Saturday, April 14, 2007

I thought I should mention I've been awake since 6:30 this morning because Sambuca refused to let me sleep; Rob will be proud of me.
Hier après-midi, je reçois un coup de fil au bureau. C'est Peanut, qui brûle de me raconter qu'il s'est fait avertir, à sa nouvelle job, parce qu'il se logge sur MSN sur les heures de travail.

Non, c'est pas fort; ajoutez à ça que c'est justement pour cette raison qu'il s'était fait coupé l'accès à l'internet à son ancienne job. Qu'en conclure ?

Oui, Peanut est cave. Ça, on le savait, et on ne s'en étonne plus. Mais il y a pire :

Le mâle moderne n'évolue pas.
Il ne change pas, il n'apprend pas, il ne réfléchit même pas.

Ça mérite sans doute une certaine admiration, quand même. Mais bref.
Complètement soufflée de voir une nouvelle limite repoussée, je demande à Peanut la permission d'en faire état sur ce blog. Il me l'accorde, car il semble apprécier se faire bitcher sur la place publique.

Je ne l'ai pas fait immédiatement parce que je cherchais une façon de le faire sans être trop méchante, ce qui, vous me l'accorderez, n'est pas si facile.

Ainsi, dans la soirée, Peanut me rappelle, souhaitant, dit-il, m'annoncer quelque chose en lien avec cette histoire.

Peanut s'est acheté des bas hier après-midi.

J'ai pas vu le lien immédiatement, mais j'ai quand même été extrêmement étonnée : ça fait aujourd'hui, attendez, cinq ans que je connais Peanut, et JAMAIS, pendant cette période, il ne s'est acheté des bas.

Alors voilà.
Le mâle moderne évolue bel et bien, mais très len-te-ment.

Avant de lui demander de faire des choix intelligents sur les plans inter-personnel ou professionnel, laissons-le donc commencer par s'acheter des bas.
L'histoire d'un cours de danse OU Parce que je me fais toujours avoir


Vous vous souvenez sans doute - parce que ça devrait vous avoir jeté par terre - que je m'étais laissée convaincre de suivre un cours de danse hip-hop avec deux autres filles. L'une d'entre elle s'étant massacré le dos, c'est avec Maridi que je l'ai suivi.

Vous savez également, peut-être, que j'adore être sur scène. J'ignore moi-même pourquoi, mais c'est comme ça. Ainsi, au début, quand la prof de danse a évoqué le fameux spectacle de fin de session, j'étais plutôt d'accord avec Maridi, qui ne voulait pas y participer - mais quand la prof a commencé à parler de la scène, des coulisses, du maquillage, j'ai craqué. Je me suis souvenue de mes trips de la comédie, et je voulais en refaire un, version minimale.

Maridi a fini par se sacrifier et par accepter de faire le spectacle avec moi, à la seule condition qu'on fasse croire à tout le monde qu'il n'aurait pas lieu, finalement, de façon à ce que personne ne puisse décider d'y assister. Ce qui ne me faisait pas un pli : j'ai pas envie qu'on vienne me voir sur scène, j'ai juste envie d'être sur une scène.

Le spectacle est cet après-midi.

Maridi est tombée malade cette semaine, mais salement malade.

Eh oui, vous devinez la suite.
Je me ramasse toute seule pour le spectacle ! Yen a encore parmi vous qui ne croyez pas au destin ?

Bref.

Hier soir avait lieu la générale. Je dois avouer qu'au début, abandonnée par Maridi, assise dans la salle avec les autres filles de mon cours en regardant les autres groupes pratiquer, je me suis fait la réflexion que ça me tentait plus tant que ça, finalement. Que je voulais "ma" scène, celle du cégep, pas une scène nowhere perdue en Outaouais... surtout s'il fallait que je monte dessus pour danser !

Surtout qu'à la suite de plusieurs micmacs, je me suis ramassée tout à fait à l'avant-scène, entre la prof et son assistante ! Qui est-ce qui a intérêt à briller, vous croyez ?

Heureusement, la répétition s'est bien passée. Enfin, pour moi; j'en ai entendu une ou deux dire que ça allait vraiment pas bien pour elles, mais comme, je le répète, je suis tout à fait en avant, j'ai aucune idée de ce qui se passe dans mon dos...!

Dites-moi merde !

Friday, April 13, 2007

Not that I mind exactly, I'm just sorta confused; but I'm under the impression that I unintentionally started this - and did I?
Une autre fille a encore remarqué ce matin que mes bas matchaient avec ma ceinture. Encore une fois, c'était totalement inconscient de ma part.

Faudra que je me mette à porter une attention particulière à mes ceintures et à mes bas afin de m'assurer qu'ils ne matchent PLUS JAMAIS, à partir de maintenant...
Aujourd'hui, en plus de protester contre mon rhume au mois d'avril et la neige au mois d'avril, je protesterai contre la grippe de Maridi au mois d'avril.

Vous saurez pourquoi au cours de la fin de semaine.

Thursday, April 12, 2007

Aujourd'hui, en plus de protester contre mon rhume au mois d'avril, je protesterai contre la putain de neige au mois d'avril. Je sais qu'on en a chaque année, mais bon, ça m'énerve chaque année pareil.

Sinon, je crois avoir chopé une grippe d'homme, parce que laissez-moi vous dire que je suis maganée en sale...

Wednesday, April 11, 2007

Au fait.

J'ai appris très récemment que j'avais un surnom au cégep.

Je le publierai pas ici - j'ai quand même une certaine fierté ! - mais je vous dirai qu'il ne vient que confirmer un des fameux sujets récurrents de conversation que j'ai déjà énumérés.

C'en devient troublant.
J'ai moi aussi des lubies (vous ne vous vous en doutiez pas, n'est-ce pas ?); l'une d'elles a pris naissance au cours d'un de mes nombreux voyages au IKÉA avec Peanut. Pour une raison plutôt obscure, j'avais décidé qu'un jour, j'allais m'acheter un cactus au IKÉA et l'appeler Jack. Yavait sûrement un contexte, mais je ne m'en souviens plus du tout.

Je n'ai jamais réalisé ce petit rêve tout innocent - et là, je viens d'avoir un flash : je dois toujours m'acheter une plante à apporter au bureau pour relever le Défi vert de Coup de pouce. Qu'est-ce que c'est si c'est pas un signe que le moment est venu d'aller m'acheter un cactus ?

Je fais ça en fin de semaine, promis, juré !
Would anyone volunteer to bring me chicken soup tonight?
Damn it. I haven't caught a cold in over a year now, I was okay all winter long - figures I'd catch a cold in April. I also lack sleep today, so Quartz is grumpy. I cough, I have trouble breathing, my eyes feel dried-out and my neck is stiff.

Hmmmf.
Originalement, j'allais m'étonner du commentaire d'Isarockon où elle se dit incapable de se convaincre d'avoir des sentiments pour quelqu'un.

Mais finalement, c'est vrai que c'est peut-être pas si facile.

En tk, moi, ce matin, je me suis rappelé de quelqu'un, et d'à quel point ç'aurait donc été bien que j'aie éprouvé quelque chose pour lui.

Peut-être que je suis dans le champ. Peut-être qu'il faut quand même un semblant d'intérêt pour réussir à s'auto-conditionner. Je sais plus trop.

Faut dire que je commence un rhume et que j'ai à peine 4h30 de sommeil dans le corps, alors je suis plus certaine de grand chose aujourd'hui.
C'est sans doute la première fois de ma vie qu'une personne me dit par courriel que mes mèches me font bien.

Tuesday, April 10, 2007

Je viens de me rendre compte que j'ai plus d'un psy virtuel. Depuis un bon bout en fait, mais ça m'a pris du temps avant voir à quel point c'est une personne qui a toujours eu le tour de me remonter le moral, même sans le savoir, même à distance, même sans le vouloir.

Je mesure également à quel point je serais perdue sans le mâle moderne. Voulez-vous ben me dire comment ça se fait que chaque fois que je me suis ramassée par terre, ça a toujours été un gars qui a fini par me ramasser, peu importe le nombre d'amies de fille que je pouvais avoir à ce moment précis ? En fait, la plupart du temps, ya juste les gars qui essaient de vous ramasser. C'est franchement horrible.
Je me suis coupée en coupant des échalottes tantôt. Mais pas à peu près. Parce que je fais tout en quatrième vitesse ces temps-ci, en état d'urgence, en état de panique - en essayant pathétiquement de me sauver de moi-même.

Ça faisait depuis que j'ai lâché le dernier resto où j'ai travaillé que je m'étais pas coupée à ce point-là. Suffisamment pour que moi, la déesse, la machine, la fille qui peut tout faire sans l'aide de personne, je sente un début de panique en regardant la quantité de sang qui giclait.

Et ayoye que je viens donc de comprendre quelque chose sur moi-même en tapant ça. Ça m'est pas arrivé depuis le cégep, quand je passais mes cours à faire du freewrite... j'écrivais, j'écrivais, et tout d'un coup, de nulle part, surgissait une espèce de conclusion tellement logique et claire qui me frappait en pleine figure. C'est comme ça, entre autre, que j'ai fini par comprendre pourquoi j'étais incapable de manger quand je me sentais nulle et déprimée; eh bien, là, groupe, je viens de réaliser que mon complexe de la machine sans peur et sans reproche a vraiment d'énormes répercussions sur ma psychologie. Ayoye. Ayoye. Je suis vraiment troublée, là. Enfin.

J'avais autre chose à dire pour enchaîner, mais c'est l'heure de quitter pour le badminton, alors plus tard. Peut-être.
Or tomorrow.

Damn it, damn it, damn it.
I've made mistakes and I've been longing for redemption, and I've been making the decision over and over again; I've been failing on every count, yet again, except that now I am very aware.

And I know all it takes is the decision and sticking with it; I know I can pull this off; and I know what it is I want and what it is I don't.

So I've been making mistakes and I'm paying for them tonight; and redemption is within myself and it begins right away.

Just back me on up boys
Back me on up
I know when I'm down but I don't know what's up
So back me on up boys
And by the time this is over I'll see the sun
C'mon
When it's around and
I know the town and
I think I know every way out
And I think I know where I get to
I'm giving myself up to you now
Some kind of faith
Just back me on, back me on
Back me on up boys
Back me on up
They say I don't know when things are rough
But I know what's down
'Cuz I live there, you know
And I think it's pretty
'Cuz I see the soul of backin’ on up girls
Back me on up
I like it on earth
I like it in the dirt
Oh and my feet get my heels pretty
I know that it snows like roses
Back me on up boys, back me on up
I gotta face some kind of evil tomorrow
I need to know that you're gonna be there
And you know my faith is in your hands now
Just back me on up, just back me on up
Back me on up

Monday, April 09, 2007

Once in a while, images pop back up in my mind and under the light shed by the latest developments, I see them from a different perspective - and now I know you weren't peeking in because I was hurting you; you were peeking in because you were sick.

It is because you were sick that my actions hurt you; and I was hurting you because you were hurting all three of us: me, yourself and the two of you.

Sometimes it feels like I was the sane one and lord knows that's just wrong - that's just not how it goes, and if you force me to be the sane one, I always end up smashed up against a wall.
Okay, so I can't wait until Tweety and I get our hands on the stuff in NYC before I talk about it.

So there: this would certainly make for the best dinner party ever.

Whaddaya think?
Puisque j'en suis à faire état de ma psychologie, pendant qu'il m'en reste, je vais écrire un truc que j'ai l'intention d'écrire depuis plusieurs mois maintenant, fruit d'une longue conversation avec Peanut. (Parce que bon, on commence à être moins pires, mais dans les premiers mois suivant mon déménagement, c'était vraiment dangereux pour moi et Peanut de nous asseoir à une table avec de la bouffe (avec ou sans alcool) : ça finissait immanquablement en réflexions profondes et psychologiques.)

Si ya un truc qui m'a frappée de plein fouet en 2006, c'est bien la peur des gens d'être seul et leur facilité à se convaincre qu'ils aiment quelqu'un.
Du genre :
Je reste avec toi parce que je n'ai pas le choix.
Tu t'intéresses à moi et tu as de l'allure alors je suis en amour avec toi.
En d'autres mots, les gens choisissent une sécurité qui ne les satisfait plus par peur de recommencer à zéro, et s'ils perdent cette sécurité, ils se mettent à "éprouver des sentiments" pour tout être du sexe opposé, à s'essayer sur tout ce qui bouge (personne du sexe opposé en couple, personne du même sexe juste assez soûle pour pas trop réagir, etc.) - et ils se croient.

Et je vous avouerai très honnêtement que cette observation et le dégoût qu'elle m'inspire ne sont pas étrangers à mon sentiment que je préférerais être seule pour le restant de mes jours plutôt que de même donner l'impression que je m'intéresse à quelqu'un uniquement parce que j'ai réussi à m'en convaincre.

(Non mais je vais-tu en avoir fait, du chialage, juste en fin de semaine, moi ????)
Ma vie personnelle sera sans doute toujours un fouillis sans nom, et mon état psychologique, à jamais un modèle d'instabilité; cependant, je sais que je pourrai toujours me raccrocher à ma vie professionnelle. Ça, je l'ai déjà mentionné.

Cet après-midi, en revenant (enfin) chez moi, j'ai compris qu'il existe un autre truc dans ma vie où les choses vont toujours bien, soit les épisodes qui impliquent un besoin de m'orienter, derrière le volant ou non.

C'est niaiseux, hein ?

Mais je suis du genre à partir au petit bonheur la chance pour le centre-ville de Winnipeg, à pied, parce qu'il me faut une batterie de cellulaire, et de me rendre directement chez le détaillant Rogers, par pure luck.
Je suis du genre à profiter d'un délai d'une demi-heure pour aller me promener au hasard dans les rues d'un coin de Montréal que je connais pas du tout à la recherche d'un Tim Horton's - et d'en trouver un.
Je suis du genre à aller errer sans carte dans les rues sinueuses de Madrid sans m'inquiéter du fait que je pourrais très bien ne plus arriver à retrouver l'hôtel le moment venu de faire le check-in.

Oui, je suis très consciente que je me pose vraiment pas assez de questions, dans la vie.

Et je suis du genre à prendre la mauvaise sortie à Ottawa (ça fait deux fois que je fais une erreur en revenant de chez mes parents, je sais pas ce que j'ai), à tourner à droite parce que le nom de rue sonne bien, et à me ramasser sur un chemin que j'ai emprunté une des deux seules et uniques fois que j'ai pris mon auto pour aller en quelque part à Ottawa, ce qui fait que j'ai même pas le temps de paniquer brièvement en me demandant où je peux bien être rendue avant de me retrouver et de savoir où me diriger.

Quand même. On s'accroche aux certitudes qu'on peut, dans la vie, non ?
Quelles sont vos certitudes, vous ?
Venant de réaliser qu'entre le déconnage, le coup de fil d'une cliente, un courriel à transférer à une collègue et un texte à livrer au plus vite, j'ai complètement oublié d'activer mon "Out-of-office Assistant" pour mes courriels, au bureau, et ainsi que personne (la conseillère, mon encadreure) mis à part ma gestionnaire, ne sait que j'ai appris en peur jeudi après-midi que je ne serai pas à mon bureau demain, j'en profite pour vous l'apprendre ici, au cas où quelqu'un parmi vous tenterait de m'y rejoindre (salut, Peanut !).

C'est là que je réalise que la fonction "communication" de mon blog s'est significativement réduite depuis les années de cégep. Faudra que j'écrive à R personnellement pour l'avertir de mon absence...
Quartz will live on the street before she moves back within a 5-mile radius from her parents' BECAUSE she can't stand:


1. the fact that my mother is constantly following Sambuca around and reporting each and every one of her actions back to me: "She's eating Mia's food!" "She's lying on your bed!" Can you guys just imagine how bad she will be if I ever have a baby she can constantly be watching like this? Please shoot me.
When I said I was going to bring Sambuca over with me for the weekend, Mom had a rather cold reaction, along the lines of: "oh, if you want to, no problem." She's now having so much fun, after I said I had already asked A to keep an eye on Sambuca during my trip to New York City, she said she'd have taken on the catsitter role without a problem.
Did I mention she's gonna be plain scary when I have a baby?

2. my father and his I'm-the-king-of-the-world attitude. He was always like this, but he's getting worse as he's growing older. Now it seems everyone in the world is out to get him and nobody but him is getting screwed over.

3. the closed-mindedness of some people around here. This one is confusing, even to myself - I mean, the Québec-Ontario jokes I hear on a regular basis now don't get to me at all. However, I just hate those Al-Qaida jokes they make about my uncle's girlfriend's (no, that doesn't make her my aunt, not just yet) son, who's currently living in Algier with his father. And I go nuts whenever I hear those who went South for New Year's bitch that the food was horrible and that they just stuffed themselves whenever they found something that wasn't too bad because they never knew whether or not the next meal was gonna be edible. Why does that attitude irritate me so much? I have no clue, but it does nevertheless.

I've really got to find a way to come at peace with this place. Right now, my father is supposed to re-paint my room and I'm hoping that when that's done and I can re-decorate it, at least this room will be some sort of oasis - but I'm doubtful.

Sunday, April 08, 2007

Un chat, c'est comme un enfant parce que...
... ça vous coule un regard en coin avant de faire un truc interdit afin de vérifier que vous ne le voyez pas.
... ça comprend uniquement son nom et les expressions "non", "viens ici" et "à terre".
... une fois que c'est réveillé, ça s'emploie de son mieux à vous réveiller.

Un chat, c'est comme un chum parce que...
... ça se couche en même temps que vous.
... ça se colle sur vous en plein sommeil.
... une fois que c'est réveillé, ça s'emploie de son mieux à vous réveiller.
Putain que ya du monde qui ont le don de me faire enrager à chaque coup !

Je me suis levée à 8h30 ce matin : mon père était déjà sur l'internet. Il y a passé pratiquement l'avant-midi au complet, négligeant tellement le fait que ma mère attendait qu'il libère la ligne (seul l'internet dial-up se rend chez mes parents) pour appeler sa mère qui est à l'hôpital, histoire de lui parler quelques minutes et de lui souhaiter joyeuses Pâques que quand il a fini par lâcher l'internet, mais pas l'ordinateur, il n'a même pas averti ma mère !

Il s'y est remis au bout d'une demi-heure avant de sauter sa coche parce qu'il était incapable d'uploader des photos sur un site où il veut mettre une voiture à vendre. Le résultat, c'est quoi ? D'abord, que moi j'ai lu un livre et demi seulement ce matin parce que ya rien de mieux à faire et que là, je suis en train d'uploader les foutues photos moi-même.

Je vous rappelle qu'il s'agit de l'homme qui saute sa coche à la simple idée d'acheter un nouveau modem 56K (celui-ci a sept ans !) et qui décrète, avec toute la mauvaise foi possible, qu'il se passera d'internet quand le modem ne fonctionnera plus - peu importe si ma mère, elle, ça lui plaît bien, d'utiliser internet.

Non mais ! C'est quoi cet égocentrisme de merde-là ! Est-ce qu'il y a une seule personne sur la terre qui ne croit pas que la planète tourne autour de son nombril ?