Saturday, December 16, 2006

J'ai parlé récemment qu'on me faisait paranoïer, ce qui fausse complètement mon interprétation de certains événements depuis environ une semaine.

J'ai appelé Peanut pour en parler tout à l'heure et j'ai entrepris de lui expliquer pourquoi cette interprétation était fausse... pour me rendre compte que j'utilisais les mêmes arguments que j'utilisais encore très récemment à propos d'un truc au sujet duquel j'ai fini par apprendre que j'avais été complètement dans le champ.

Ya encore plus de quoi paranoïer.

Mais ça a entraîné la jolie quote du jour de la part de Peanut qui se bidonnait bien, que voici :

Quartz ? J'adore ton innocence.
Quartz : Alors, finalement, est-ce que tu accompagnais I ?
Peanut : Ouin, elle a pas arrêté de m'écoeurer avec ça... Alors je lui ai dit que si je l'accompagnais, ça impliquait qu'on parte de A et qu'on se rende à Z, si tu vois ce que je veux dire.
Quartz : Haha !
Peanut : Elle a dit que je me rendrais pas à Z.
Quartz : Et tu t'es rendu où ?
Peanut : Ouf, genre à C.
Quartz : Et c'est quoi, C ?
Peanut : C ? Euh... c'est s'asseoir à côté d'elle à la table !

Au cours de la même conversation, on a établi que D était un contact physique et E, le regard prolongé les yeux dans les yeux et F, le french kiss.
Ça commence à ressembler à l'équivalent de la célèbre métaphore du baseball anglophone, mais bon ! C'est peut-être plus simple avec les lettres parce que la dernière fois que j'ai discuté de la métaphore du baseball avec quelqu'un, on a établi que j'avais déjà skippé une base sans m'en rendre compte...
La vie de Quartz en tant que professionnelle - THE party de Noël


Hier après-midi avait lieu le party de Noël de notre section. J'avais bien besoin d'une récompense après m'être cassé la tête pour remplir trois bas de Noël de façon subtile dans l'avant-midi.

D'ailleurs, à ce propos, les filles du comité social ont fini par voir que leurs bas étaient remplis de bonbons... elles en ont probablement discuté avec Nerd parce que c'est moi qu'elles sont venu remercier de l'attention. J'ai quand même souligné qu'il s'agissait de l'idée de Lift à l'origine - moi, c'est connu, je suis un monstre, je suis méprisante, égoïste, jeune, plate et, surtout, manipulatrice. Mes pseudos-amis se feront un plaisir de vous l'expliquer dans le détail, d'ailleurs.

Mais je digresse.

Un peu avant une heure, nous nous sommes rendus à la salle de conférence où nous avons eu droit à du vin et un buffet froid gigantesque. Après avoir mangé, nous avons formé quatre équipes pour jouer à un quizz musical, où mon équipe s'est classé deuxième. J'ai été plutôt fière de ma culture générale qui englobait Bing Crosby, Beethoven, Francis Cabrel et Phil Collins, ainsi que la chanson "Rack à bécyk" dont je me rappelle même plus des interprètes. J'ai également trouvé "Marie-Louise" purement parce que Galia me l'avait fait écouter en quelque part cet été.

Après le jeu musical, on s'est attaqués aux desserts plus éoeurants les uns que les autres, avant de procéder à l'échange de cadeau - vous vous rappelez, le fameux cadeau qui devait commencer par L ? J'avais fini par mettre la main sur une lava-lampe et quelqu'un d'autre avait acheté une lampe du même genre mais avec des brillants à l'intérieur. On a vu trois ou quatre lampes de lecture, un tas de lampions, deux lapins, deux lavettes et deux paquets de linges à vaisselle (je vous épargne mes commentaires et je vous laisse deviner qui avait acheter ce dernier item de façon sérieuse). De mon côté, j'ai eu du mélange à limonade, qui m'a fait très plaisir. J'ai aussi gagné 10$ en coupons-rabais chez Tim Horton's dans les prix de présence alors je risque de manger pas mal de Tim Bits dans les prochains mois !

Le reste de la soirée s'est passé à discuter avec les gens, même si une des organisatrices nous a demandé deux fois si on voulait faire autre chose... J'aurais bien voulu, moi, mais quoi ? Ya A qui s'est exclamée qu'avoir su, elle aurait apporté son jeu de loup-garou... ce qui m'a rendu hyperactive d'un coup.

Et je pense maintenant que si j'arrive à avoir assez d'invités chez moi au Jour de l'an, je vais aller m'acheter le jeu pour les faire jouer.

Vers 7h, les gens qui restaient avons fait le ménage de la salle de conférence et puis nous sommes partis. J'ai eu un lift jusqu'à chez moi, que j'ai bien failli passer dans un siège pour bébé (qui accueille les bébés jusqu'à 110 lbs, ce qui m'inclut). Je suis arrivée chez moi vers 7h30.

En gros, le party était bien, j'aurais juste préféré qu'il se passe un peu plus tard dans l'après-midi parce que bon, 7h30, c'est un peu tôt pour finir un party.
Depuis que j'ai parlé, hier, de Nerd, je me questionne et je pense à la célèbre Heather, qui s'est fait foutre à la porte de son bureau à cause de son blog. La majorité d'entre vous connaissez sans doute l'histoire - les autres, vous n'aurez qu'à lire ses posts de la catégorie "dooced".

De mon côté, je mentionne ma job le moins possible, mais comme Heather parlait d'un Asian Database Administrator, moi, j'ai parmi mes personnages Nerd et CPPS. Est-ce que c'est mal ? Est-ce que je devrais laisser tomber et me contenter de parler uniquement des gens sympathiques ?

Ce n'est pas que j'ai peur, mais en ajoutant le surnom de Nerd à la liste, hier, je me suis brièvement demandé ce qui arriverait s'il lisait ce post-là. Et ensuite s'est enchaîné toute la ligne de pensée ci-dessus.

Mais bon.

Friday, December 15, 2006

It's no surprise that you were so quick to let me go because you had already done so long before.

You always wanted to be the main element of my life and you'd try your best not to allow me to keep anything to myself. You always wanted everything that was mine. But you also refused to share with me anything at all that you had.

I tried to speak with you, but you went out the room.
I said I wanted to sort this out, and I waited for you.
But you chose to stay away and to pretend you had nothing to add.

I never wanted to walk away from you. But you were the one who left me hanging there, having to run after you; and when I said goodbye, all I heard from you was - oh, sorry, what did you say? Oh, right, see you... eventually.

You made your choice long ago, when you decided not to be straight with me, not suspecting that I knew all along and not realizing that this was going to cause us to drift apart.

And I gave up on you.
Not understanding then that you had already given up on me.

But if you only knew what she said about you.
Bon, je me suis donné la peine de descendre au Drugmart à côté du bureau pour acheter du cutex transparent juste pour que mes bas de nylon toffent la journée.

Et si vous vous posez la question, oui, ce cutex-là fera désormais partie de mes accessoires de bureau et il demeurera sur ma tablette, à côté de ma crème à main, mon gloss, mon Purel et mon Polysporin...
Ah, AH, merde !

Ça fait moins de 3h que je suis debout et j'ai déjà fait une maille dans DEUX BAS DE NYLON DIFFÉRENTS !!!
Parce que les trois filles du comité social du bureau ont accroché trois bas de Noël à la réception et ont chialé que personne ne les avaient rempli, Lift et moi sommes allés au Dollarama hier soir pour acheter des gustrucs à mettre dedans.

Comme de nous deux, c'est moi qui arrive le plus tôt à la job, j'ai offert de me charger de la mission secrète de remplir lesdits bas. À l'heure où j'arrive, en général, personne n'est en train de faire de sô-cial et je croyais que ce serait très simple à accomplir.

Mais non, ce matin, tout le monde était en train de parler avec tout le monde ! Faut dire que c'est le party de Noël aujourd'hui et que toutes les filles voulaient voir comment les autres étaient habillées (moi, je me suis mise en jupe ce matin totalement par hasard, j'avais pas compris qu'il fallait s'habiller chic.... mais bon !). Alors j'ai dû embarquer le conseiller (que je surnommerai ici affectueusement Nerd) dans le secret et j'ai caché mon sac près de lui pendant quelques minutes, le temps que tout le monde retourne à son bureau.... Ensuite, j'ai dû subtilement vider les bas du papier journal qui avait été mis à l'intérieur, puis les remplir avec nos gustrucs.

Honnêtement, c'est pathétique, mais c'était salement stressant.

Thursday, December 14, 2006

An interesting website, although you won't find any official interpretation there.
J'ai oublié de vous mentionner, hier, qu'enfin, après trois coups de fil et un e-mail, la Rémunération a réussi, cette semaine, à m'envoyer mon talon de paie au bureau. J'ai été époustouflée.

Par conséquent, cette fois-ci, c'est David, et non Goliath, qui a été le plus de service...
Ce matin, pour la première fois au bout de deux mois d'autobus, j'ai demandé mon arrêt.

C'est pas intéressant ni extraordinaire, mais j'avais déjà accepté comme fait que j'aurais jamais à demander un arrêt en Outaouais...

Wednesday, December 13, 2006

It's funny because just as I really wished I could be broken down into smithereens instead of so damn okay a few weeks back, now that I'm part of the human race again, I find that I really hate you for having proven unable to kill me. I didn't suspect I was going to make it and you should have killed me, you really should have.
Vultures in my garden
Figures that I know them
And it is what it is
You were good once
Now you’re filled with bitterness
And it is what it is
I cannot forget that he can't forget her
Or that some friends just change like the seasons
Take me back to the fact that you still blame me
But I am not the reason you are not David Bowie
Not David Bowie
Now you want to steal
The thoughts that I haven't even thought
And it is what it is
How 'bout your soul
Made a pact with the Devil
But needs a date with the surgeon
And it is what it is
I cannot forget that he can't forget her
Or that some friends just change like the seasons
Take me back to the fact that you still blame me
But I am not the reason you are not David Bowie
Not David Bowie
You forgot to value
All of us that bled for you
And it is what it is
You swore you were conscious
Not a champagne spiritualist
And it is what it is
I cannot forget that he can't forget her
Or that some friends just change like the seasons
Take me back to the fact that you still blame me
But I am not the reason you are not David Bowie
Not David Bowie
First - Tonight I received my graduation pictures. As soon as I get the motivation, I will scan one of them and share it with you loyal (or not so much) fans.

Ensuite - Mon épicerie pour les deux prochaines semaines vient de me coûter 46$. C'est pas beaucoup, mais c'est plus que ce que c'était être.... j'avais tellement rien dans mon panier quand j'ai eu tout pris ce qu'il y avait sur ma liste que j'ai été gênée et que j'ai acheté quelques petits trucs qui sont toujours bons à avoir mais dont je n'avais pas expressément besoin (mélasse, épices, vinaigrette...).
Vous vous souvenez (sans doute pas) de mon prof de théorie, qui ne m'appréciait pas parce que je passais des mots et que je frappais DraG pendant son cours. (Les profs avaient sans doute un penchant pour DraG puisqu'un d'entre eux a également tenté de me sortir de son cours pendant que je lui pitchais des glaçons...)

J'ai oublié d'en parler, mais pendant la formation, j'ai appris que son FILS travaille dans une autre section du bureau.

J'espère ne jamais tomber sur lui, car franchement : qui peut bien tourner quand ses deux parents sont profs à l'université ?
Je suis (yet again, je suis certaine que vous n'y portez même plus attention) déstabilisée.

Vous savez que je suis plutôt random en général, et j'ai des peaks. Jusqu'à aujourd'hui, je considérais comme peak un certain e-mail que j'avais envoyé à DraG au début de mon dernier stage, en janvier. Je me souviens plus exactement de quoi il en était, sinon que ça impliquait le Zimbabwe et ma clef USB, que le e-mail en question visait tellement de buts à la fois que c'était pas surprenant qu'il soit weird et, surtout, que même moi, en le relisant, j'avais jugé qu'il s'agissait du plus grand ramassis de niaiseries que j'avais jamais rédigé - et j'ai de l'expérience, vous le savez, puisque vous lisez mon blog.

Ce matin, j'ai reçu un e-mail qui m'accote drôlement, côté randomness.

C'est troublant.
Ok, this is over the top.

This morning, in the bus, a 40-year-old man got out of his seat when I got in, so as to leave it to me. I was shocked.

I mean, I can take it if you hold the door for me, if you'll insist I get in the bus/elevator/subway before you do, if you leave the last available seat to me in the bus/subway and remain standing and the like - although I never will completely get used to it - BUT please, if you're seated when I get in the bus, if you're almost twice my age and if I'm used to remain standing every morning in the bus, don't move.

Tuesday, December 12, 2006

Quote du jour :

Peanut : Utopie.

D'accord, le mot en lui-même n'est pas comique, mais le fait que ça soit Peanut qui ait utilisé ce mot-là l'est vraiment beaucoup. C'est le même gars qui disait se "morfondre" dans le mur...
I have officially bought and wrapped all my Christmas presents for this year.

I shall celebrate with a glass of Bailey's.
J'ai déjà parlé de H-P, mon si sympathique courtier d'assurance.

Juste pour vous montrer à quel point j'y suis attachée, il y a quelques minutes, mon regard a effleuré la liste téléphonique qui est affichée sur mon petit mur coussiné (hmmm, et c'est juste en tapant ce bout de phrase-là que je repense à l'expression padded cell et que je réalise que c'est vraiment à ça que ressemble mon cubicule) et j'ai lu "Technicienne avec HP".

Et je vous mens pas, ça m'a certainement pris une minute complète pour comprendre que HP est une entreprise qui fabrique un tas de gustruc électroniques qu'on utilise sans doute au bureau.
Un truc qui a été troublant, quand j'ai emménagé ici, ça a été de m'adapter aux autobus.

D'abord, et ça a absolument aucun lien avec ce que je veux raconter, les arrêts d'autobus ne sont pas situés sur les coins de rue, ici, mais bien deux longueurs d'autobus plus loin. Je vois vraiment pas où est le concept là-dedans, mais bon. Sinon, pour faire le tour du sujet, les passes d'autobus sont électroniques et vous devez les passer devant un détecteur au devant de l'autobus (ce qui a détruit à jamais les interactions passagers-chauffeur, personne ne lui dit bonjour et personne ne le remercie en sortant, qui aurait cru que ce serait plus civilisé à Montréal ?), et puis les chauffeurs ne récupèrent pas les transferts.

Mais ce qui m'a causé le plus de problèmes, c'est la question toute simple de repérer mon arrêt, le soir. Le matin, c'est pas trop compliqué, au centre-ville d'Ottawa, des points de repère, il y en a partout. Or, le soir, mon autobus longe une petite rue résidentielle qui croise la mienne. Il n'y a pas de feu de circulation, il n'y a pas de commerces, rien. Pendant au moins deux semaines après que j'aie commencé à travailler, j'ai continuellement manqué mon arrêt de bus.

Heureusement, c'est pas trop problématique, parce que mon autobus fait un U autour de ma rue, donc j'ai le choix entre deux arrêts pour débarquer - et le deuxième est situé tout près d'un dépanneur, donc je peux pas le manquer. Mais quand même.

Maintenant, ça fait deux mois que je travaille, et je réussis à voir mon arrêt à temps, parce que j'ai spotté une sorte de minuscule wanna-be enseigne lumineuse que je dois me tordre le cou pour apercevoir, et que je sais que mon arrêt est le deuxième après ça.

Mais bon. C'est humiliant, de mettre autant de temps à identifier son arrêt...
Update on previous update: Co-Worker's sofa isn't exactly like mine.

Monday, December 11, 2006

Bon, ceci est une note à moi-même pour me motiver à aller magasiner pour mes derniers cadeaux de Noël demain soir ! Ça presserait pas tant que ça normalement et j'arriverais à procrastiner jusqu'à la fin de semaine prochaine, sauf que le cadeau que mon père a identifier dans la circulaire de Canadian Tire est en spécial jusqu'à vendredi seulement...
Come and kiss me by the riverside
Sarah says it's fine, she don't consider it cheating
Don't go telling no more, don't go telling no more
Don't go telling no more lies on Sarah
Update: yes, Co-worker and I have the same sofa.

Deeply disturbing.
At first, I thought I could never hold it all in.

But you have turned me into you - sort of.

I just have to be very careful and continously be aware of where I stand, because now I can measure the level of confusion you have experienced and I can't have it take me over.

If I had time to waste, I'd spend it wondering which one of you started it.

Sunday, December 10, 2006

In my head, I found you there and
Running around and following me
But you don't, oh, dare, now
But I find that I have, now
More than I ever wanted to
So maybe Thomas Jefferson
Wasn't born in your backyard
Like you have said and
Maybe I'm just the horizon you run to
When she has left you there
You are here in my head
And running around and calling me
"Come back I'll show you the roses
That brush off the snow
And open their petals again and again"
And you know that
Apple green ice cream
Can melt in your hands
I can't, so...
I held your hand at the fair
And even forgot what time it was
And even Thomas Jefferson
Wasn't born in your backyard
Like you have said and
Maybe I'm just the horizon you run to
When she has left
You and me here
Alone on the floor
You're counting my feathers
As the bells toll
You see the bow and the belt
And the girl from the south
All favorites of mine
You know them all well
And spring brings fresh little puddles
That makes it all clear
Makes it all...
Hey, do you know
Hey, do you know
What this is doing to me
Oh, here, here, here
In my head
Vous vous ennuyez de mes théories sur le mâle moderne, n'est-ce pas ? C'est vrai que je les ai négligées dernièrement, mais bon, j'ai été occupée à me reconstruire un moral et puis un appartement et un réseau social. Et puis le nombre de mâles modernes dans mon entourage immédiat a drastiquement diminué et je n'en ai plus un à portée de la main (lire : dans mon appartement) à utiliser comme cobaye.

Mais bon, voici tout de même, à défaut de théories, deux petites pensées:
1. La subtilité et le mâle moderne, c'est vraiment deux. Juste aujourd'hui, DraG a négligé de faire quelques détours pour me dire que mes cheveux et mon manteau puaient la cigarette. Quelques dizaines de minutes avant de qualifier mon pouce de "dégueulasse". Disons que la prochaine fois que j'aurai besoin qu'on me rappelle à quel point je suis extraordinaire, j'irai demander à quelqu'un d'autre !
2. Peu importe la région du globe, le mâle moderne ne s'identifie pas quand il appelle quelque part. J'en ai encore eu la preuve dernièrement et je vous rappelle que le seul mâle moderne de ma connaissance qui se nommait systématiquement quand il appelait chez moi, c'était Jo.
La loi de Murphy, c'est aussi partir pour Montréal un vendredi soir parce que vos fins de semaine sont généralement trop calmes et revenir le dimanche après-midi pour trouver des invitations à des petites soirées en date du vendredi et du samedi.

Non, mais ya de quoi déprimer.

Sinon, ce matin, j'étais sensée aller déjeuner avec DraG. Comme il était à pied, je suis passée chez lui le chercher et pour une raison très obscure, il a jamais réussi à mettre la main sur ses clefs. Je dois avouer que j'ai trouvé ça vraiment très drôle. Il a donc dû fouiller dans ses fonds d'armoires pour nous concocter quelque chose de décent à manger pour déjeuner. Après le coup de la carte de crédit à l'épicerie, je commençais à me dire que peut-être le principe selon lequel les choses qui n'ont aucune probabilités d'arriver m'arrivaient toujours à moi se transposait tranquillement sur lui.

Les deux messages que j'ai trouvé sur mon répondeur à mon retour m'ont rapidement fait changer d'idée, par contre...