Saturday, March 17, 2007

Des bouts de miroirs dans les veines
Dans le ventre, une poupée de laine
Un bain glacé pour geler la peine
Une lame, quelques larmes
Une bouffée de chaleur
Rouge sur blanc, enfin du sang
Noir sur tous les revers de mon coeur
À chaque battement
C'est la dernière fois que je me fais du mal comme ça
C'est la dernière fois que je me fais ça à moi
Les poignets pansés
Je tape sur mon clavier
Je continue mon journal
Je mets des mots sur mon mal
Tuer la nuit à petit feu
Encore des fantômes dans les yeux
L'aube est toujours aussi bleue
Ma vie n'est qu'un cercle vicieux
C'est la dernière fois que je me fais du mal comme ça
C'est la dernière fois que je me fais ça à moi
Des bouts de miroir dans mes veines
Une poupée de laine
Un bain glacé
Une arme pour l'âme
C'est la dernière fois, c'est la dernière fois
Que je me fais ça
À moi, à moi


La première fois que j'ai entendu cette chanson-là, elle m'a vraiment frappée. Évidemment, car elle est frappante. En plus de ça, vous me connaissez : plus c'est dark, plus c'est déprimant, plus j'aime ça; je suis accro au noir, au rof, au fucké, à tout ce qui ressemble à de l'auto-destruction; ya des fois où je m'ennuie carrément de mon petit monde noir à moi.

Ariane Moffatt a aussi écrit une chanson qui dit Mon âme est enfin guérie de tout le mal que je lui ai transmis par amour que j'aime beaucoup également. C'est un peu trop optimiste pour moi, par contre : je juge le mot "guérie" un peu trop fort.

Par contre, la ligne clé c'est la dernière fois que je me fais du mal comme ça; c'est la dernière fois que je me fais ça à moi, j'aime beaucoup.
La première fois que j'ai entendu la chanson, je lui donnais son sens négatif, mais récemment, je me suis rendu compte que toute la chanson peut être prise de façon totalement opposée, et que je lui attribue souvent, maintenant, une notion d'espoir.

C'est comme la chanson Retourne chez elle que je chantais auparavant sur un ton triste, comme la chante Ariane Moffatt.
Cependant, il y a quelques semaines, j'ai réalisé qu'à un certain point, je me suis mise à l'interpréter de façon vraiment agressive...
Quand j'ai déménagé, j'ai choisi de m'acheter une grande table de cuisine pour 6 à 10 personnes parce que les soupers entre amis, ça faisait trop partie de ma culture intrinsèque. Puis je me suis rendue compte que je n'avais plus d'amis et j'ai envisagé de me contenter d'une petite table ordinaire à quatre places - sauf que j'avais déjà dit à mes parents que je voulais au moins une table pour 6 et j'avais pas envie de leur expliquer que j'avais compris que tout le monde se crissait bien de moi et que j'avais résolu de me crisser d'eux également ! Je me suis donc procuré une table assez imposante pour que mon proprio me demande si j'avais l'intention de me partir un restaurant chez moi.

Aujourd'hui avait lieu une petite raclette-déjeuner chez moi, une idée qu'avait soulevée S il y a déjà plusieurs semaines. Ça avait lieu chez moi parce qu'on avait établi que c'était moi qui avait le four à raclette. Nous étions six, ce qui me semblait parfait; et finalement, j'ai dû mettre les deux rallonges de ma table afinde la transformer en table pour 10 pour avoir de la place pour tout le monde et toute la bouffe ! C'était vraiment incroyable ! Je riais toute seule dans ma cuisine en mettant la table, imaginant ce que ça serait de se passer les plats.

J'ai été amusée par l'universalité des comportements typiques masculins et féminins : je me souviens clairement que quand je recevais feue la bande des cinq chez moi, les gars s'installaient immanquablement devant un jeu de société ou un jeu vidéo, et que les filles me demandaient si elles pouvaient m'aider. Eh bien cet avant-midi, les filles nous sommes occupées de préparer la nourriture pendant que les gars étaient assis à la table à discuter. J'ai trouvé ça très comique ! Je dois par contre souligner que ce sont les gars qui ont pris l'initiative de faire la vaisselle ensuite, pendant que nous chantions à tue-tête avec un semblant d'accompagnement au piano.

Ce qui m'amène à dire que je n'avais jamais reçu dans un appartement où on trouve un chat et un piano; laissez-moi vous dire qu'il s'agit de deux éléments de divertissement intense. Je pense particulièrement à V qui doit tomber de sommeil déjà tellement il a joué avec Sambuca - laquelle, du reste, dort présentement sur mes genoux.

Je clorerai le sujet en vous demandant : que puis-je faire avec les trois tonnes de croûtons de pain qu'il me reste ? Pour l'instant, la seule idée qui me vienne, c'est de me faire un giga souper de petits croûtons au saumon, au goberge et au légumes.... gratinés sans doute parce que j'ai également hérité de pas mal de fromage.

Friday, March 16, 2007

Cet après-midi, Mel est entrée dans mon bureau pour m'annoncer que elle et S avaient décidé que je devais aller au Banquier, à la télé; et que si je m'inscrivais, elles se proposaient d'être mes supporters...
Réalisation soudaine : on est à la mi-mars, les McFlurry aux oeufs Cadbury doivent être sortis.

Faut définitivement je mette la main sur un d'ici la semaine prochaine !

Thursday, March 15, 2007

Parce que oh oui, je tiens mes promesses : Maridi, toutes les occurences de ton nom de blog sont maintenant corrigées !!!
Protestation numéro 3 : la maudite toune de Marie-Mai que j'ai dans la tête depuis deux jours.

Sinon, Tweety, finalement, je me suis rendu compte hier que la première semaine de mai, c'est plutôt bientôt. Il faudrait quasiment qu'on confirme les dates du voyage rapidement parce qu'on va devoir réserver les billets des comédies musicales un bon mois à l'avance - sans oublier l'auberge, mais c'est moins urgent (du moins je crois). J'ai l'intention de plancher sur les attractions en fin de semaine, faudra se parler bientôt pour s'entendre là-dessus. VOYAGE ! VOYAGE !
Aujourd'hui, deux protestations principales interdépendantes :

1. Les Arabes qui vous appellent d'un numéro "masqué" ou d'un numéro qui sert d'intermédiaire pour les appels interurbains. (La bonne nouvelle, c'est qu'il a téléphoné à 7h ce matin, j'étais presque fière de lui. Ce qui ne change pas que j'ai passé la nuit à me réveiller; probablement que mon système est déjà habitué à répondre au tel à 3h du matin) Ça veut dire quoi ? Qu'en bloquant le numéro, je bloquerai toute personne qui essaie de m'appeler de l'étranger ou par VoIP - ainsi que toute une batch de telemarketers. Ce n'est pas plus grave, je ne reçois pas d'appels de l'étranger, et si un jour j'ai à en recevoir, eh bien, vous aurez qu'à payer le longue distance, groupe, parce que ma priorité actuelle est mon propre bonheur et non ma relation avec vous !

2. Bell Canada qui, au moment d'implanter son foutu système de service à la clientèle qui fonctionne uniquement par reconnaissance de la voix, n'a pas pensé à MOI, travailleuse de cubicule qui n'ai absolument pas l'intention de parler à une machine alors que tous ses voisins peuvent l'entendre, et qui devrai, par conséquent, téléphoner en revenant du bureau. Peut-être pas ce soir par contre, puisque je vais d'abord vérifier si c'est toujours le même numéro masqué qui est utilisé. J'ai pas envie d'en bloquer un différent à chaque jour et de passer ma vie sur le système de reconnaissance de vocale détestable de Bell...

Wednesday, March 14, 2007

So Annoying Arab dude called again last night. The first time he didn't say a word so I hung up on him, the second time I let the answering machine pick up, and the third time, I took the call and proceeded to repeatedly ask the guy if he understood English while he kept mumbling something to me in a language I'm not sure I can identify.

Anyways, when he asked me again where was Abder, I took DraG's advice and let out an exasperated "He's dead!"

I wasn't expecting much from it, but I swear to you guys, the dude hung up and stopped calling. Either he believed me or he acknowledged how crazy I am.

The thing you should remember from now on is DraG apparently has a thorough expertise of crazy Arab idiots, so next time you have problems with them, turn to him.

Tuesday, March 13, 2007

How could I have ever saved you
The only thing I'd ever done was care
How could I have ever blamed you
You never promised that you would always be there


J'avais cette chanson-là sur mon lecteur mp3 quand j'allais gym cet été, et immanquablement, quand je l'entendais, je me lançais dans de profondes réflexions intérieures.

J'aurais aimé que ces paroles-là s'appliquent à ma vie, mais veut, veut pas, ce n'est pas le cas : toutes les personnes qui m'ont trahie m'avait expressément promis de me rendre heureuse.

Et je me disais : si au moins elles ne m'avaient pas fait croire qu'elles tenaient à moi, au moins que je n'aurais que moi à blâmer d'avoir tenu pour acquis que c'était le cas, au lieu de me blâmer d'avoir des attentes apparemment beaucoup trop élevées envers les gens.

Sauf que finalement, non, j'étais dans le champ de me dire ça.

Si je reprends l'exemple de l'incapacité à extrapoler du mâle moderne qui fait en sorte qu'il négligera de nettoyer le congélateur si vous lui demander de nettoyer le frigidaire - personnellement, j'ai toujours pris ça en riant et en lui accordant que non, après tout, je n'avais pas spécifié de laver le congélateur. J'ai donc jamais pogné les nerfs pour des trucs du genre - de toute manière, c'était pas vraiment grave et ça m'offrait du matériel pour mes chroniques sur le mâle moderne ici.

Sauf que d'accord, je n'avais peut-être pas précisé que le congélateur faisait partie du frigidaire, mais j'étais tout de même raisonnablement en droit de m'attendre à ce que ça soit compris.

Suivant la même logique, c'est sans doute plus hypocrite de dire à quelqu'un que vous tenez à lui alors que c'est pas vrai, que la seule personne au monde qui vous importe, c'est vous; mais c'est pas parce que vous ne lui dites pas que vous tenez à lui que vous êtes justifié de lui planter un couteau dans le dos en bout de ligne.

Donc, en gros : fuck you.
Vous avez peut-être eu vos raisons qui vous permettent de vous regarder dans le miroir, mais ça change pas qu'à travers tout ça, la fille qui faisait votre budget, qui refusait de s'asseoir à côté de votre chum quand on écoutait des films, qui passait des heures au téléphone avec vous parce que le gars que vous aviez planté là avait une nouvelle blonde, qui retardait un souper de fête pour terminer de corriger vos travaux scolaires afin de vous éviter de couler deux fois le même cours, qui se taisait même si elle trouvait donc votre blonde fatiguante ou encore qui acceptait sans mot dire le fait que c'était toujours à elle de vous faire signe si elle voulait vous voir, c'était moi, et j'étais en droit de m'attendre à mieux, à beaucoup mieux de votre part.

Moi, c'est ça qui me fait de la peine.
La trahison en elle-même ne fait pas si mal, on s'en remet; perdre des gens, ce n'est pas si pire non plus puisque c'est sans aucun doute pas le genre de personne que je gagnerais à essayer de garder dans ma vie - ce qui fait mal, c'est de mesurer à quel point je ne valais donc rien pour des gens qui comptaient réellement pour moi.

Et en me promenant sur le site de mon amie qui souffre du syndrôme d'Asperger vers lequel j'ai fait un lien il y a quelques semaines, j'ai lu que ce genre de personne vous fait l'ami le plus loyal et fidèle du monde. Ça m'a laissé songeuse parce que j'amuse souvent à dire que, étant pourrie avec les social cues en général, j'ai ma propre petite spin-off personnelle de ce syndrôme...
Oh, j'aime ça : selon le site du ministère de la Justice du Québec, un contrat est une entente verbale ou écrite conclue entre deux parties, ce qui à mon humble avis comprend le prêt d'un dictionnaire.

Encore mieux, déposer une demande aux petites créances coûtent 65$, ce qui est moins que le prix de mon dictionnaire ! Donc c'est ridicule, mais c'est rentable, comme procédure - surtout que si on se rend là, je vais réclamer ces frais-là en plus.

Attendez, je commence à aimer ça, moi...
Je pense à ça : je dois bien avoir des recours juridiques contre la torche qui détient mon dictionnaire en otage depuis des mois ?

Je sais que c'est pas une solution rentable sur le plan économique, mais je m'en fiche complètement, je veux juste avoir mon dictionnaire pour pouvoir enfin clore le chapitre de ma vie qui comprend cette fille-là.

Je crois sérieusement que je vais lui envoyer une mise en demeure dans le courant du mois...
I already talked to you guys about the damn Arab dude who keeps calling my number, most often in the middle of the night, and only goes: hello? hello? hello? when I pick up, and who keeps hanging up and calling again because the words wrong number don't seem to get through to him.

I'm pretty sure he doesn't speak English at all, actually.

Anyways, it had been a while since he'd called, but he did two nights ago, and again last night when he seemed determined to get ahold of the Abder he's been looking for for probably six months now. So everytime I told him he had a wrong number, he hung up and called the same number again, probably thinking it would eventually transform into the one he was looking for. I told him many times to never fucking call this number again because it was the middle of the night and that it was about time he crossed that number from his address book. Only to have my phone ring again seconds after I hung up - which is why I'm thinking this dude doesn't understand a word of English. So if anyone knows how I can say "please shove your own head up your ass and leave me the fuck alone" in whatever language it is those Arab dudes speak, let me know, I'd appreciate it.

The worse is the only sentence I could get out of him (other than "hello?") was "Where is Abder?" at about the 5th phone call. Which is actually funny when you think of it because well, it seems that dude is convinced I'm hiding Abder under my sofa. Which I am not. And I vaccumed under my sofa last week and there was no Abder there.

Let the phone ring, you'll tell me. Don't pick up. Well I tried that. The answering machine doesn't seem to be a good hint either: Stupid Dude kept hanging up and calling again.

Well, eventually, he stopped, I guess. But still.
I'm really gonna have to get his number and call the phone company to complain.
I just don't understand how it is possible for a person to be that mentally-challenged.

Anyways. Pity me. Sponsor me. I'm short, I'm skinny, I live on the other side of the planet, I've got a stupid bitch who's refusing to give me back a 85-dollar-worth dictionary and people accuse me of kidnapping Arabs in the middle of the night.

Monday, March 12, 2007

Je me peux tellement plus qu'en m'énerguménant toute seule dans mon cubicule pour faire sortir le surplus d'énergie, j'ai réussi à me péter le gros orteil sur une patte de table...
Ouin, je me peux tellement plus que j'arrive plus à me concentrer sur mon travail !
Le voyage à New York City se concrétise tranquillement : on a maintenant des dates provisoires !

Ce qui veut dire quoi, s'il-vous-plaît ?
Que je peux me plonger dans les horaires d'autobus, les horaires de comédies musicales et dans mon petit guide Voir dès ce soir !

Je me peux plus ! Je me peux plus !
En revenant chez moi hier après-midi, j'ai fait un truc que je n'avais jamais fait moi-même : j'ai posé des cadres. Oui-oui, avec des clous et un marteau ! Voyez comme je suis autonome. Un de ces deux cadres est en fait mon diplôme de septième année de piano, que j'avais obtenu, après avoir planché comme une malade, avec grande distinction... C'est de valeur que j'aie jamais terminé ma huitième année. Mais bon. Si je tiens à péter de la broue, j'afficherai mon relevé de notes.

J'ai également affiché les deux posters de la comédie du cégep; il me faudra acheter un cadre pour mettre mon gros plan de Quartz-dans-une-colonne entre les deux.

Sinon, après comparaison avec mon DEC, j'ai trouvé que mon petit certificat 8,5 par 11 que j'ai eu de la part de l'université en novembre est pas mal cheap, d'abord, et puis ensuite beaucoup trop petit pour être ajouté au supra-cadre dans lequel se trouve actuellement mon DEC, si bien que j'ai le choix entre afficher mon DEC ou afficher mon bac dans un cadre beaucoup trop grand. (Mais sérieusement, est-ce que je suis sensée obtenir un truc plus imposant de la part du ministère de l'éducation ?)

Donc voilà, après la pose de fans de plafond et l'assemblage de meubles IKÉA, ma quête de l'indépendance se poursuit avec l'installation de cadres. C'est moins impressionnant, mais tout aussi satisfaisant.

Sunday, March 11, 2007

La psychologie de Quartz ou le complexe d'Oedipe démenti


J'ai pas le meilleur caractère du monde, j'en conviens, mais je ne suis tout de même pas complètement folle et je ne suis pas du genre à sauter régulièrement une coche pour la moindre peccadille.

Sauf pour certains détails complètement sans importance qui me rendent folle, mais alors là sérieusement folle sans que je puisse rien y faire : il s'agit de trucs que mon père fait/faisait. De sa part, ces trucs-là me tombaient déjà gravement sur les nerfs; de la part de n'importe quel autre mâle moderne, ces trucs-là me font littéralement enrager. Et je n'exagère pas. J'en suis consciente alors je fais de mon mieux pour me maîtriser, mais c'est vraiment très difficile ! Et vous allez voir, c'est pour des trucs absolument sans conséquence.

D'abord, je ne supporte pas que quelqu'un baîlle fort. Vous savez, ceux qui hurlent en baîllant ? Pas capable. Pas capable. Mon père fait toujours ça et ESTI que ça m'énerve. Chaque fois que Peanut le faisait, il avait droit à un regard noir.

Sinon, mon père avait l'habitude de me piquer mes biscuits. Vous voyez, disons que j'allais me chercher deux biscuits parce que je voulais deux biscuits; pas un, deux ! eh bien immanquablement, une fois que j'étais rassise avec mes biscuits, mon père passait à côté de moi et m'en piquait un. Ça me faisait piquer une crise, et aujourd'hui, je ne supporte juste pas qu'on me pique ma bouffe une fois que je me suis donnée la peine de la préparer à mon goût ou une fois que je suis revenue du garde-manger et que je me suis installée et que je suis prête à la manger. Ce truc-là, c'est DraG qui m'a fait le coup par deux fois : d'abord en me piquant un biscuit (je l'ai envoyé m'en chercher un autre en punition) et puis en me piquant la moitié d'une tranche de pain après que je me sois donné la peine de la beurrer ! Ça m'a pris tout mon petit change pour ne pas sauter de coche lors de ces deux épisodes parce que je savais que c'était insensé, mais je n'ai quand même pas réussi à faire croire que j'avais trouvé ça drôle....

Donc voilà, ce sont deux petits détails ridicules qui me font vraiment sauter ma coche sans raison valable. Vous êtes avertis.

En fait, il serait sans doute intéressant de voir si je réagis autant hors de proportions quand une fille pose les mêmes gestes. C'est jamais arrivé encore. Peut-être que les filles ont plus de classe que ça, en général....
J'ai oublié d'en parler la semaine dernière : quand je suis allée prendre un café avec Mel et Maridi dans un resto-bar où je n'avais jamais mis les pieds, j'ai adopté l'endroit instantanément parce qu'en entrant, j'ai entendu du Tori Amos à la radio.

Moi, ça m'a impressionnée, il fallait donc que j'en parle.
Bon, je me suis dit que je devrais peut-êre me faire un peu plus encourageante pour ceux d'entre vous qui aurez bien un jour à subir un examen de la rétine sous dilatation : ça ne fait pas mal du tout, c'est juste hautement désagréable, c'est tout. Et la dilatation de vos pupilles peut mettre un bon huit heures à disparaître. Mais ça vous donnera tout de même la chance de voir l'intérieur de votre propre oeil grâce au phénomène de la réflexion.... n'avez-vous pas toujours rêvé de voir toutes ces petites veines ?

Okay, moi, j'ai pas aimé, mais c'est juste moi...