Saturday, February 10, 2007

This afternoon, I went to R's to pick up my kitten, Sambuca. She's two months old and she's the cutest thing, really.

I will post a picture of her as soon as I can; so far I have only photographed her with my cell phone because it was a simpler way to send the picture to people.

She's very calm: she went through the whole car ride without a sound! She was actually sleeping in her cage... I was amazed.

She spent the first half an hour under my bed, and the following half of an hour under the couch. Then I figured she'd spend the next century hiding if I let her, so I took her out of there, and she spent the next hour sleeping on my knees while I was talking on the phone with my mother. I tought after that, she'd have figured out that the world wasn't that scary, so I left her on the couch while I cleaned up the appartment a little. I was wrong: she went back under the bed. She seems to think there are only two alternatives: hiding or lying on my thighs.

Which is what makes photographing her a little tricky right now.

So she spent the best part of the day sleeping today; I hope she becomes a little more entertaining when she's more used to the place and less tired! However, I am quite pleased that she doesn't seem to be the kind to go around constantly meow-ing.
I just dropped about half a cup of dry cereals between the dryer and the wall.

Don't you all just wonder how the hell that could even happen now?
J'ai tout un tas de trucs à faire en fin de semaine :

1. Aller faire faire mes bords de pantalons;
2. Acheter des runnings, un comforter (désolée, j'arrive juste plus à me souvenir du mot français...) et des gugusses pour mon amie secrète au bureau pour la semaine prochaine;
3. Faire un gros ménage de mon appartement;
4. Plier mon maudit linge propre et faire la vaisselle;
5. Aller au Canadian Tire (saviez-vous qu'on ne peut aller que "chez" une personne, et non "chez" un magasin ?) tenter de mettre la main sur la bibliothèque que je cherche depuis des semaines parce que a) elle est en spécial cette semaine et b) je suis plus capable de devoir fouiller dans mes boîtes dès que je veux un livre, et je suis plus capable de devoir les remettre dans mes boîtes quand j'ai fini avec eux;
6. Assembler ladite bibliothèque;
7. Prendre possession de mon chat;
8. Faire du pain aux canneberges.

La vie d'adulte mature et responsable, parlez-moi-zen.

Friday, February 09, 2007

BONHEUR !!! JOIE !!!!

Je dois à présent une fière chandelle à un internaute anonyme ontarien qui est arrivé sur mon blog en faisant une recherche sur Google avec les mots clefs "Le lion et le moustique".

Vous devinez que c'est à cause de mon appel à tous visant à retrouver le titre de la chanson qui m'avait tant rire au cours de mon road trip dans l'Ouest que l'internaute s'est retrouvé ici.

J'ai quand même cliqué sur le lien de sa recherche pour voir s'il avait eu plus de succès que moi dans ses recherches.

Et à force de chercher, j'ai changé le mot "moustique" pour le mot "moucheron" et ALLÉLUIA !

La chanson que je cherche depuis si longtemps s'intitule Les malheurs du lion et est interprété par Thomas Fersen, obscur interprète dont je n'ai jamais entendu parler !

Je viens donc de la télécharger. Je dois dire que j'ai été suprise de la trouver.

Maintenant, si j'arrive à mettre la main sur Mademoiselle a, je serai tout à fait heureuse.
Pour le bénéfice de Taupe, principalement, mais de tous mes lecteurs en quête de sucre, voici la fameuse recette de fondant sublime aux biscuits à la crème - ou, pour le commun des mortels, de fudge choco blanc et oréos.
This new region is slowly beginning to take its assimilating toll on me.

It's been four months and already, I throw that many more English words that much more often in my regular French conversations, and I speak French with an English intonation - that's a subtle one, but present nevertheless.
Quote du Jour, read in an e-mail received this morning:

Money talks, but chocolate sings.

Think about it.
Mardi soir, R a fait des pieds et des mains pour trouver mon numéro de téléphone dans l'annuaire.
Car ne figure à l'annuaire que la première lettre de mon prénom. Ce n'est pas moi qui l'ai demandé, car le petit arabe que j'ai pogné chez Bell quand j'ai ouvert mon compte avait l'air d'avoir suffisamment de difficulté comme ça, mais j'en avais eu l'intention quand même : je préfère que les télémarketers qui appellent chez moi ne m'appellent pas par mon prénom.

Il y a cependant 8 Q. dans l'annuaire qui portent le même nom de famille que moi.
R, qui savait que j'habite près de l'endroit où nous jouons au badminton, s'est donc rendu sur Google Maps pour visualiser les adresses qui accompagnaient les numéros de téléphone.

Finalement, je l'ai déjà dit, elle a appelé Lift pour lui demander mon numéro, tout simplement.

En quelque part cette semaine, pendant notre heure de diner, au boulot, on a évoqué une recette de fudge au chocolat blanc et aux Oréos, qu'une collègue (dont le nom commence aussi par M, si bien que je peux même pas la nommer, merde) a déjà fait et dont j'ai trouvé la recette au dos d'une étiquette de Eagle Brand l'autre semaine. Je ne l'ai pas encore essayé, mais je prévois le faire. La collègue en question nous a promis de nous en faire à un moment donné.

Elle décide qu'hier soir est le moment donné, mais elle ne trouve plus la recette.
Elle veut donc m'appeler.

Elle a donc passé de longues minutes avec l'opératrice à essayer de déduire laquelle des Q. était moi, essayant de visualiser les adresses.... Elle a même essayé de demander le numéro de Mel, qui aurait pu lui donner le mien, pour trouver encore une fois 4 Mel dans l'annuaire !

Je me suis donc fait chicaner ce matin : "Non mais, c'est quoi l'idée de mettre juste Q. dans l'annuaire ?"

Je lui envoie la recette par courriel en fin de semaine.

Et je vais m'assurer que tout le monde sache le nom de la rue sur laquelle j'habite.
Hier, j'étais en feu.

Après le cours de danse, je suis revenue chez moi avec l'idée de faire plein de trucs utiles, genre ma vaisselle et mon pliage de linge propre qui attend depuis ouf, deux ou trois jours.

À la place, j'ai passé une demi-heure à pratiquer la chorégraphie.

Ensuite, j'ai attrappé mes clefs pour me rendre à l'aréna patiner avec R et Lift. C'était la première fois que je me rendais là moi-même, et j'ai vraiment mesuré à quel point j'ai une confiance aveugle en la vie. J'avais pris 3 secondes pour situer la rue sur mapquest, j'avais remarqué que ça croisait une rue que je connaissais déjà, et j'ai pas cherché plus loin. C'est seulement rendu là que je me suis dit que ç'aurait pas été fou de noter les noms des rues d'avant et d'après, car j'aurais facilement pu me rendre à Aylmer avant de me rendre compte que j'avais passé tout droit.

J'étais la première arrivée, alors j'ai pu mettre tout le temps nécessaire à l'attache de mes patins.

Faut dire que je déteste attacher des maudits patins à glace. Vous savez, les maudits patins blancs de fille ? Ils sont toujours trop lousses, et j'ai toujours mal aux pieds à la fin de la soirée parce que je suis trop lâche pour m'arrêter les rattacher.

J'ai passé dix minutes complètes à serrer mes patins hier soir : laissez-moi vous dire qu'ils ont toffé la soirée sans problème !

J'ai patiné une dizaine de minutes en solo avant que les deux autres arrivent : j'étais déjà fière d'avoir trouvé l'endroit sans problème, toute contente parce que ça faisait trois semaines que j'étais plus retourné patiner, j'étais sur mon reste d'adrénaline du cours de danse, et puis là, en plus, la glace était super belle et yavait pas trop de monde ! J'ai donc patiné à une vitesse fulgurante (du moins, fulgurante pour une petite maigre comme moi !) pendant mes dix minutes en solo, avant de me calmer (légèrement, très, très légèrement) quand les R et Lift m'ont rejointe.

Suis rentrée chez moi vers dix heures (après m'être calmée d'autorité au volant de ma voiture quand j'ai vu l'état horrible des routes et que j'ai failli me planter dans une entrée d'autoroute - le dites pas à ma mère !) et j'ai eu toute la misère du monde à m'endormir.

Mais bon, c'est pas grave ! Aujourd'hui, c'est vendredi; à défaut de café instant (ou même filtre, for that matter), j'ai du thé pour me fournir en caféine et en fin de semaine, je vais avoir mon chat !

Vite, quelqu'un, je suis vraiment trop de bonne humeur : plantez-moi un couteau dans le dos, faites-moi de la peine ! Ramenez-moi à mon état normal !
Note to self: Give up and buy some instant coffee to keep at work in the event of an emergency.

Thursday, February 08, 2007

J'aime être sur scène.
Je le savais pas avant de faire la comédie, mais maintenant je le sais, et je peux pas l'oublier.
La première année où je n'ai pas fait la comédie après avoir quitté le cégep et que je suis allée voir le show, la seule pensée qui me trottait dans la tête, c'était que je voulais donc aller marcher sur la scène. Juste marcher. Juste être là.

C'est pour ça que j'aimerais bien faire le spectacle de danse.
Je suis pourrie en danse, je sais pas danser, j'aime même pas danser, mais je veux faire de la scène.

Mes deux copinettes ne veulent pas faire partie du spectacle.

Je n'ai qu'à le faire toute seule, me direz-vous.
Je suppose que vous avez raison.

Sauf que.
Selon mon expérience, faire un show, c'est avant tout un trip de gang. C'est pas faire mon show et me faire regarder, que je veux - je préférerais même que personne de ma connaissance ne soit dans la salle : ce que je veux, c'est faire un trip de gang. Et ma "gang", dans le cas du cours de danse, c'est vraiment mes deux copinettes.

Je peux accepter que plus jamais je ne ferai de test de son, plus jamais je ne me ferai coiffer et maquiller, plus jamais j'aurai des changements de costumes, plus jamais des générales jusqu'à une heure du matin.

Je n'aime juste pas voir une scène me passer dans la figure et me narguer.
Next week, at work, as a Valentine's Day activity, everyone will have a "secret friend": that is, we all drew the name of a colleague and all week, we need to pay special attention to them without them noticing. We'll reveal our identity next Friday.

This means that basically we'll all find little gifts in our cubicles all week.
Anyone has ideas? Aside from chocolate, I mean....

Wednesday, February 07, 2007

Dans la catégorie je-ne-suis-pas-fière-de-moi-parce-que :

En formation, en décembre, on nous a donné un sac de tissus plutôt cheap et laid qui, tout compte fait, n'est pas particulièrement utile.

Je faisais part de cette réflexion à Maridi vendredi dernier, quand elle m'a fait la suggestion du sièce : elle, elle s'en sert pour l'épicerie.

Et moi, ça fait plusieurs semaines que je me répète que je devrais vraiment me procurer quelques sacs réutilisables pour faire mon épicerie; l'idée de Maridi m'a donc semblé complètement géniale.

Ça fait donc depuis vendredi dernier que j'attends impatiemment d'aller faire l'épicerie parce que je veux me servir de mon sac laid.

Et devinez ? J'ai oublié mon maudit sac chez moi avant de partir à l'épicerie tantôt. Merde.

Sinon, en sortant mes sacs de mon auto, je me suis rendue compte que j'arriverais pas à tout rentrer d'un seul coup, sauf mon paquet de 12 boîtes de kleenex que je n'arrivais pas à tenir dans mes mains en plus de mes 10 sacs. Il était hors de question que je fasse un deuxième voyage juste pour des kleenex; j'ai donc transporté mon paquet de kleenex jusqu'à ma porte à coup de coups de pied.

Ça m'a valu un "Avez-vous besoin d'aide, mademoiselle ?" de la part d'un inconnu qui passait dans la rue.
In the last few days, I've been getting a scary number of direct hits from China...
Comme quoi aller faire du badminton en groupe, c'est pas si simple.

Fin d'avant-midi : j'envoie une invitation virtuelle à R, Lift, Maridi et Mel (oui ! un nouveau surnom de blog ! je suis en feu !).

Mel accepte.
Maridi décline.
Lift déclare qu'il viendra si nous sommes un nombre pair seulement.
R ne répond pas : elle a dû décéder dans les dernières heures.

Mel et moi sommes donc les seules à aller au badminton.

Mais R, qui était en formation toute la journée hier, se démène, une fois de retour chez elle, pour trouver mon numéro de téléphone, avant de réaliser qu'elle n'a qu'à appeler Lift pour lui demander.

R se joint donc à nous; elle invite également Lift puisque nous serons un nombre pair.

Nous sommes donc quatre à aller au badminton.

Vers 19h, coup de théâtre ! C'est Mel qui m'appelle pour se décommander.

Nous ne sommes plus que trois.

Un nombre impair.

J'appelle donc Lift pour l'en avertir : il se décommande également.

Finalement, ce fut donc moi et R seulement qui sommes allées. On a été placées sur un terrain avec deux autres gars et on a joué deux parties complètes.

Parmi les faits marquants : Quartz qui se fait smasher le moineaux dessus trois fois, et Quartz qui fait du breakdance.

Là-dessus, bonne journée à tous !

Tuesday, February 06, 2007

À l'appui de ma théorie sur le mâle moderne, la partie selon laquelle un mâle moderne ne se nomme jamais au téléphone :

Lift : Allo ?
Quartz : Salut Lift, c'est Quartz.
Lift : Je t'avais reconnue.
Quartz : Ah, bon, c'est que j'ai été traumatisée par les gens qui appelaient chez moi et qui ne se nommaient pas, supposant que je les reconnaissais.
Okay, j'ai pas osé lui dire que yavait que les gars qui me faisaient le coup.
Lift : Ben, j'ai l'afficheur, alors t'as plus besoin de te nommer.
There's now three of us at work doing stairs a few times a day.

So far we're climbing 5 floors and down.

Entirely funny and weird.
I like this place.

Monday, February 05, 2007

For future reference: anybody knows how you can turn off those damn electrical smoke detectors without shutting off the whole "lighting" breaker?

I mean, there's got to be a way.
There's got to be an option other than to freeze my ass off after having opened a window in order to get the smoke (what damn smoke? I'm not seeing any smoke anywhere, dammit!) that's come out of my oven when I removed the salmon from it out (and nothing burned at all, the smoke is probably purely coming from the oil I put on the fish), have dinner in front of my computer because nothing (no lights, no TV) is working in the kitchen and the living room as a result of shutting off that "lighting" breaker that, from what I'm seeing, designates a few significant tidbits other than lighting!
Il y a quelques semaines, je disais à Peanut que j'envisageais de posséder et un fer à friser, et un fer à défriser, possibilité qui me déplaisait de par son caractère "girly", car je m'emploie de mon mieux à garder mon niveau de "girly-té" au minimum.

Or, après un très bref sondage, j'avais appris qu'on me considérait déjà comme un peu girly - soit "girly subtile" (ce qui ressemble à "borderline maigre"...) - puisque j'aime bien m'arranger et me maquiller.

C'est seulement ce matin que j'en ai pris conscience, par contre, puisque je me suis rendu compte que depuis quelques mois, j'utilise parfois deux ombres à paupière pour me maquiller les yeux.

J'ai eu un choc.
En écoutant ma voisine de cubicule discuter avec Lift, j'ai appris que l'expression "bon matin" est un anglicisme.

Ça m'a pitchée par terre, en grande partie parce que j'adore me faire souhaiter bon matin, je trouve ça cute et ça me met de bonne humeur.

Alors je déclare que sur ma planète, "bon matin" sera un anglicisme de bon aloi.

Qui veut contribuer à peupler ma planète ?

... Oh ! Pas dans ce sens-là, bande de lecteurs à l'esprit tordu !
Les gens ont tendance à surestimer la portée sociale de mon blog. C'est pour ça que Peanut m'a déjà demandé de publier ici un message de sa part et que, DraG, du temps où il lisait ouvertement Quartz's Song et y participait autrement que par l'intermédiaire de e-mails frustrés, a déjà conclu une alliance entre les hommes et les femmes de cette planète.

C'est également pour ça que quand j'ai dit à ma mère que je nommais expressément Méga-Meubles sur mon blog quand je racontais mes déboires avec eux, elle s'est inquiété à savoir s'ils pourraient me poursuivre pour diffamation.

Et c'est aussi pour cette raison que je spécifierai que le beau lapsus de Peanut que j'ai cité hier a été prononcé à une heure indue par un Peanut très fatigué, qui a été plutôt insulté quand j'ai éclaté de rire.

Et finalement, je retombe tranquillement, malgré moi, dans mes habitudes alimentaires anarchiques cégépiennes, et je déjeune encore avec un grand café ce matin. Les paris sont donc ouverts : connaîtrai-je encore un rush de caféine aujourd'hui ?

J'espère bien que non; mais le cas échéant, je sais qu'au moins, je pourrai aller faire des escaliers avec Maridi pour passer mon énergie.

Et pour finir, deux pensées :
1. Je fais vraiment une utilisation importante des points-virgules. Ça vous montre à quel point je suis possédée par mon travail.
2. Je déteste Word Perfect. Ce logiciel-là ne devrait même pas exister.
Lithium
Don't wanna lock me up inside
Lithium
Don't wana forget how it feels without
Lithium
I wanna stay in love with my sorrow
Oh but God I want to let it go
Come to bed, don't make me sleep alone
Couldn't hide the emptiness you let it show
Never wanted it to be so cold
Just didn't drink enough to say you love me
I can't hold on to me
Wonder what's wrong with me
Lithium
Don't wanna lock me up inside
Lithium
Don't wanna forget how it feels without
Lithium
I wanna stay in love with my sorrow
Don't want to let it lay me down this time
Drown my will to fly
Here in the darkness, I know myself
Can't break free until I let it go
Let me go
Darling, I forgive you after all
Anything is better than to be alone
And in the end I guess I had to fall
Always find my place among the ashes
I can't hold on to me
Wonder what's wrong with me
Lithium
Don't wanna lock me up inside
Lithium
Don't wanna forget how it feels without
Lithium
I wanna stay in love with my sorrow
Oh I'm gonna let it go

Sunday, February 04, 2007

Lapsus du jour -

Peanut : Tu sais, la Noire qui était passée à Tout le monde en parle pour parler du génocide à Rouyn-Noranda ?