Saturday, November 06, 2004

Joke du jour, du mois, voire de l'année, c'est tof à battre, je vous jure :

Vendredi, je suis arrivée chez moi pour trouver un message sur mon répondeur. Je l'écoute, et, puzzled, j'écoute une voix débiter le message :
"Oui, bonjour, le message est pour Quartz, ici cé Ronny X de la Ville de Y, je viens de recevoir votre courriel par rapport au recyclage...
S'ensuit toute une lecture des règlements de triage du recyclage pour la Ville, ainsi que l'explication que les ramasseurs ne peuvent pas prendre les grosses boîtes parce qu'il y a pas assez de place dans le truck, etc, etc...
Moi, je fixe mon répondeur en essayant de comprendre comment ce monsieur-là a su qu'on avait de la misère avec nos ramasseurs de recyclage.
Puis je me suis souvenue...
Vous savez, le 23 février 2004, quand je venais tout juste d'emménager avec mon chum, et que le recyclage nous faisait chier ? C'est là que j'ai envoyé un e-mail pour chialer à la Ville, et je n'ai jamais eu de réponse.
On est en novembre. C'est maintenant qu'ils me répondent ? J'arrive pas à le croire.
Je suis particulièrement productive aujourd'hui. Vous ne savez pas quoi acheter à vos proches pour Noël ? Demandez-le moi : je coûte pas cher et j'ai des idées géniales jusqu'à minuit ce soir.

Résumé donc de cet après-midi de magasinage :

(Tout d'abord je dois chialer contre mon maudit clavier de la job qui est configuré tout croche, ce qui fait en sorte que maintenant, j'arrive plus à taper de mon clavier chez moi, bor-del)

Ce fut effectivement très productif. J'ai même réussi à me trouver la camisole rouge que je désirais. Bon, d'accord, c'est une camisole qui est sensée être un haut de pyjama, mais bon, elle est faite dans le même matériel que celle que je portais aujourd'hui, et elle a même plus de lycra. (c'est quoi la différence entre le lycra et le spandex ?) Son avantage principal est son prix réduit : une camisole que vous portez le jour vous coûtera 10-15$ ou plus (mais moi, en stagiaire sous-payée - coup donc, j'ai pas eu une job jusqu'à maintenant où j'étais pas sous-payée, cé quoi la joke ? - je magasine pas dans les endroits où on me demande plus). Si vous voulez une camisole-pyjama, elle vous coûtera 5-7$. Je crois que les compagnies de linge touchent une commission pour chaque personne qui vous voit porter leur linge.

Je me suis aussi trouvée des lunettes de soleil. Ça, c'est extraordinaire. Les lunettes fumées et moi, c'est une longue histoire d'amour malheureuse. Toute petite, j'avais tout plein de petites lunettes fumées cutes, de toutes les couleurs et toutes les formes. Puis, à l'âge tendre de 5 ans, j'ai commencé à faire de l'astimagtie, donc à porter des vraies lunettes (c'est pas la moitié aussi amusant), donc à délaisser malgré moi les lunettes fumées.
À l'âge écoeuré de 14 ans, je me suis tournée vers les verres de contact. Première chose que j'ai faite après me les être mis dans les yeux, c'est m'acheter des lunettes fumées. J'en ai passées, des paires, depuis ce temps-là. Tout d'abord, en trouver une qui me fait, c'est déjà miraculeux (surtout aujourd'hui que la mode est aux grosses lunettes : je suis beaucoup trop petites pour porter des lunettes plus grosses que moi, merde), et quand j'en trouve, eh bien, elles se crochissent, ou j'aime pas le look. J'en avais une paire que j'aimais bien, puis je l'ai cassée.
Et aujourd'hui, j'ai mis la main sur une paire de lunettes en spécial. Heureuse ? Oui. Mais pour combien de temps ? Les paris sont ouverts.

J'ai passé une bonne partie de mon temps à suggérer des idées-cadeaux à Tweety, qui les a, en grande majorité, ignorées. Non mais avouez : quelle est l'Idée Géniale quand vous avez un échange de cadeau dont le thème est la lettre B ? Des bretelles, non ? Enfin. Étant, de mon côté, à court d'idée pour le cadeau de mon père qui n'aime rien, j'ai fini par me rendre chez Zellers acheter un paquet de clous, un paquet de vis, un litre d'huile à moteur, un litre d'antigel et puis un sent-bon pour auto. Au moins, je sais qu'il va s'en servir.

Et finalement, j'officialise ici pour Tweety et Peanut que la date de mon souper de Noël sera le 11 décembre et que Tweety apportera la salade.
You are .rpm  You have a nice package.  You can be useful, but your many variations sometimes make you tough to find.  You aren't apt to get jealous.
Which File Extension are You?

I love being told I'm not a jealous person. I thought I was : but it turns out I'm really not !
You are Windows XP.  Under your bright and cheerful exterior is a strong and stable personality.  You have a tendency to do more than what is asked or even desired.
Which OS are You?

Oh well.
Devant l'animalerie à une heure, ça me va : peux-tu me confirmer que tu as eu ce message, et aussi me dire devant quelle entrée est l'animalement ? Je pense que c'est proche du La Baie, mais je doute un peu - je ne connais pas les Promenades comme toi.

La mission de la journée, si vous l'acceptez, est de me dénicher une camisole rouge sans soutien intégré (quoiqu'il paraît que les soutiens se sont élargis depuis cet été que peut-être ça pourrait me faire) : la mienne vient de passer à la sécheuse pour la deuxième fois. Cette fois, c'est ma faute, je peux pas vraiment chialer MAIS si Peanut l'avait pas mis la première fois, eh bien, je pourrais encore la mettre...

Friday, November 05, 2004

Aaaaaaaah... Blogger is finally working !

I just thought this (from Miss Saigon) was enjoyable in this post-election period.


If you want to die in bed
Follow my example
When you see a cloud ahead
It's time to show your class
Hit the door before
They make a target of your ass
If you want to die in bed
In times of revolution
When the flag they fly is red
Let pride fill up your chest
Meanwhile pack a sack
And take the first boat heading west
My precious souvenirs
Of all the golden years
Rolex watches in steel
That look practically real
I'll need a little stock
To start me in Bangkok!
If you want to die in bed
Forget about your karma
When your life hangs by a thread
Don't cry about the fates
Grab a stash of cash
And plan a rest'rant in the States
Let me stop for a bit
This was my greatest hit
Miss Saigon in her crown
I made queen of the town
I got 'em paying more
For just another whore
Here I come
USA
Your next champ's
On his way
For men will always be men
The rules are the same
For kings or for clerks
Give me Francs, or Dollars or Yen
I'll set up a game
I know how it works
Wy was I born of a race
That thinks only of rice
And hates entrepreneurs?
Me I belong in a place
Where a man sets his price
And you pay, and he's yours
I should be... American!
Where every promise lands
And every businessman knows where he stands
First stop Bangkok then I roam
Cross that ocean white with foam
To the place that's my heart's true home
America!
If you want to die in bed
En route to your nirvana
You grab a chance and plunge ahead
And go where people win
Heaven's there... but, shit!
You need a visa to get in!
(...)
If you want to die in bed
Don't care too much for country
Hit the open sea instead
And float there like a cork
Uncle Ho, ho ho ho!
I'll have to call you from New York

Thursday, November 04, 2004

Some day I just speak too much English to be able to effectively translate into French...
I want that phone.

*sigh*

Oh well. In a couple of years.
The price will have gone down by then.
Conversation amusante de la soirée d'hier soir. Le téléphone sonne, je réponds :

- Allo ?
- Salut, Quartz. Eille, cé quand est-ce que tu vas savoir si tu vas à Ottawa ou pas ?
- (explication de comment je le sais pas, finalement)Pourquoi ?
- Ah, pour savoir. On se demandait ça.
- Ok, ça t'as pogné tout d'un coup, là ?
- Ben non, ben on se demandait ça, je viens de sortir du cours.

À noter que j'ai jamais su qui "on" incluait, mais c'était un peu troublant de me faire appeler pour ça.
Voici la lettre, commencée hier et terminée ce matin, que j'enverrai à Visa Desjardins dès ce soir.

Ce que je pense obtenir ?
Tout d'abord, des excuses. La SPAQ s'est excusée deux fois, alors que leur faute n'est pas si grave, et, EUX, ils ont été très courtois et sympathiques avec moi. Visa Desjardins m'a traitée de menteuse, de voleuse et de sénile ("vous êtes certaine que vous êtes seulement allée là deux fois ? vraiment sûre ?") et je veux qu'ils s'excusent eux aussi. Ça changera rien à la situation, mais je prends ce que je peux obtenir.
Ensuite de ça, je dois avouer que j'aimerais bien que la salope qui m'a parlée bête perde sa job. C'est elle qui a mis une note à mon dossier - j'ose espérer qu'elle doit écrire son nom quand elle fait un truc du genre. S'ils trouvent son nom, elle risque de se faire engueuler comme faut, ce qui ferait mon délice.
J'ai aussi envie de voir s'ils vont me proposer quelque chose pour que je reste avec eux. Généralement, les entreprises font ça : je suis curieuse de voir ce qu'ils vont m'offrir.
Finalement, leur envoyer ça, ça sert surtout à me défouler : je vais me sentir salement mieux après leur avoir crier des bêtises. (Mais non, je crie jamais de bêtises, moi. Je fais dans la subtilité : j'utilise un ton fancy et je fais du bitchage camouflé. Ça tombe dans la manipulation, et ça fait bien mon affaire.)

Voici donc ma lettre :


4 novembre 2004

Madame, Monsieur,

Je vous écris aujourd’hui pour vous faire part de ma plus profonde déception en votre service à la clientèle, qui m’a traitée sans ménagement, comme une criminelle, et ce, sans raison valable.

Voici mon histoire :

Au début septembre, du 9 au 12 précisément, je suis allée, avec mon copain, passer quelques jours chez son cousin, à Québec. Son cousin habite dans un appartement qui ne possède pas d’espace de stationnement. Il a donc recours à un stationnement public de la Société Parc-Auto du Québec. C’est donc au même endroit que je devais me stationner. C’est le genre d’endroit où vous devez insérer votre carte de crédit dans une machine à l’entrée, puis à la sortie : l’ordinateur calcule ainsi le temps que vous avez passé à l’intérieur du stationnement et facture votre carte du montant correspondant.

Je serai claire : je suis entrée dans ce stationnement deux fois, témoins à l’appui.
Tout d’abord, j’y suis entrée à la suite du cousin de mon copain. J’en suis sortie immédiatement, à la suggestion du cousin, pour tenter d’obtenir un prix pour les trois jours passés sur les lieux. Le cousin de mon copain, de son côté, utilise une passe mensuelle pour se stationner là : comme les prix pour un séjour de trois jours nous semblaient exorbitants, il a proposé de nous prêter la passe de sa copine, qui nous visiterait dans la soirée, pour la durée de notre visite. Je suis donc entrée une deuxième fois dans le stationnement. Plus tard dans la soirée, quand sa copine fut passée nous apporter sa passe, je suis ressortie du stationnement pour y revenir immédiatement, avec la passe cette fois-ci. J’ai utilisée cette passe durant le restant de notre séjour.

Après notre retour dans la région de Montréal, les deux premières transactions ont été facturées sur ma carte de crédit (le 17 et le 23 septembre). Puis, le 27 septembre, une troisième a fait son apparition. Croyant à une erreur d’informatique de la Société, j’ai alors appelé votre service à la clientèle, qui a contesté la facture. Peu après, le 27 septembre à nouveau, puis le 4 octobre, d’autres transactions ont également été facturées. Votre service à la clientèle m’a alors appris que, pour de tels montants trop petits, Visa Desjardins se contentait de créditer la transaction au client, sans contacter la compagnie. C’est au cours du même appel que la dame qui me répondait m’a, de façon à peine voilée, traitée de menteuse pour la première fois : « Donc vous dites que vous n’y êtes pas retournée et que vous êtes quand même facturée… bon, c’est bizarre, mais on va vous la contester… »

Pardon ? J’ai travaillé plusieurs années dans le service à la clientèle, et s’il y a une chose que je sais, c’est qu’on ne parle pas ainsi à un client ! Si contester des factures vous est désagréable, ce n’est pas de ma faute : je n’ai pas à endurer que l’on me parle ainsi. Ce serait même plutôt à moi d’être de mauvaise humeur, puisque c’est moi, la victime de cette erreur.

Voulant donc éviter de me faire insulter à nouveau par vous, j’ai contacté la SPAQ pour leur faire part de mon problème : je n’ai malheureusement pas pu parler à qui que ce soit à ce moment-là. J’ai laissé un message, et attendu qu’on me rappelle.

Pendant ce temps, d’autres transactions étaient facturées : une le 6 octobre et deux le 12 octobre. Comme je ne savais pas quand le dossier pourrait se régler avec la SPAQ (vous conviendrez que ces choses-là prennent généralement du temps) et que je n’avais pas l’intention de payer pour des transactions que je n’ai pas faites, ce qui relève de la plus pure logique, j’ai appelé votre service à la clientèle à nouveau. C’est là que vous avez dépassé les limites. Après avoir essayé de me faire croire que j’étais sénile et que j’étais allée dans ce stationnement plus que deux fois sans m’en rendre compte, la dame qui m’a répondue m’a dit qu’elle ne pouvait pas contester les trois nouvelles transactions, comme je le réclamais, puisque, selon elle, la « carte devait être présente lors de la transaction ». Je lui ai donc répondu que, dans ce cas-là, on devait avoir cloné ma carte. Sa réponse ? « Pour des petits montants comme ceux-là, Madame, c’est impossible. » Cette dame a mis une note à mon dossier pour qu’on ne me conteste plus mes factures et m’a dit de m’arranger avec la SPAQ à l’avenir. Elle a aussi refusé de me contester la seule transaction qui figurait sur mon dernier relevé, ce qui m’aurait donné un peu plus de temps pour tenter de régler le tout avec la SPAQ.

Est-ce que quelque chose m’a échappé ? N’est-on plus innocent jusqu’à preuve du contraire, dans ce pays ? Si vous me soupçonnez de vous voler, ne devez-vous pas avoir une preuve quelconque avant de prendre des mesures comme celles-là ? Je suis une cliente, cela fait près de 2 ans que je possède ma carte de crédit, je n’ai jamais eu de problème, j’ai toujours payé mon compte sans rechigner, vous faites de l’argent sur mon dos, est-ce que je ne mérite pas un peu plus de considération ?

Depuis, j’ai réussi à rejoindre la SPAQ à propos des 7 transactions faites en trop (car une autre s’est ajoutée au total le 14 octobre dernier). Le directeurs des opérations, qui s’est occupé de mon cas, m’a confirmé qu’il s’agissait effectivement d’une erreur d’informatique. Oui, oui, ce qui, selon vous, était « impossible » sans que ma carte soit présente lors de la transaction. Seriez-vous incompétents en plus d’être irrespectueux ? Bref, la SPAQ me remboursera les transactions non-justifiées et cette histoire sera enfin terminée.

Aurais-je retenu le nom de la dame qui m’a traitée de menteuse et de voleuse, je me serais fait un plaisir de la rappeler pour lui annoncer personnellement cette nouvelle et lui réclamer les excuses qu’elle me doit.

Je ne sais pas si vos clients sont si peu importants pour vous que vous vous permettez de les envoyer balader, mais c’est quelque chose qui ne se fait tout simplement pas. J’ai travaillé avec un homme qui a perdu patience avec un client, une seule fois, et moins de 10 minutes plus tard, il était mis à la porte. J’avais cru avoir affaire à des professionnels qui tenaient à leurs clients : je m’étais apparemment trompée.

C’est pourquoi j’ai obtenu une carte de crédit chez un compétiteur qui, je n’en ai aucun doute, me traitera mieux que vous en cas de problème. Je n’attends plus que le remboursement de la SPAQ : dès que je l’aurai obtenu, je me ferai un plaisir d’annuler ma carte Visa Desjardins. Je me suis trompée : ce n’est qu’à ce moment-là que cette histoire sera réellement terminée.

Merci de votre attention,

Une cliente extrêmement déçue,

Quartz
Ha !

J'ai gagné ! Encore une fois ! N'essayez pas de vous mesurer à moi, j'ai toujours raison !

Vous vous souvenez de mes problèmes de carte de crédit ? Avec la SPAQ qui finissait plus de charger ma carte de crédit ? (Évidemment, j'en ai parlé hier...)
Enfin, je viens de parler à mon petit monsieur de Québec, qui a réitéré ses excuses, m'a confirmé que c'était bel et bien une erreur informatique (vous savez, le truc que Visa Desjardins qualifiait d'"impossible" parce que ma carte "devait être présente au moment de la transaction" ?) Les montants en trop vont être créditer sur ma carte très bientôt, sinon "rappelez-moi et chicanez-moi, Madame".

C'est le moment, maintenant, d'écrire une belle lettre de marde à Visa Desjardins pour leur dire qu'ils sont caves et que dès que les remboursements vont rentrer, ils vont me perdre comme cliente. (Je vais aussi aller magasiner sur leur bras, mais ça, ils ont pas besoin de le savoir...)

Ha ! Ha ! Ha !
Je suis tout simplement géniale !!!!!

Wednesday, November 03, 2004

J'ai mis à profit mon petit temps à perdre pour rédiger la lettre de marde que je compte envoyer à Visa Desjardins dès que la SPAQ m'aura remboursé les transactions en trop. Et je me dis qu'ils pourraient très bien me rembourser TOUTES les transactions, incluant celles que Visa Desjardins m'a déjà remboursées, ce qui voudrait dire que j'aurais un surplus d'argent sur ma carte. Je pourrais donc mettre ça à profit pour aller magasiner sur le bras de Visa Desjardins avant d'annuler ma carte. Tenez, vos cadeaux de Noël seront commandités, cette année, groupe !
Oui, ça serait crosseur. Mais ils avaient juste à pas me traiter de menteuse.

J'ai pas appelé la SPAQ hier soir. Faudra que je fasse ça ce soir. J'ai besoin de mon remboursement. Je viens déjà de payer 6,80$ de ma poche pour m'éviter des frais, il me reste 20$ jusqu'au mois de décembre, et c'est pas vrai que je vais les payer.
Tweety, est-ce qu'on se voit en fin de semaine ?
Est-ce que tu te souviens quand je t'ai proposé ça et si je l'ai proposé à Matinée ?
Avec ma grande mémoire, je me souviens que je t'en avais parlé, mais j'arrive pas à me souvenir si Matinée avait dit qu'elle ne pouvait pas ou si j'ai tout simplement oublié de lui proposer.
As-tu des suggestions ? Moi je sèche un peu puisque ça risque d'être un peu le cirque chez nous...
Ma boss habite encore chez ses parents.
Un des employés a encore son permis probatoire.
Pis bon, ya évidemment Alex qui, en gars digne de ce nom, demande à sa mère de lui faire ses lunches.

C'est ça, travailler dans une jeune entreprise ?

Tuesday, November 02, 2004

J'ai trouvé ce que je vais acheter à ma mère pour Noël. Je suis hyper productive aujourd'hui.
1. New Bobbin Head Dog has a name : he shall be Max, for two reasons. First, it suits him well, of course, and second, Alex never could remember Sam's name and he used to call him Max.
2. Le mot que je cherchais hier, c'était idiomatique. Donc, Tweety sort des traductions très idiomatiques. Voilà.
3. Je ne réalise pas à quel point j'influence les gens. Dans ma banque d'expressions faciales figure un petit sourire crispé style je-sais-pas-trop-ce-qu'il-faut-que-je-fasse-alors-je-vais-sourire que tout le monde imite après un certain temps. C'est traumatisant. C'est mon boss qui me l'a servi, en arrivant, ce matin.
So Sam has been physically replaced : Alex brought me this other bobbin head dog this morning. He got it at the dollar store (which assures me that he is not sorry at all and is not thankful for all the rides I've given him to and from work either) and there is no glue on it so I can't stick it anywhere yet.
I kept Sam's head and threw away his body, figured I could switch once in a while...
Anyways, so in a few days from now, New Dog will be in my car with Gigi the Frog - and will hopefully be named as well.
I ordered the Wallace & Gromit DVD from Amazon, and once again, it was delayed. I can't believe how they suck. If they didn't have stuff I can't find anywhere else, I would stop ordering from them : I haven't EVER ordered something from them without it being delayed. How is that possible ???
Avancement de mes cadeaux de Noël :
Je sais ce que je vais acheter à Tweety, et soudainement, hier soir, m'est venue l'idée de ce que je devais acheter à Peanut.

Il me reste donc quelques cadeaux à trouver, ce que j'aimerais bien faire d'ici la fin du mois. D'ici la fin du mois, également, j'aimerais trouver du temps pour faire avancer dramatiquement la section de l'Ouest canadien de Vers l'Infini, il faut aussi que je remplisse un formulaire pour mes prêts et bourses, et ce soir, il faudrait que j'appelle M. Parking de Québec. Depuis que je les ai appelés, les transactions ont arrêté sur ma carte. Cependant, j'ai pas eu de remboursement encore, et j'en veux un. Je sais bien que ce soir, M. Parking ne sera pas là, mais je vais pouvoir laisser un message après six heures (histoire de sauver le longue distance) et le laisser me rappeler demain dans la journée, lui laissant le soin de payer le longue distance.

And finally, who will win ? Bush or Kerry ?
I really hope it would be Kerry, but my bet is it's going to be Bush, and I also think they will have figured out who won two days from now. (how long did it take last time ?)
Fact of life #9845 :
If, in the morning, you're being all hyper in front of your mirror, screaming : "My hair is longer ! My hair is longer ! My hair actually grows out !"
Then, by mid-afternoon, walking outside in the wind, you're gonna go : "Argh, damn long hair..."

Fact of life #9846 :
If you haven't bitten your nails in over 2 months, don't think the habit is gone. It is what it is : an habit. And you probably will end up biting one nail before you know it.
I don't KNOW what happened ! I suddenly realized I was biting my nail, and then I stopped, but for a moment there, I was possessed. Oh well. If I had the chance, I would give up on me.

Monday, November 01, 2004

À propos de stage

Je l'ai dit à pas mal tout le monde, mais autant l'officialiser ici : je vais attendre d'avoir mon offre de stage et de voir quelle est la date limite qu'ils vont me donner pour recevoir ma cote de sécurité. Cependant, histoire de pas me faire chier, moi, et de ne pas faire chier l'autre étudiant qui va être en attente, je crois que je vais mettre ma propre date limite dans la première semaine de décembre. À ce moment-là, si je suis assurée d'un stage en été, eh bien je vais me désister. Ça règle tout plein de problèmes, dont celui de me trouver un logement en plein temps des fêtes, ça me permet de finalement garder mon horaire prévu originalement, et, surtout, ça me permet de pas être pognée pour faire une demande de changement de situation pour mes prêts et bourse à la toute dernière minute.

À propos de dégât d'eau

Peanut a parlé à la proprio l'autre soir, et il paraît que la comagnie de transport lui aurait dit qu'ils lui enverraient un chèque. Elle ne l'a toujours pas reçu, et moi, je me dis qu'elle a dû imaginer des trucs, mais elle compte s'occuper de ça à son retour de vacances. Enfin bref, tout ça pour dire que ça serait troublant qu'ils envoient un chèque sans dire un mot, mais ça règlerait tous les problèmes de notre côté, parce qu'à partir de ce moment-là, nous, on n'aurait plus besoin de s'en mêler, ils dealeraient directement avec la proprio, et puis, surtout, les assurances de la proprio auraient une vache à lait ayant admis sa responsabilité : ils ne leur resteraient donc plus qu'à aller la traire tranquillement et à nous sacrer patience éternellement. Hourrah.
Merci Tweety de ces renseignements rassurants.
Tu pourrais essayer d'amener ta carte de mémoire chez moi en fin de semaine prochaine : si elle fitte dans mon kodak (que j'ai retrouvé hier), et c'est probablement le cas, on pourra les transférer sur mon ordinateur.
Ça fait un bout que j'oublie de dire que Tweety a, en effet, un grand talent naturel de traductrice. Elle sort en effet des traductions tout ce qu'il y a de plus, merde, je trouve plus le mot, enfin, je vous le dirai plus tard, pour l'instant, disons que c'est honnête.
En effet, alors qu'on tentait toutes les deux d'expliquer à Peanut ce que veut dire "I rest my case", Tweety a mis au point la traduction la plus fidèle qui soit, soit : "Ma job est finie"...
Donc donc donc, pour finir la petite histoire du party d'Halloween, je dirai que Francesca a été prise pour une fille par deux autres filles. Je crois donc pouvoir dire qu'elle était la plus réussie, malgré le fait qu'un autre gars ait débarqué déguisé en fille - cependant, lui incarnait plus la guidoune de service que la fille avec qui vous travaillez.

Finalement, je croyais que mettre du mascara à Peanut avait été l'étape la plus tof de toutes, mais je me trompais : le plus tof, ça a été de le démaquiller en revenant. Une chance que j'avais rien bu, finalement.

Sinon, en fin de semaine, s'est produit l'ultime confrontation du gars-qui-va-avoir-son-permis-de-conduire-et-qui-veut-un-char-tout-de-suite-tout-de-suite-tout-de-suite, dont je suis sortie victorieuse.
Honnêtement, j'ai pas voulu en sortir victorieuse, j'ai proposé un compromis acceptable, et le compromis s'est révélé irréalisable. Ainsi donc, si quelqu'un parmi vous peut me faire apparaître un parking de plus, je me ferai un plaisir de magasiner un char à Peanut, sans rechigner.

Pour me faire pardonner, j'ai accepté de disputer une partie de golf de playstation avec lui, pour finalement me rendre compte que c'est pas trop tof. J'ai même planté Peanut sur quelques trous, et j'ai trouvé le moyen de jouer des games très honnêtes tout en m'amusant à pitcher mes balles dans l'eau, le sable ou les arbres. Bref, des heures de plaisir. Mais j'aime mieux le pinball.

Je suis aussi allée voir mes parents pour faire monter mon char - en fait, j'ai fait faire le changement d'huile, mettre mes pneus d'hiver, changer ma serrure du côté du passager (c'est pas vrai que je vais rentrer par la valise une autre fois, moi) et shooter le char à l'huile. Après un shootage à l'huile, le char garde l'odeur pendant quelques temps, mais moi, j'aime ça. Mon père a toujours eu un garage, alors j'ai grandi avec l'odeur de gaz et d'huile - c'est rendu que j'aime ça !
Quelques petites notes rapides avant de partir travailler :

Le party d'Halloween en tant que tel était plutôt plate, je dois avouer, mais nous avons eu du fun tout de même, en grande partie grâce à Peanut...

Peanut était donc vêtu, pour l'occasion, de bas gris allant aux genoux et de belles sandales fleuries. Il avait également la fameuse jupe noire de Tweety, ma camisole rose attachée autour du cou et ma veste noire. On a réussi à lui créer une poitrine tout ce qu'il y a de plus honnête avec des guenilles.
Tweety a fourni une magnifique perruque d'un bleu électrique qui allait très très bien à Peanut. Je me suis occupée de la touche finale en lui appliquant une couche de fond de teint qui a caché les dernières traces de barbe, du fard à paupière argenté, du mascara et du rouge à lèvre.

Nous souriions tous en contemplant notre création, baptisée pour l'occasion Francesca.

Je dois y aller, je continuerai plus tard...

Sunday, October 31, 2004

Je tiens à justifier mon lapsus en disant qu'il vient d'un lapsus de Tweety elle-même... qui a dit à Matinée qu'elle se tenait avec deux groupes de six : c'est alors Matinée qui a dû rappeler à Tweety qu'on était seulement cinq...
(tu vois ? je suis au courant de tes moindres faits et gestes)

Ensuite de ça : comment ça, on peut pas avoir les photos ? Tu peux transférer les photos sur ton ordi avant de le faire réparer, non ? (en fait, c'est même mieux) Puis qu'est-ce qui te force à laisser ta carte mémoire dans le kodak avant de le faire réparer ?
En tk, je tiens simplement à te dire que si pour une raison quelconque, je n'ai jamais accès aux photos de mon chum déguisé en fille, je ne te parle plus jamais !
(Tu ne savais pas que notre amitié tenait à des photos d'Halloween, n'est-ce pas ? Tu vois bien que Hobbes avait raison...)