Saturday, January 29, 2005

I started taking notes for my Monday anthropology exam.

Thing is, we're allowed to bring in as many hand-written notes as we like for this exam, so all I really need to do to prepare myself is take those notes, but it's really hard to get motivated to do that.

Oh well.

Chapter one is done.
Three to go.
Je me dois d'annoncer ici officiellement que Peanut va avoir sa première auto aujourd'hui.

Je vous épargnerai mon opinion personnelle, mais bon : lui, il est content, tant mieux.
La soirée d'hier a été plutôt bizarre... Parce qu'à moi, Peanut, Futur et Galia se sont ajoutés deux autres personnes que je ne connaissais pas, un couple : la fille était très sympathique, mais le gars, au bout de 5 minutes, je l'aurais volontiers rentré dans le mur... Il nous a rejoint au Pizza Hut après qu'on ait tous eu fini de manger - il s'est assis, il nous a dit bonjour, puis il s'est retourné vers les cuisines, impatient : "c'est laquelle, votre serveuse ?"
Parce que, évidemment, la serveuse est trop conne pour voir qu'il est arrivé et venir d'elle-même. Et, surtout, elle n'a pas du tout d'autres clients à voir avant lui. Puis, il a juste eu l'air écoeuré toute la soirée : la menton appuyé dans la main, sans dire grand chose, sans PARTICIPER, sauf pour t'obstiner que tu as pas raison. (Par exemple, si l'avertisseur de niveau bas d'essence de votre Accent 2 portes n'allume pas et que celui de sont Accent 4 portes allume, il est impossible que ce soit dû à une différence de modèle : c'est évidemment votre auto qui fonctionne mal.)
L'erreur monumentale fut l'invitation de Galia à tous nous rendre chez elle jouer avec mon jeu de Cranium qu'elle m'a emprunté pour Noël. Le couple inconnu sont des gens très sérieux. Faut pas être sérieux pour jouer à Cranium, il faut être énergumène. Le gars s'est donc effoiré à la table de la cuisine avec un air écoeuré peint sur la figure alors que la fille, qui elle, au moins, participait, restait très silencieuse dans son coin. On peut donc dire qu'on était seulement 4 à jouer...
J'avais toujours cru qu'une game de Cranium ne pouvait pas ne pas être le fun, eh bien, j'en ai eu la preuve hier : j'avais juste hâte que ça finisse.
Le gars stupide a fini par ouvrir sa trappe quand la mère de Galia a fait une vague allusion aux fusions-défusions : là, on l'a entendu gueuler comme un malade sans écouter les autres, jusqu'à ce que la mère de Galia lui fasse avouer qu'il n'avait pas voté aux dernières élections. Elle lui a donc dit que s'il avait pas voté, il avait pas le droit de chialer - je me suis fait un plaisir d'abonder en son sens en ajoutant qu'au fond, c'était de sa faut à lui si Charest avait été élu... S'est alors mis à chialé qu'il pouvait pas, qu'il était à Québec et qu'il aurait fallu qu'il vote à Longueuil, etc, etc, c'était plutôt comique de le voir s'égosiller pour nous convaincre.

Enfin, ce ne fut pas une soirée totalement gâchée, malgré tout, puisque ça faisait des lunes que moi et Peanut n'avions pas vu Futur. J'ai remis sur le tapis le sujet du mariage, sans grand succès, je dois l'avouer, mais de toute manière, lui et Galia agissent déjà en couple marié... Si le chat de Galia monte sur le comptoir de la cuisine, c'est Futur qui se lève pour l'en chasser. Si le chat y remonte immédiatement après, Galia s'écrit : "Franchement, t'as vraiment pas d'influence sur mon chat !" Si je demande à Futur s'il était présent quand j'ai sculpté mon fameux totem en pâte à modeler, c'est Galia qui répond : "Oui, on était là."

Friday, January 28, 2005

DraG : si tu crois pas que je suis naïve, pourquoi proposes-tu à Peanut une solution parfaite pour une fille naïve ?
Quant aux BLA BLA BLA, il faut avoir atteint un niveau supérieur pour pouvoir les foutre dans un travail sans que ça ait d'horribles conséquences... t'as encore des croûtes à manger... :P

Quant à Galia et Futur, ne vous inquiétez pas, moi, je travaille toujours au mariage... Ils ne se voyaient plus parce que Futur n'habite plus à 3 minutes à pied de chez Galia, voilà tout. J'ai jamais entendu parler de chicane. Coup donc, je suis peut-être naïve, après tout...
Wheeeeee!

February bursary is in!
This is probably my next download.
Motivation is getting worse: I can't even bring myself to take a shower this morning.

The only reason I am working on my assignment right now is that it allows me to chat on MSN at the same time...

Thursday, January 27, 2005

J'oubliais : avons eu droit, cliché des clichés, chacune à un petit carton faisant part à tous et chacun de notre nom et notre statut (étudiante)...
Wow, il s'est vraiment passé tout pleins de trucs aujourd'hui, pendant que je vaquais à mes obligations d'universitaire...

Enfin, on a même vu Peanut sortir de ses gonds sur un guestbook, et je dois avouer que je l'appuie un peu parce que la personne en question commençait à me porter sur les nerfs moi aussi. Je veux dire, personnellement, ya des jokes qui, accumulées, deviennent franchement chiantes - sauf que c'est pas mon guestbook, ni mon blog, dont il est question, et c'est pour ça que j'ai préféré rester dans mon coin (ça, pis j'avais aussi fait une certaine promesse de rester tranquille et de bien me tenir qui, par extension, peut aussi s'appliquer à ce guestbook). Tout ça pour dire à Tweety un truc que je peux pas dire ici, par conséquent, il faut vraiment qu'on se parle.

Quant au cinoche, donc, ça me dérange pas d'y aller demain... C'est vraiment comme tu veux, je suis trop épuisée pour réfléchir de moi-même présentement. Donc, si ça te tente d'y aller demain, tu m'appelles ou tu m'accroches sur msn. Sinon, on remet ça à demain.

Peanut : tes solutions étaient aussi stupides l'une que l'autre, et ya des jours où j'aimerais juste ça que tu te calmes sur les jokes plates et/ou qu'au moins tu fasses des jokes plates qui concernent d'autres gens que ma mère. Elle est peut-être fatiguante par bouttes, ma mère, mais elle, AU MOINS, ça part toujours d'une bonne intention, pis ELLE, elle est capable de s'excuser quand elle porte de mauvais jugements ET, SURTOUT, ELLE, elle a pas passé des mois à te bitcher dans ton dos. Si moi je suis capable de parler à ta mère en personne civilisée, à fermer ma gueule le restant du temps après m'être faite traitée de pas débrouillarde et de niaiseuse et de conne, SANS AVOIR REÇU DE CÂLISSES D'EXCUSES (ce qui veut dire, notons le bien, que c'est toujours ce que ta mère pense de moi), ben té ben capable de fermer ta gueule de temps en temps toi aussi. Merci beaucoup.

DraG : je dois te rappeler qu'aux dernières nouvelles, tu étais traducteur, pas médiateur. J'ai aussi noté la subtile appellation de "naïve" dans ton post.
Enfin, je ne relèverai pas cette fois-ci puisque je dois t'être reconnaissante d'être allée chercher mon rapport de stage chez Coordonnatrice.

Lequel rapport de stage a reçu une évaluation très honnête, suis plutôt satisfaite de moi, moins de mes fautes de syntaxe, et encore moins d'un oubli tellement honteux que j'en ai rougi tout d'un coup en le voyant dans mon cours de révision...
Explication : dans mon rapport de stage, je devais inclure des commentaires sur les ouvrages de références que j'avais consultés. J'écrivais mon rapport chez moi, alors que les ouvrages étaient au travail. Par conséquent, je composais le texte, puis, pour les exemples pour lesquels j'avais besoin des livres, j'écrivais des BLA BLA BLA ou des EXEMPLES en gros caractères pour être bien certaine d'insérer ces éléments-là avant d'imprimer mon rapport. Ce que j'ai fais... sauf pour un dictionnaire ! Ma phrase ressemble donc à : "Ainsi, dans le cas de EXEMPLE, on trouve les dérivés BLA BLA BLA (...)" C'est horrible, horrible, horrible. J'en reviens pas. Juste pas. C'est vous dire comment j'étais concentrée... J'ai néanmoins eu une note de 3 sur 4, ce qui fait mon affaire.

Sinon, j'ai eu droit personnellement à la demande la plus cute de mon prof d'économique de s'il-vous-plaît ne plus "papoter" pendant ses cours, qu'il me connaissait depuis "plusieurs cours" (ça fait quand même 3 cours que j'ai avec lui) sinon il se verrait obligé de nous séparer, moi et mes "collègues"... C'est de loin la façon de faire la plus sympathique dont j'aie jamais entendu parler, enfin, voyez donc comment je suis appréciée de mes profs... Ils s'excusent presque de m'empêcher de parler !
Je parle peut-être pas mal durant les cours (surtout cette session-ci, j'étais pas en cours la session passée, faut bien que je me rattrappe...) mais comme je soufflais pas mot durant le primaire et le secondaire, quand même, je pense que je l'ai mérité.... Ma grande phase rebelle a été au cégep : je parlais pas tant que ça (je comprenais rien en écoutant, imaginez si j'avais pas écouté, bordel), mais je foutais rigoureusement rien : ni devoirs, ni études... Ah ! Le cégep - le vrai foxage de cours (j'ai bien sauté un cours au secondaire, en prétendant me sentir malade pour passer le cours à jaser avec Tweety qui avait un truc de théâtre à faire, mais c'est pas la même chose), le vrai pognage avec les profs, les périodes passées au vedgorium, et, surtout, le seul endroit sur terre où vous pourrez vous faire foutre à la porte d'un cours en prenant votre pause ! Que de beaux souvenirs...

Enfin bref. En sortant du cours de révision, j'ai rejoint 2 copines de co-op pour me rendre au fameux Cocktail du Nouvel An de l'OTTIAQ... Avons légèrement tourné en rond pour trouver l'endroit (perdu au beau milieu de nulle part) au début, mais nous y sommes finalement arrivé... Et ça s'est avéré plutôt bien. Avons été matchés en équipes de 7 ou 8 personnes pour une petite activité-questionnaire qui a été bien sympathique... Dans mon cas, en tk, les gens étaient plutôt parlables et je me suis même retrouvée à agir comme ambassadrice de l'université, un petit monsieur ayant pleins de questions par rapport au programme co-op, pour sa fille qui termine son cégep. Avons également été nourri à la cuisine vietnamienne et thaïlandaise (voyez comme la légende urbaine disant que je sois extrêmement difficile est exagérée) dont le seul bog, de mon côté, a été mon incapacité chronique à maîtriser les baguettes. J'ai réussi à transférer un seul et unique beignet au saumon dans mon assiette avant de me fier uniquement à l'expertise de C, qui faisait ça beaucoup mieux que moi. Le top du top, selon moi, c'était le petit crochet en plastique accroché à chaque assiette qui vous permettait d'accrocher votre coupe de vin et de vous déplacer avec un look très high class.

Là-dessus, rappelez-moi d'aller chez la couturière au plus sacrant faire réparer mes pantalons, maudite affaire que j'ai rien que ça à faire, moi, payer et payer et payer.

Bonne soirée à tous :)
C'est moi ou si le truc le plus imbécile que vous pouvez vous faire répondre quand vous êtes fâchée parce que le zipper de vos pantalons lâche, c'est :"c'est pas grave si t'as pas d'argent pour t'en acheter d'autres, ta mère te les paiera !"

Non mais je peux comprendre que ya des gens très axés sur la résolution de problème, mais la solution logique, ici, c'est d'aller faire réparer le tout chez la couturière. Ça vaut vraiment pas la peine de tenter de faire des jokes plates (parce que oui, c'était une joke. Ça a pas paru, mais c'était sensé être drôle.)
Et puis non, c'est pas un Guzzo, c'est un Famous Players.
Tweety : je suis pas là ce soir, mais tu peux m'appeler demain...

C'est drôle, j'avais cru comprendre que tu voulais attendre avant d'aller au cinoche, mais bon, c'est pas grave - en soirée, je suis invitée à aller au resto avec Peanut, Galia et Futur, alors si tu veux venir, j'imagine qu'il y aurait moyen d'arranger ça. T'es pas obligée - enfin, tout ça pour dire que si on y va demain, faudra obligatoirement faire ça en après-midi.

Wednesday, January 26, 2005

Once upon a time there was a girl who had a special destiny. She was destined to forever think she would go to Ottawa without it never actually happening.

When this girl got into University and joined the co-op program, she was told that her first work term wouldn't be in Québec as Québec employers preferred students with experience. For a whole year, she was told that her first work term was going to be in Ottawa.

Then it turned out that there were no more available positions in Ottawa / Hull and the girl ended up working her first work term on the South Shore.

Then sometime in October or so, she got a phone call from Co-op Coordinator, saying that she had an internship available at the Translation Bureau in Ottawa for the next term. Would the girl be interesting in taking the job?
Sure, the girl said. It was happening: the following winter, she would be in Ottawa.

And then they had trouble obtaining her security certificate and the girl went back to school in January instead.

But the Ottawa internship was going to happen the following summer. Her security status was finally approved and waiting was just a mere formality to the girl.

Until she got a phone call, once again, from Co-op Coordinator, who announced to her that her summer work term would take place at the Translation Bureau... in Montreal.

Yup, yup, yup.
Isn't this the greatest joke?
Coordinator specified that she really hoped I would be willing to leave Québec for my last work term, but still. Funny, funny. So I am staying here, this meaning that 1)I could've signed the lease for this year. I mean we went through so much trouble trying to find a damn appartment to rent only under Peanut's name because I couldn't have my name on the lease due to that very Ottawa internship and 2) given that I will be staying home and spending way less money than expected, new computer is on its way!

Of course, the shopping spree that Tweety, Matinée and I were supposed to go on when I went to Ottawa will have to wait, or who knows, not happen, but I'm pretty happy to get to stay here. Maybe the co-op program will make it up to me and allow me to go to Vancouver or somewhere in France on my last work term...
Tweety : je te suis très reconnaissante de penser à nos budgets serrés, puisque j'ai justement chialé à ma mère tout à l'heure que j'allais devoir payer un billet de cinéma... (En plus, je me suis acheté une veste en solde tout à l'heure, ainsi qu'un Cosmopolitan en espanol à rabais, mon budget de janvier est à peu près mort... J'ai tellement hâte que ma bourse rentre en février !) Le jeudi, je suis en cours jusqu'à 4 heures, mais je libre à tous les vendredis, alors tu n'as qu'à me faire signe et je suis à toi !
Voyez comme je suis complaisante : suite au cri du coeur de Tweety, j'ai trouvé the Phantom of the Opera dans un cinéma de Montréal auquel je sais me rendre seule (pas très loin de l'université, je dois l'admettre !). Il passe à tous les jours à 12:05, 3:15, 6:35 et 9:35, par conséquent, si tu veux y aller, fais-moi signe...
Ça fait 4 ou 5 verres de contact que je déchire depuis l'été passé. Je sais pas ce qui se passe, ça fait des années que j'ai pas déchiré de verres de contact. J'en prendrais bien la responsabilité entière si c'était pas à chaque fois le gauche qui déchire, et que je trouve déchiré dans son cuplet le matin, deux ou trois jours après avoir changé de verres de contact. Généralement, c'est en le mettant que je fais un faux mouvement et là, il déchire. Je comprends juste pas pourquoi. Enfin, on a fait chier pas mal le bureau d'optométrie en se les faisant échanger à chaque fois, si bien que cette fois-ci, j'ai prévu le coup et j'ai conservé mon vieux verre de contact, que je porterai 6 mois au lieu de 3 pour cette fois. Autre mystère : une fois passé l'étape critique du 2-3 jours après le changement, le verre de contact gauche semble s'endurcir et je sais alors qu'il passera le restant de sa vie avec moi si je le désire.

Enfin.

Je compte quand même conserver mon verre gauche déchiré pour me le faire échanger éventuellement, quand ça fera un bout que j'aurai rien réclamé.

Tuesday, January 25, 2005

DraG : je t'avise que comme tu as eu l'honneur de goûter à mes fameux biscuits la dernière fois, c'est à ton tour de faire une expérimentation culinaire et de me laisser en profiter. Donnant, donnant, non ?

Sinon, je me suis bel et bien servi de mon wok une fois, il va très bien, et au nombre de fois que c'est Peanut qui fait la bouffe ici, t'as pas besoin de lui négocier un deal.

Tweety : TROP HOT ! TROP HOT ! TROP HOT !

Sinon, je voulais faire part à tous que j'ai fait une tarte aux pommes sans pommes aujourd'hui. C'est vraiment une réussite troublante, je fais passer un test gustatif à ma mère demain.
DraG : cé ça, patine...
Ben coup donc, je crois que les gars prennent mon blog beaucoup trop personnel. Tout d'abord DraG qui se sent attaqué parce que je suis frustrée contre mon chum, puis Peanut qui demande une part de responsabilité dans ma psychologie personnelle....
Tweety : mais c'est exactement mon point. La vie est devenue beaucoup moins déprimante en sortant du cégep - et faut pas que t'oublies que moi, le cégep, j'ai voulu en sortir à la minute où j'y ai mis le pied. Et quand j'en suis finalement sortie, bah tout s'est mis à aller mieux. Voilà.
DraG, au fait, est-ce que tu viens de conclure un marché entre les hommes et les femmes de la planète sur mon guestbook ? Pas que ça me dérange, mais je te l'ai déjà dit, mon blog n'a pas de portée sociale réelle...
The following is edited from last night... how pathetic, I know, but, well, I used to freewrite / journal in philosophy, now I'm blogging in French. Oh well. I'm addicted. So sue me.

Isn't it funny how you never see something until, well, it just hits you, out of nowhere?
It's always bothered me that I didn't get why I suddenly started losing weight two years ago. At first I thought it was obvious: I had just joined a gym and working out for the first time in over two years. But I stopped going to the gym and now the only workout I get is walking in the metro plus some strength training once every blue moon - and the weight is still going down, slowly, steadily.
Not that I would mind, but any doctor will tell you: your weight going down or up for no apparent reason means something.
And I kept wondering what the hell until I was walking outside, not thinking of anything in particular, and then it hit me: I started losing weight right when I got out of cegep.
Ha.
I mean, do you know?

Monday, January 24, 2005

Bon bon bon... Si vous voulez absolument qu'on en parle, on va en parler :

1. Tout d'abord, d'accord, peut-être que je généralise, mais comme les gars aussi généralisent en mettant souvent les filles sur le même pied, je considère que c'est un droit acquis. Et quand je suis fâché, ma conscience sociale drop légèrement et mon but premier, c'est sûrement pas de faire en sorte que DraG se sente découragé. Je dis DraG et non pas les gars en général, parce que j'en suis pas encore rendue à croire que mon blog a une portée sociale quelconque et que c'est moi en chialant contre les gars qui fait remonter leur taux de suicide.
2. Erreur : j'ai pas eu des meilleures notes que tout le monde en co-op jusqu'à maintenant, ya des gens qui sont beaucoup trop motivés pour que je pense même à les battre.
3. Bon : je sais très bien qu'un gars qui dit qu'il va faire quelque chose, ça veut dire qu'il va le faire d'ici les 48 prochaines heures. Mais pourquoi c'est obligatoirement à moi de prendre ça en considération ? Pourquoi est-ce que les gars peuvent pas prendre en considération, des fois, que quand une fille leur demande quelque chose, ça veut dire "t'as un délai de 10 secondes pour te lever" ? Je m'excuse, mais j'ai attendu des semaines complètes que mon chum se décide à foutre au recyclage des cannettes de Pepsi vides - pourquoi est-ce que lui, quand c'est LUI qui me dit de LUI-MÊME qu'il va ranger les meubles, il pourrait pas penser que j'aimerais bien que ça se fasse le soir-même ? C'est beau la compréhension, mais ça va des deux bords. Me semble que je fais assez de trucs toute seule ici sans jamais avoir droit à un remerciement que ça serait le fun que lui, il tienne ses promesses.
Ensuite de ça, si j'avais pas fait le ménage avant que Peanut ramène ses chums, on les aurait reçu avec 3 pouces de brin de scie sur le plancher et partout sur les meubles, le salon remplit des meubles de la chambre et la table de cuisine disparaissant sous divers trucs à ranger. J'aime bien que ma visite ne ramène pas du brin de scie sous ses bas. Pis le fait reste juste que c'était pas le temps de recevoir ses chums.
Et finalement, quant à la partie qu'on s'en fait "toujours avec les moindres petits détails de la vie au lieu de s'offrir du bon temps", c'est très simple : faut bien quelqu'un qui s'en occupe, d'où mon chialage sur l'irresponsabilité. Par exemple, c'est pas sensé être à la fille de rappeler à son chum que le chèque du loyer va passer bientôt donc qu'il faudrait qu'il s'arrange pour avoir l'argent dans son compte au lieu de le dépenser.
4. Les recherches se déroulent présentement pour un tapis d'entrée. N'ont mené à rien jusqu'à présent.
Alors qu'est-ce que j'ai fait en fin de semaine ? Du sô-cial. Juste du sô-cial...

D'abord évidemment avec le proprio qui posait le plancher, puis avec les chums de Peanut... puis hier après-midi, ce sont ses parents qui ont débarqué inopinément. Évidemment, pour empirer les choses, Peanut est parti au club vidéo avec son père pendant une demi-heure, me laissant toute seule avec sa mère ! Ça, si c'est pas un coup chien... Heureusement, elle a beaucoup de jasette et je l'ai parti sur un sujet qui lui tient à coeur, alors ça s'est relativement bien passé. Et, évidemment, le tout s'est fini sur une autre séance d'introduction à Hot Shot Golf. On a montré à jouer à ce jeu-là à exactement 9 personnes jusqu'à maintenant, ça commence à devenir répétitif... et j'en peux vraiment plus de tous les voir faire exactement les mêmes erreurs au début. Enfin.

Je commence à être franchement en retard dans mes travaux, avec tout ça, mais la motivation est toujours presque nulle, alors c'est pas grave.
J'ai lu dans une revue que la procrastination, même si c'est une caractéristique humaine, proviendrait d'une basse estime de soi. Dans le style "je ne mérite pas d'avoir du succès alors je mets tout en oeuvre pour que ça soit difficile d'en obtenir"... Je trouve ça un peu exagéré. Enfin. Tout ça pour dire qu'il me reste un TP, un travail et de l'étude à faire.

À part de ça, les désagréments d'un plancher (je détestais avoir du tapis au début, mais j'avais fini par m'y habituer...) :
1. votre chum qui est la seule et unique personne à refuser obstinément d'enlever ses bottes avant d'entrer dans l'appart'. Je suis à la veille d'installer une moppe portative juste à l'entrée pour qu'il nettoie ses traces tout de suite.
2. le glissement que ça cause. Quand on s'assoit dans le sofa, il recule de quelques pouces. Faut constamment le ravancer, sinon, il va finir par trop reculer et renverser le speaker derrière lui.
3. c'est encore pire quand je m'assois dans ma chaise d'ordinateur, qui a des roulettes : je revole d'un pied ou deux. Aucun sens.
4. c'est froid, un plancher. j'aimais avoir du tapis parce que c'était comme une giga pantoufle étendue à la grandeur de l'appart'.
D'un autre côté, tous nos meubles sont finalement au niveau, ce qui, après un an de chialage, est plutôt rafraîchissant.

Là-dessus, je vous laisse pour avancer un peu mes travaux.

Sunday, January 23, 2005

En gros, j'ai passé la soirée d'hier à apprendre aux amis de Peanut à jouer à Hot Shot Golf, ce qui, bon, en plus d'exploiter mes capacités inexistantes de professeur, m'a aussi permis de les planter tous allégrement avec un pointage de -11, ce qui est quand même dans mes tops. À la moitié de la game, C m'a laissé son bonhomme pour aller joindre la partie de Risk qui se déroulait à côté, ce qui fait que j'ai fini par hériter de la première et de la deuxième position. Faites mieux.

(Car oui, en plus de tout le reste, Peanut croit qu'un appartement en bordel et tout poussiéreux est l'endroit idéal pour recevoir 5 amis)

(Au fait, j'ai voulu en parler quand j'ai rencontré ses amis pour la première fois, puis j'ai oublié, mais bon, tant pis, même si c'était beaucoup plus drôle alors, ça vaut quand même une mention aujourd'hui : un des amis de Peanut est le frère du fameux Manu avec qui on travaillait dans le temps...)