Friday, July 15, 2005

The moment you really become an office employee is when your phone rings when you're discussing something with a co-worker and you have to excuse yourself in order to pick up (you realize at the same time that you're still an intern because you have to pick it up if you don't want whoever's calling directed to Some Guy's voicemail, but that's beside the point). Better yet, it's actually another co-worker calling to ask you something.

(because yes, as an intern, most phone calls you get here are personal. so it's a nice change.)

Ça fait depuis le mois de janvier que je parle d'aller manger une crêpe-dessert et je viens tout juste de le faire.

Si c'est pas de la patience, ça !

I thought I should let you guys know I solved the A/C problem at work. After contemplating the possibility of getting a gun and shooting the A/C system, I figured I'd just bring an old black jacket at work and leave it there. This old black jacket in particular I paid a price high enough to get to overwear it in college and still have it in very good condition today - and have people tell me that jacket isn't like me (:P @ DraG).

While I'm at uninteresting stuff, I might as well tell you that half the day isn't gone yet and I've already gotten two e-mails and four phone calls wishing me a happy birthday. It's crazy.

A common mistake you should never do the night before your birthday: neglect to charge your cell phone battery, thinking that you still can wait one more day. It's not yet 8 o'clock and it already started ringing. That's why I should've given my phone number at work to people. Oh well. I'll have to check if there is a way I could get the calls made to my cell phone tranferred to my work phone. There would be a small problem with that, though. Because my tutor at work never showed me how to set up my voicemail, and according to Peanut, if I'm not in my cubicle when people call, they're directe towards some guy's - probably the previous intern - voicemail. Which isn't really so bad, except it could probably be very distressing to people calling my cell phone. I wouldn't want to distress people. It's my birthday: I get to be distressed.

Thursday, July 14, 2005

J'ai acheté il y a deux ans une paire de gougounes style gypsie super quétaines en spécial... dont j'avais vaguement parlé ici en disant qu'elles étaient tellement quétaines que j'allais sûrement avoir honte un jour d'avoir ça dans mon garde-robe... Je me disais justement ce matin que j'en avais toujours pas honte et que ma phase quétaine devait être plus longue que ce que je prévoyais. Et puis il y a quelques minutes alors que je nettoyais ma tasse dans la cuisinette, ya une dame qui est rentrée et qui s'est exclamée : «elles sont cools, tes shoes!» (sic)

J'ai rien répondu sur le moment parce que mon cerveau savait plus trop dans quelle langue je devais lui répondre, mais quand même. C'est la consécration de mes gougounes quétaines. Hourrah.

Ah non ! Pourquoi est-ce qu'il faut qu'il annonce de la pluie dimanche ? Moi qui voulais passer mon après-midi à me promener dans le Parc Jean-Drapeau ! Bordel...

Wednesday, July 13, 2005

Fiou ! J'y ai vraiment cru, mais non, ils se sont souvenus de moi !

Ma visite de stage sera probablement mardi. Pas que j'ai vraiment envie d'en avoir une, mais être oubliée deux fois de suite, je crois que je l'aurais pris personnel !

C'est pas encore officiel, mais je crois que je viens ENCORE d'être oubliée pendant ma visite de stage !!!

Effectivement, Tweety, je semble être (inconsciemment, parce que ma conscience est occupée à assurer un nombre infini de lien avec d'autres) liée télépathiquement à beaucoup de personnes. Heureusement que ya qu'avec toi que je partage mon cerveau...

C'est pire que pire... aujourd'hui, c'est pas une toune d'Andrée Watters que j'ai dans la tête, mais une comptine française que j'avais apprise quand j'étais petite... J'ai voulu taper le mot «courir» puis j'ai inversé le i et le r final, et ça a suffit :

Il état un p'tit homme qui s'appelait Guilleri, Carabi
Il s'en fut à la chasse, à la chasse aux perdrix, Carabi
Titi, Carabi toto, carabo compère Guilleri
Te feras-tu, te feras-tu, te feras-tu mourri?
Il monta dans un arbre pour voir ses chiens courri, Carabi
La branche vint à se rompre et Guilleri tombi carabi
Titi, carabi toto, carabo compère Guilleri
Te feras, te feras-tu, te feras-tu mourri?
Il se cassa la jambe et le bras lui démit, Carabi
Les dames de l'hôpital sont arrivées au bruit, Carabi
Titi, carabi toto, carabo compère Guilleri
Te feras-tu, te feras-tu, te feras-tu mourri?
On lui banda la jambe, et le bras lui remit, Carabi
Pour remercier ces dames, Guilleri les embrassi, Carabi
Titi, carabi toto, carabo compère Guilleri
Te feras-tu, te feras-tu, te feras-tu mourri?

(J'ai trouvé une ligne qui ne figure pas dans ma version mais qui va comme suit : ça prouve que par les femmes, l'homme est toujours guéri. me suis dit que c'était digne de mention)

Est-ce qu'on savait qu'Admission est une division de Ticketmaster?
Je suis pas mal certaine qu'on le savait pas. Parce qu'on est pas mal troublée, mais bon.

J'ai appris ça en allant faire un tour sur le site de Montréal 2005 parce que j'entends tout le monde chialer sur le prix des billets du championnat de la FINA, et je dois avouer que j'ai été plutôt estomaquée de voir que les billets les plus chers sont à 45 $. Les moins chers sont à 25 $, ce qui est déjà mieux, mais quand on pense qu'on va sûrement pouvoir regarder les compétitions à la TV, donc possiblement avec de l'air climatisé, les commentaires et les reprises au ralenti...

Tuesday, July 12, 2005

Oh, I also need a title for my report. All ideas welcome. I really need practice when it comes to choosing a title for my papers. Somehow all titles I can think of consist of some sort of pun and well, while it might be very entertaining for myself, I just know that's not what is expected from me right now. I'm still very tempted to title this report Sir, yes, Sir!.
Work term report is almost finished. I got 13 pages so far and I still have about a paragraph to add so I'll probably get to 14, which is just right. I figured out most of my appendices. I got 7 so far and I just might leave it at that. I'll probably spend the next week setting those appendices up, and hopefully by next weekend I'll be able to just print it and put my mind to more interesting things. Like England...

Au fait, merci pour ta solution, AAB.

«En période de rut, le petit canard chinois émet le son suivant...»

Pourquoi j'arrive pas à me rentrer dans la tête qu'unité, c'est féminin ???

Pourquoi est-ce qu'il fallait que j'aie une toune d'Andrée Watters dans la tête, aujourd'hui ?

Terme consacré troublant du jour : « organisation du gardiennage d'incendie »

D'accord, un « gardien d'incendie », ça passe, mais du gardiennage d'incendie ???

Monday, July 11, 2005

Je suis de retour ! (Évidemment, faut bien gagner sa vie... surtout que je dois maintenant 417 $ à l'Aide financière aux études parce que je suis INCAPABLE, mais alors là complètement in-ca-pa-ble de calculer mes revenus de l'année. Enfin. Me suis encore plantée de près de 1000 $ cette année. Je sais pas trop quand je vais devoir le leur remettre, pour l'instant, eux, ils s'attendent à me le déduire de mon prochain calcul d'aide financière... j'imagine qu'ils vont me le réclamer quand ils vont se rendre compte que je ne fais pas de demande cette année. Je leur fais confiance, ils vont me demander leur argent.)

Avons donc passé une belle petite fin de semaine, remplie de poissons, de kayak et de feux de camp, et pendant laquelle j'ai (enfin) fini par bronzer le dernier jour, grâce à une petite heure de kayak dans l'après-midi. Ils ont beau dire qu'on bronze quand même avec de la crème solaire, moi, je dis que c'est faux.

Avons réussi à échapper aux parents de Peanut qui, finalement, se sont retrouvés cloués chez eux par une grippe. On a quand même fini par monter notre tente, mais ça, c'est ma petite histoire du jour :

Parce que le mâle moderne tient tout de même à son petit confort...

Samedi, 3 h : Peanut et Quartz décident de monter leur tente flambant neuve, histoire d'au moins savoir de quoi elle a l'air. La majorité du terrain est en pente. Quartz propose de monter la tente à l'avant du chalet, où on trouve le seul bout de terrain droit. Peanut clâme que le terrain n'est pas si croche que ça. Quartz capitule, parce que Quartz sait que, quand il est sans danger que le mâle moderne se trompe, elle est aussi bien de le laisser faire parce que sinon il passera les 25 prochaines années-lumières toujours aussi convaincu qu'il aurait eu raison. Et aussi parce que de toute manière, les parents de Peanut étant demeurés sagement chez eux, la tente sera là uniquement par parure...

3 h 20 : La tente est montée. Quartz et Peanut sont satisfaits de leur achat.

4 h : Peanut et Quartz décident de passer la nuit dans la tente, pour le fun. Tant qu'à l'avoir montée, autant l'essayer, non ?

12 h : Peanut et Quartz décident d'utiliser les 3 coussins de la balancelle extérieure comme matelas, dans la tente. Ils les placent, mettent par-dessus un sac de couchage dézippé, s'étendent... pour s'apercevoir que les coussins glissent jusqu'à la porte. Parce que, rappelez-vous-en, le terrain est en pente. Petit fou rire, tant pis, ça va être drôle, on veut dormir.

12 h 15 : Quartz s'endort.

1 h 30 : Peanut décide qu'il serait mieux, finalement, de se passer des gros coussins qui glissent. Quartz, à moitié réveillée, l'aide à tasser les coussins, et les deux se recouchent sur le sac de couchage qui glisse tout autant. Quartz se dit qu'il glisse en fait encore plus, mais veux juste DORMIR, alors ferme sa gueule en même temps que ses yeux.

2 h : Peanut capitule : il veut dormir à l'intérieur. Quartz et Peanut attrappent donc leurs choses pour retourner à l'intérieur du chalet.