mais c'est quand même moi qui se sens mal) et j'ai laissé tomber. C'est difficile de respecter un budget très limité, mais c'est surtout difficile de respecter vos moyens quand vous n'avez même plus de budget. Mon budget, moi, il a disparu hier matin quand l'imbécile a décidé que c'était 28$ que je mettais de gaz, et pas 20 (Oui, j'en suis rendue à compter mes 1$)- et a eu le culot de me proposer de lui apporter le 8$ manquant plus tard, quand j'aurais ma prochaine paye. Je lui ai répondu que ma prochaine paye serait peut-être dans un mois, et j'ai gardé le restant de mes commentaires pour moi, puisque la seule réponse digne de la situation, c'était "va donc chier".
Et puis 8$, ça paraît pas de même, mais c'est quand même un rouge à lèvre et demi, que j'aurais peut-être pu me procurer aujourd'hui pour m'empêcher de sombrer dans la dépression de fille complètement désoeuvrée, sans ami disponible et sans le sou !
Rapidement :

1. J'ai pogné les nerfs hier après le cave qui a rempli mon char de gaz à 92.9 après que je lui aie demandé seulement 20 dollars. Est-ce que j'ai une face à avoir les moyens de remplir mon char, à ce prix-là, moi ?
Enfin. Il paraît que oui. Alors j'ai roulé à 120 jusqu'à chez moi pour passer plus de gaz et vivre selon mes moyens supposés.
2. Mon père a défait les roues de mon auto pour vérifier le bruit - et il a vu que mes breaks de devant étaient salement finis. J'ai donc des breaks flambant neufs.
3. On a fait endormir mon chien hier. J'ai passé la soirée à me demander si Jo savait qu'il était malade. Jo est en amour avec mon chien, il va même jusqu'à lui dire qu'il est intelligent, j'espère vraiment que je lui en avais glissé un mot, sinon, je risque de le traumatiser en lui annonçant qu'il ne pourra plus jamais le voir...
4. Je commence mon stage lundi et je dois avouer que je commence à être stressée. Ma hâte de recevoir ma paye atténue cependant un peu mon stress. Ça fait près d'un mois que j'attends mon 4%. J'irais bien le quêter à mon ancien boss, mais j'ai pas la force de commencer à lui faire croire que j'ai déjà commencé mon stage.

Thursday, September 16, 2004

Hmm.

J'ai un message de Coordonnatrice sur mon répondeur qui m'annonce que le prof que j'avais contacté pour être mon réviseur à la fin août, le prof qui m'avait dit non, sera effectivement mon tuteur pour mon stage. C'est un peu troublant. En fait, beaucoup.

J'aurai d'autres trucs à dire, concernant les incompétents de station d'essence, par exemple, mais pour l'instant je suis un peu trop fatiguée.

Je me dois d'ajouter, par contre, que j'aime bien voir que d'autres personnes trouvent un important contraste entre l'apparence de Tweety et son comportement. Avec AAB, elle semble se laisser aller à des commentaires meurtriers et criminels, alors qu'avec Matinée et moi, elle sort son côté pervers ("yay ! une orgie !").
Je croyais que c'était récent, mais je suis tombée dernièrement sur une vieille quote du jour, qui date quand même du cégep, dite par Tweety, qui allait comme suit : "Lui, j'y ferais pas mal - à moins que ça soit ça qu'il veuille..."

Mais bon, c'est pas moi, l'étudiante en psycho, alors je me lancerai pas trop dans la psychoanalyse ce soir.

(sauf pour dire - avez-vous remarqué à quel point les gars utilisent la psychologie inverse pour nous manipuler ? DraG me faisait le coup sur une base régulière pour m'empêcher de me ronger les ongles - si ça peut t'encourager, je me suis remis au cutex pour m'en enlever l'habitude encore une fois - et Peanut s'y est lui aussi mis hier. c'est dégoûtant. :P)
So it appears I really am meant to hang out with people who don't smoke. Even my poll says so (7 no vs 0 yes). So not only do I attract non-smokers in real life, my blog too attracts them. Interesting.
Je viens de me souvenir que je faisais des "arbres" au début du secondaire. Tweety en a eu un, mais c'est pas elle qui a eu les plus comiques, malheureusement, mais bon.

Le principe était simple (et complètement ridicule, mais c'était bien le but) : si j'avais une amie qui s'intéressait à un gars, ou même si elle faisait juste le trouver cute, je prenais une feuille cartable et je dessinais une case dans le haut, où la fille en question demandait au gars l'éternelle question "veux-tu sortir avec moi ?"
(je vous rappelle qu'on est en secondaire 1 ou 2 ! On se fait du fun comme on peut à cet âge-là !)
De là, je descendais trois petites cases où le gars répondait : "oui", "non", et "je sais pas". De chaque case, j'en redescendais une ou plusieurs autres, et j'inventais des tonnes de situations ridicules et plus invraisemblables les unes que les autres. Je manquais rapidement de place sur la feuille d'origine, alors je collais d'autres feuilles de chaque côté où j'en avais besoin, si bien que généralement, j'arrivais à un total de près de 10 feuilles pour chaque arbre.

C'était donc le flashback du jour. Je pense que j'étais encore plus fuckée quand j'étais plus jeune...

Wednesday, September 15, 2004

Was watching The View and they came on the topic of women having gay guys as best friends, and it eventually slipped to how is the friendship different if the guy is gay.
(Again. It's a big conspiracy around me)
And Star Jones had the funniest comment, that friends of the opposite sex are "sex under a glass - you know, break glass in the event of an emergency".
I don't really agree with that, but it still had me laughing there.
Suis tombée sur le proprio hier après-midi, qui m'a dit qu'il viendrait aujourd'hui reposer les plinthes de ma salle de lavage. Au moins ça.

Mais est-ce qu'il y a quelque chose de plus stressant que de recevoir votre proprio ?

Il est même pas neuf heures et j'ai déjà commencé le ménage.

Enfin. Sinon, moi et Peanut avons construit notre tout premier pâté chinois hier soir. Ce fut long et ardu, mais réussi. Hourrah.

Tuesday, September 14, 2004

Up in Québec city, Peanut and I visited this exposition about the human body (which is something you think you've figured out after a few advanced biology classes, but well, you haven't) and there was this thing that allowed you to measure the temperature of your skin : you put your hand there, noted the number, you rubbed your hands together and then took the temperature again. (and wow ! it had increased by a degree or two)

I'm always cold. Peanut's always warm.
We didn't think of it before checking the temperature of our hands, and we were shocked to see my hands were 24 degrees, while his were 35 !
You wouldn't think men stick together so much, but they do.

I already mentioned how Peanut and I disagree on what to do with the bath carpet after taking a shower. I rinse it and let it rest on the edge of the bathtub. Peanut rinses it and sticks it up on the wall.
I think it looks absolutely ridiculous, but I save my energy for more worthy disagreements and deal with it. He takes his shower at night, and I take mine in the morning : therefore, the carpet rests on the bathtub the whole day, and I consider myself satisfied.

However, my father came over last night to check that noise my car's been making (he says it just might be normal because that car isn't used all that much and I just took it for a long ride to Québec city and back, but he's still gonna take off the wheels on Thursday to make sure. He better, because it used to be noisy only when I turned left, and now it's being noisy even when I'm going in a straight line, and it's highly annoying.) and he went to the bathroom. Then he came out :

Dad : Does your carpet hang onto the wall on its own ?
Quartz : Well, yeah.
Dad : That's not a crazy idea.
Peanut (enthusiastic, in-your-face attitude) : HA !!!
I think I'm repeatedly getting hit on at the grocery store.

Peanut and I used to do the grocery there for a while, and I used to go there relatively often as it is located in the mall I used to work at (and my boss kept asking me to buy the food we were missing there) so I've seen the guy often enough to recognize him (which is already something, I'm terrible with faces). And at first I thought he was just being nice - that's me, subtle moves go unnoticed.

C'est quand même une amélioration, au moins, j'ai fini par m'en rendre compte, au bout de quelques mois.
Heureusement que tous les gars n'y vont pas en subtilité, parce que je crois que je serais restée célibataire pour le restant de mes jours.
Oh - and a small continuation of the stupid-washing-machine saga :

Yesterday I received a phone call from a man who presented himself as an insurance guy representing the company that "allegedly installed the appliances". (Or rather, the first thing he said to me was "I heard that your insurance company denied liability for the water damage", leaving me wondering who the hell that was and how the hell he knew that) So the guy asked me to tell him what had happened and why I was claiming it was their fault. Then he asked if damage had been done to my stuff - and the answer is no. So I gave him the name and phone number of the landlord and he's supposed to call her.

So all that's left to do, again is just wait until they call us again, but that's giving me hope. If they could just admit their responsibility, the whole thing could be settled just between them and my landlord's insurance company. We wouldn't even hear about it. That sure would be nice.
Je trouve vraiment que c'est mal organisé, ce truc de coop-là.
Ça fait 3 semaines que j'ai envoyé mon e-mail à Coordonnatrice pour lui dire que j'ai besoin de noms de personnes qui pourraient être mes réviseurs, et j'ai toujours pas eu de réponse. Va falloir que je l'appelle aujourd'hui, mais merde, on est mardi ! Je commence lundi prochain ! À quoi ça sert de donner une adresse e-mail aux étudiants si vous les vérifiez pas ?

Ou alors, elle est en vacances. Ce qui serait totalement stupide, mais bon, l'administration des universités, c'est pas la meilleure.

En tk. Va falloir que j'appelle tout à l'heure. Grr.

Sinon, à force de voir les annonces, je veux absolument voir House on the Range.

Monday, September 13, 2004

J'ai enfin trouvé !
Je sais pourquoi il me faut une deuxième carte de crédit !

Pour les voyages ! (eh que ça me donne des excuses, ces affaires-là...)

Par exemple, quand je suis allée à New York, j'ai mis les billets du Lion King sur ma carte de crédit à moi, et ceux du Phantom of the Opera sur celle de ma mère. Si j'avais une deuxième carte de crédit, j'aurais juste à annuler la carte de ma mère.

Ce qui veut dire, le réalisez-vous ? Que j'ai déjà deux cartes de crédit !

Possibly the funniest tweaked pic ever as I've managed to stich two Peanut's in there. Hehe.
Posted by Hello

Peanut & Quartz in Québec City. This was actually taken from Cousin's roof. Ever had your breakfast on a roof ? Niiiiiice.
Posted by Hello
J'oubliais : il n'y a pas moyen d'échapper à l'eau à Québec, du moins, c'est mon impression.

Jeudi, c'était le déluge, mais tout n'allait pas si mal jusqu'à ce que je doive gosser pour entrer dans le parking public près de chez Cousin. Pour entrer, vous devez entrer une carte (de crédit, de débit, ou de parking) dans la petite machine et puis l'en sortir quand la barrière se lève. J'ai dû entrer et sortir quinze fois pour essayer de faire un paiement pour quatre jours, avant que Cousin décide de me prêter sa carte. Résultat, après quinze minutes de niaisage avec la fenêtre ouverte, on aurait dit que je sortais de la douche.
Vendredi matin, encore de la pluie en avant-midi.
Samedi, gros soleil. Peanut et moi nous rendons au Canyon à Ste-Anne-de-Beaupré, où il y a une chute. Et j'ai quand même fini par être trempée puisque yavait des tonnes de goutelettes qui revolaient joyeusement partout autour (et sur) nous quand on se promenait autour.
Quant à hier, même chose, un peu de pluie sur le chemin du retour.

Donc, à Québec, il pleut.
Mon auto fait un bruit. Mieux : c'est ma roue qui fait le bruit, quand je tourne à gauche. Évidemment. Ça fait même pas tout à fait un an que je l'ai, fallait bien qu'il y ait quelque chose qui pète dessus. Enfin. Mon père va peut-être venir faire un tour aujourd'hui ou demain pour checker ça, mais de toute manière je vais chez mes parents jeudi. Chez mes parents, où il y a un lift, objet particulièremen utile pour examiner un char.
Tout ça pour dire que je devrai me rendre chez mes parents avec une roue qui fait un bruit non-identifié, de source toute aussi non-identifiée.
Mais bon. Comme j'ai fait plusieurs fois des trajets d'ici à chez mes parents avec un brake qui pendait, sans le savoir, je crois que tout devrait bien se passer...
Un autre traumatisme relatif à mon emménagement avec Peanut. Dans la demande de carte air miles, ils demandent le "nombre de personnes formant le ménage".
Il paraît que le mari de Grébiche est en train de mourir. Par conséquent, pendant un petit bout, il va y avoir plein de monde parkés chez nous. J'ai pas de pitié pour les grébiches. Mon chien est en train de mourir, moi, est-ce que je fucke le parking pour ça ?

Enfin. Heureusement, le concierge a l'intention d'avertir Grébiche si les choses se détériorent, alors hourrah.

Je crois que je vais me prendre une carte airmiles. Vous êtes déçus de moi, n'est-ce pas ? Je n'aurais jamais cru que je penserais seulement à faire ça, mais écoutez mon raisonnement avant de me juger :

Tout d'abord, depuis quelques mois, je veux une deuxième carte de crédit. J'ai découvert la carte Mosaïk qui a l'air pas mal cool, et qui permet de ramasser des air miles.
J'en suis encore à essayer de me prouver que j'ai besoin d'une deuxième carte de crédit, mais bon, je fais quelques recherches sur les air miles, et puis je me dis qu'avec les voyages que j'ai comme projet, ça pourrait être utile. Non ? Mon père, qui va toujours chez Rona en tant que travailleur de construction, me dit qu'en me prenant une carte supplémentaire et la lui donnant, il me ramasserait beaucoup de points là-bas.

Donc, je suis pas encore à faire ma demande de carte de crédit, mais je commence à me dire que je pourrais peut-être commencer avec une carte air miles.

*soupir*

Sunday, September 12, 2004

Je réalise que je commence mon stage la semaine prochaine et que j'ai toujours pas de réviseur. Coordonnatrice Co-op a apparemment les nerfs solides. Je vais attendre encore demain, et si j'ai pas de réponse, je l'appellerai mardi. Ça va être utile, un stage sans révision.
So I'm back. Did you miss me ?

It was a long week-end... let me think.

First, well, obviously, we drove over Québec city. Under pouring rain that made me go crazy. Bad enough not knowing where exactly I'm going, I'd like to see where I'm going, at least.
J'ai réussi à me divertir avec les noms des petites localités qu'on croisait en chemin. On a croisé l'auberge de santé Claire Lamarche, et j'ai passé la journée d'hier à niaiser avec le nom La-Malbaie-Pointe-au-pic. Je triche, parce qu'on a vu cette pancarte-là hier en s'en allant à Ste-Anne-de-Beaupré, mais ça m'a quand même amusé. J'ai aussi croisé l'oeuf fétiche de Jo, sur la 20, et un McDonald avec une statue de Ronald McDonald à l'intérieur. J'ai eu une pensée pour Tweety, qui était sensée prendre une photo d'elle à côté de Ronald McDonald pour son initiation l'an dernier, et qui clamait haut et fort que les Ronald McDonald n'existent plus. Enfin. Si ça intéresse quelqu'un, pour le trouver, vous prenez la 20 et vous sortez à Ste-Hélène.

We stayed over at Peanut's cousin's, who has an appartment in Old Québec. He lent me his parking card so we didn't pay very much for the parking. We left the car parked a lot of the time since most attractions were within walking distance from the appartment, or we took Cousin's car when we went a bit farther.
Ai quand même eu l'occasion de me découvrir un excellent co-pilote en la personne de Peanut, je dois le souligner.
Et mon impression de conductrice de Québec est la suivante : les rues sont croches et les rues sont mal indiquées (comme à Banff, tiens).
However, I was glad to find drivers in Québec city are much more relaxed than Montrealers. Montrealers are total assholes when you put them behind a wheel. Québecers were fine. I was surprised.

On a visité le Musée de la civilisation (on est resté là près de 3 heures, c'est vraiment cool, Peanut en est sorti avec un mal de pied. J'ai pas eu pitié de lui parce qu'il s'est pas rendu à l'arthrite traumatique, lui.), le canyon de Ste-Anne et on a passé toute une journée à marcher dans le Vieux.

Cousin is the owner of several restaurants, and you know, he's proud of it, so he took us to two different places the whole time : he has no food in his appartment. None : he wastes it because he's never home. Plus, he has a friend who owns another restaurant (Casa grecque) so the four of us, Cousin's Girlfriend and Peanut's uncle and aunt all went there on Thursday night. We ate and ate and ate, had about three bottles of wine - for free. Vive les plogues. Same thing at Cousin's restaurants : I mean we even had sushi for free.

Yes, you read well : I ate sushi for the first time in my life. I couldn't very well say no, Cousin was insisting so much that he had the best suhi-men in town and I had to eat some. (one more person pressuring me to eat, I'm getting used to it, I believe) So I did, after I made him swear I wouldn't have to put raw fish in my mouth. He gave me a few fish eggs instead : I had to concentrate for a long time before I ate it. Overall, I found the experience to be interesting.
À vrai dire, j'ai bien aimé jusqu'à ce que je trouve des algues dans ma bouffe. C'est pas bon, des algues. Ça se mâche pas. Et puis j'étais particulièrement pourrie avec les baguettes (à mon très humble avis). Mais bon. J'ai fait ma part.
So yeah, it was interesting but I don't plan on eating sushi anymore, thank you.

Pendant qu'on mangeait le sushi (aaaaah, torture), Cousin a demandé du saki à la serveuse. J'ai failli m'évanouir : j'ai pas vraiment tripé, moi, la seule et unique fois que j'ai bu cette affaire-là. Mais bon, j'avais pas vraiment le choix d'en boire, et puis Cousin passait son temps à remplir nos verres, et il a refusé de m'écouter quand j'ai dit que je voulais slacker un peu sur le saki (ce mauvais jeu de mot non-intentionnel est commandité par...). Donc, en plus de vouloir me voir manger, cette soirée-là, il a décidé qu'il voulait me voir saoûle. Je lui ai dit, que j'étais hyper plate, saoûle, moi, mais bon, il fait partie de ces êtres qui ne croient pas ce que vous leur dites. Par conséquent, après beaucoup trop de saki, on est sorti dans deux clubs où Cousin nous a payé drink par-dessus drink : vodka-jus d'orange, amaretto sour, autre truc non-identifié (ya même pas voulu me dire ce que c'était, merde ! Mais c'était bon, alors j'ai fermé ma gueule). Là-dessus, en plein milieu de mon truc non-identifié arrive le propriétaire du club - que Cousin connaît, évidemment, c'est pour ça qu'on n'a même pas eu besoin de payer le cover - qui nous a offert chacun un shooter non-identifié. J'ai un peu déprimé, parce que je ne voulais plus d'alcool. L'alcool, ça m'endort, je suis beaucoup plus divertissante à jeûn, et je me sentais m'endormir tranquillement. Pas moyen pourtant de refuser le shooter : je le câle sous les regards hilares de Peanut et Cousin. J'ai aussi eu droit à un regard moqueur, en prime, de la part de Peanut, puisque le shooter était à la menthe, et crissement à la menthe, et que moi j'haï la menthe. J'ai donc pris une grande gorgée de truc non-identifié pour enlever le goût de menthe, seulement pour me donner un mal de coeur. Enfin. J'ai laissé Peanut finir mon drink, ainsi que tout le rum & coke suivant (c'est même pas bon, anyway). De toute façon, ça tournait beaucoup trop autour de moi (mais Cousin m'a félicité parce que je marchais droit, alors j'étais pas si mal). Le résultat c'est que Cousin a eu la satisfaction de me voir saoûle, moi j'ai dormi comme un bébé toute la nuit et que c'est Peanut qui a été malade en revenant à l'appart'.

That's it for now, Peanut is going crazy because I'm not paying attention to him. Ever seen a guy jealous of a computer ?

(Oh, et j'oubliais. Il paraît qu'on a eu 90% pour notre deuxième travail sur les chapeaux. Hourrah.)