Saturday, June 09, 2007

Il semble de plus en plus évident que soit j'ai des prémonitions, soit c'est moi qui décide du déroulement de toute chose dans l'univers.

Comment expliquer autrement le fait que Mel ait momentanément manqué d'électricité hier soir, trois secondes après que je lui aie dit qu'il ne manquerait plus que ça ?

Par conséquent, je vais me concentrer très fort dès aujourd'hui pour que les prévisions météo de la semaine, soit températures élevées et soleil, se réalisent. Vous pourrez me remercier plus tard; j'accepte les chèques et le chocolat.

Sinon, mes plans de la journée comprennent une piscine creusée, des drinks, un pique-nique et une sortie en ville; mes plans immédiats comprennent une marche jusqu'à l'épicerie et au dep (c'est pas vrai que je vais encore me faire surprendre par un orage sans Smirnoff !).

J'ai hâte de voir si je vais encore me faire dire que je me balade toute nue.

Bonne journée !

Friday, June 08, 2007

1. I was very much taken aback tonight when Rob IM'ed me my former address. This is what happens when you have a geeky friend who fascinates your roomate and logs his IM conversations.
Although I probably still have your former address as well. You're gonna have to e-mail me the new one if you want a postcard from Tunisia!

2. C'est plutôt déstabilisant de voir à la fois une alerte d'orages violents et une veille de tornades pour votre ville.
Merde, l'orage vient de commencer.

La Smirnoff sera peut-être pas pour ce soir, alors. Les Wildcat viennent de se voir accorder un sursis...
Ce soir marque une première : c'est genre la première fois que je refuse une invitation en terre gatinoise. J'ai laissé tomber Mel qui me suppliait de les accompagner, elle et deux copines qui vont danser ce soir, afin qu'on puisse garder les sacoches ensemble. Faut dire que je reviens de faire du jogging et que j'ai pas du tout envie de me forcer pour prendre une douche et me rendre présentable pour sortir. Puis il risque de tomber un déluge ce soir. De toute manière, nous avons convenu de toujours sortir ensemble à l'avenir.

Ce soir marque la fin des Wildcat qui traînent dans mon frigo depuis exactement 6 mois. En effet, dès que j'aurai fini de faire geler mon genou, j'ai l'intention d'aller m'acheter de la Smirnoff au dep, et elles vont prendre la place des foutues bouteilles de Wildcat.

Je vous laisse là-dessus pour effectuer le lancement de ma petite soirée tranquille remplie de Smirnoff, de tenue de jogging et d'Ice Age 2.
Bon, une dernière note sur l'EUF.

D'abord, à mon souvenir, il n'y avait pas de limite quant aux points qu'on pouvait perdre pour les fautes d'orthographes dans mes cours de français du cégep... C'est clair que c'est un non-sens dans les établissements où c'est ainsi. Dans les autres cours, par contre, peut-être qu'il y en avait une. Je pourrais pas en jurer parce que bon, j'ai jamais eu de problèmes sur le plan de l'orthographe, si bien que la plupart du temps, je ne relisais pas mes dissertations, et je ne traînais même pas de dictionnaire avec moi - par conséquent, j'ai jamais porté une attention particulière à ce détail.

Donc oui, je suppose que je suis plus sévère envers les gens qui ont bien de la difficulté à écrire sans faire de fautes parce que je n'ai jamais eu ce problème et parce que je passe mes journées à fignoler des documents qui doivent être impeccables et à lire des documents souvent particulièrement mal rédigés.

Cependant, je peux parfaitement concevoir qu'il doit être très frustrant de ne pas pouvoir obtenir son DEC parce qu'on n'arrive pas à passer l'EUF; mais c'est sans aucun doute le cas d'une minorité d'étudiants, si le taux de réussite est de 85%... Et je crois sincèrement qu'en mettant juste un peu plus de temps à se relire, à chercher dans le dictionnaire et dans le Besherelle, ces étudiants-là peuvent y arriver.

En conclusion (!), je ne prétends pas être objective, mais je ne crois pas que le relâchement des critères, peu importe le domaine, est une solution à quelque problème que ce soit...
Quand j'habitais Montréal, ça m'écoeurait profondément d'entendre critiquer l'usage que font les Québécois du français. J'étais tannée de me faire dire qu'on parlait mal, qu'on appauvrissait la langue, bla, bla, bla...

Évidemment, quand vous ne connaissez que Montréal, Montréal et son complexe de supériorité, vous avez l'impression que Montréal, c'est le Québec au complet et que quand on attaque les Québécois, on attaque Montréal.

C'est peut-être le cas, mais laissez-moi vous dire que les Montréalais parlent très bien le français.
Okay, ils parlent joual; okay, ils utilisent des anglicismes; okay, ils pitchent des mots anglais dans leurs conversations de tous les jours.

Mais JAMAIS vous n'entendrez à Montréal le genre de phrases calquées qui fait légion en Outaouais; jamais à Montréal un petit monsieur vous arrêtera dans la rue pour vous demander : Scuse, l'autobus que t'étais dessus, est-ce que c'était le tel-numéro ?

Par conséquent, le français à critiquer ou critiqué n'est pas nécessairement celui de Montréal; mais il y a peut-être réellement un besoin de critique en quelque part. Quoique ça change absolument rien.

(J'ai dit Montréal par souci de simplicité, mais je suis pas mal certaine que mon post s'applique à toutes les régions du Québec qui ne sont pas collées sur l'Ontario. Juste pour clarifier.)

Là-dessus, je crois que je vais répondre au dernier commentaire de Virtualogik quand j'aurai un moment, mais après ça, je vous promets d'arrêter de chialer pendant un petit bout.

Thursday, June 07, 2007

J'aurais plusieurs trucs à écrire/faire, mais j'ai pas le temps ce soir.

Je me permettrai tout de même une réflexion :

My GOD, groupe, mon blog a un pimp ! ;)
If any of you has motivation and/or concentration for sale, please contact the author of this blog via comments, guestbook or e-mail.
Isarockon a écrit un post sur les amies nombrilistes. Celles qui exigent une amitié à sens unique : qui ne donnent rien mais qui exigent tout de vous, sans que ça soit jamais assez.

Les amitiés inégales, ça me connaît. Témoin les fausses amies que je me suis découvert dans les derniers mois. Témoin certaines amitiés irrémédiablement downgradées que j'entretiens toujours.

Pourquoi je me donne cette peine, me demandrez-vous ?

Je ne sais pas. Peut-être parce que je tiens tellement à mes amis que je ne demande pas plus qu'un geste, un seul effort, juste une petite simili-preuve qu'on veut être mon ami, pour me dire : bon, okay, ça va aller.

Ya des gens à qui j'aurais cru que je ne parlerais plus aujourd'hui avec qui je suis encore en contact, uniquement parce qu'ils ont pris la peine de faire un petit geste pour me signifier qu'ils voulaient que je fasse partie de leur vie, en bout de ligne, malgré tout.

Vous voyez, à la réflexion, même les fausses amies qui m'ont prise pour une valise dans la dernière année, je crois bien qu'il aurait suffit qu'elles viennent me voir pour me dire qu'elles regrettaient pour que je sois prête à leur donner une chance.

Je sais que les gens ne changent pas, malgré toutes les meilleures intentions du monde. Je sais qu'après avoir fait un effort, les gens reviennent à leurs habitudes. Je sais qu'une amitié à sens unique le demeurera toujours.

On le sait tous. Et on ouvre la porte, pour laisser sortir les gens qui le désirent. Mais on dirait qu'on ne sait jamais quoi faire avec ceux qui restent.
Quote du jour, parce qu'un lecteur de nouvelles qui arrive à me faire piquer un fou rire alors que je suis encore couchée dans mon lit, les yeux fermés, mérite une certaine reconnaissance :

L'argent que doit rembourser le publiciste Jean Lafleur aurait disparu - magie !
Virtualogik : La longueur des commentaires est libre, ne t'inquiète pas ! ;)

Je vous avertis que mes posts d'aujourd'hui risquent de sonner drôle. Bizarrement, depuis que je me suis levée ce matin, mon cerveau est en mode anglais. Ça fait au moins trois fois qu'il me construit une phrase avec l'expression "faire du sens", que j'ai jamais utilisée de ma vie. L'assimilation s'en vient grave. Sauvez-moi !
Bref, je vais faire de mon mieux.

En ce qui concerne la nécessité de tenir compte des fautes d'orthographes dans l'EUF, je suis intraitable. Un examen de langue qui ne tient compte que des idées, ce n'est pas un examen de langue; c'est plutôt un prétexte complètement ridicule à donner un examen supplémentaire aux étudiants. D'accord, l'EUF vise à tester la capacité des étudiants à organiser leurs idées, mais négliger la qualité de la langue pour organiser ses idées, c'est tout à fait counter-productive. (Je vous l'avais dit !)

However, the point we're debating now, it seems - la pertinence de l'EUF.
Je te dirais : tant qu'à ignorer les fautes d'orthographes, éliminez l'EUF complètement. Ça sera plus logique comme ça.

Je croyais que j'étais d'accord avec toi sur le fait que cette exigence prive la société de professionnels compétents dans leur domaine - mais wô. Le taux de réussite est de 85%. Ce qui est extraordinaire. Si 85% réussit ce test et pas vous, c'est vous qui avez le problème. Un très grave problème.

J'ai un ami (qui se reconnaîtra, que plusieurs reconnaîtront, mais que je ne nommerai pas parce que j'ai des accès de gentillesse impromptus) qui a obtenu un diplôme professionnel. Il n'est donc pas allé au cégep. Il n'a donc pas eu à passer l'EUF. Il a donc arrêté de suivre des cours de français à l'âge de 16 ans. Ça s'adonne en plus que l'écriture n'est vraiment pas son fort; il est sans aucun doute la personne qui écrit le plus mal de ma connaissance, sur tous les plans : syntaxe, vocabulaire, grammaire, organisation des idées. Par conséquent, il a peut-être des choses à dire, mais c'est tellement désagréable de le lire qu'il perd tout son impact.

Non, son travail n'est pas axé sur la langue. Heureusement. Cependant, tout le monde a besoin d'écrire correctement à un moment ou à un autre. Je trouve pas ça normal qu'il doive se tourner vers la traductrice de service pour qu'elle lui corrige ses courriels professionnels ou son CV - des trucs que toute personne doit faire dans le cadre de son travail, qu'elle soit professeure ou radiologue.

Les études ne servent pas qu'à former les jeunes en vue de leur vie professionnelle : elles servent aussi à les rendre fonctionnels au sein de la société. Et faire 30 fautes dans un texte de 3 pages, c'est un handicap. Être incapable d'organiser ses idées (et on s'entend que si vous arrivez pas à le faire à l'écrit, vous allez faire dur à l'oral également), c'est un handicap également.

Bref - parce qu'il faudrait vraiment que je travaille maintenant ! - si l'existence de l'EUF peut éviter à la majorité des professionnels de faire corriger leur CV par leurs amis, moi, je suis pour.

Wednesday, June 06, 2007

Bon, au moins, la bonne nouvelle, c'est que ça me rend heureuse de me rendre chez la physio en vélo.

Je retourne bouder, là.
Ça fait maintenant un mois que je fais de la physio. Ma physio a semblé déçue quand je lui ai dit que mon genou était plutôt stable depuis une semaine et quelque. Elle a donc travaillé sur mes articulations ce soir (plutôt que sur mes muscles), en espérant que ça aide. Elle a également suggéré que peut-être que la course n'était pas pour moi, et conclu le traitement avec un "Bon, ben malheureusement, il va falloir que je te revoie !"

Ainsi, j'y retourne lundi prochain.

Si vous me cherchez, je serai dans le coin là-bas, à bouder.
Trop difficile, l'Épreuve uniforme de français ?

Le professeur ayant rédigé le rapport suggère de ne plus tenir compte des fautes d'orthographes faites par les étudiants du cégep dans leur EUF (dont le taux de réussite est de 85%) afin de ne pas pénaliser ceux qui ont des bonnes idées, mais des problèmes sur les plans de l'orthographe et de la syntaxe.

D'accord, le ministère de l'Éducation a rejeté le rapport, mais quand même. Comment un professeur peut-il penser de telles abominations ?

Sérieusement : la seule personne de ma connaissance qui a dû reprendre son EUF, c'était une fille qui avait grandi dans un milieu anglophone.

Alors s'il-vous-plaît, venez pas me dire qu'il faut baisser les exigences de ce truc-là !
Because when you like funny quotes as much as I do, you need to read Overheard in New York. (Actually, I don't get why I didn't link to it before today. Oh well.)

Ce site a d'ailleurs inspiré le blog Entendu à Montréal, plutôt divertissant également.

Sinon, dans la catégorie "entendu au bureau" et "ayoye qu'on rit les jokes longtemps quand on est allée voir un film beaucoup trop long au cinoche la veille" :
M : Mon fils était tout content de me montrer une peau de couleuvre qu'il a trouvé dans la cours...
Raiontzukai : Faque il y a une couleuvre toute nue chez vous ?
Il va vraiment falloir que je m'habitue.

Comme je travaille dans un milieu à prépondérance féminine, je vais passer le restant de ma vie à entendre parler de régimes et à entendre bitcher les unes contre les autres.

Oh, ne vous méprenez pas, je bitche autant qu'une autre - simplement, je trouve pas que c'est approprié sur les lieux de travail, et je trouve pas que c'est justifié de chialer parce qu'une collègue a des principes écologiques, par exemple.
When I took this job, going back to Montreal was only part of the plan for a few months. By the time I moved here, moving back was well out of the question.

(I shouldn't be crushing anybody's expectations, here, because I thought I'd been pretty clear about that; however, some have been pretty surprised to hear it in the past months - so there you have it, let's move on.)

The last few days got me thinking, though, that if anything is going to make me leave the Ottawa region, it's going to be the weather.

I'm still giving it a fair chance because, well, I don't have a choice and I haven't even been here a year, but really, as far as I can see - god, the weather sucks.

Fall was constant rain.
Winter was way too fucking cold. I gladly would've settled for more snow, less biting cold.
Spring was uneven.
And now, well, summer just won't seem to settle in, but from what I've seen, summer is an alternation of cold and warm, topped with incredible and unpleasant humidity that either causes rain, thunderstorms and/or my hair to curl.

Interlude Yvon Deschamps : Elle braille tellement que quand je la vois sur son balcon, je traverse la rue, sinon elle va me brailler sur la tête pendant deux heures - pis j'aime pas ça, ça me fait friser !

Merde, Tweety ! Si on arrive à se voir pendant la fin de semaine de la fête des pères, je propose TELLEMENT genre un après-midi Yvon Deschamps !!!

Tuesday, June 05, 2007

Because Quartz's Song now has its own Quote du Jour Hunting Team, here are some quotes, straight from Pirates of the Caribbean:

We must fight to run away!

So we're at war!
(Okay, this one, you really gotta see in order to get, but never mind)

Mr. Gibbs, you may throw my hat if you'd like... Now, go get it.
I'd sell my soul for a straight line, for redemption; I'd give anything to start over, to stand a chance, to catch my breath once and for all - I'd die to get my words back and write anything remotely soothing.
Saw this a few days back and really, it deserves a link.
Dans la catégorie coup-donc-je-crois-bien-que-j'ai-créé-un-monstre :

Quartz : Je vais sans doute descendre la fin de semaine de la fête des pères. J'ai spotté un gâteau au chocolat et aux cerises dans mon livre Hershey's qui devrait te plaire.
Pa : Tu devrais le faire cette semaine, j'irais le chercher.

Monday, June 04, 2007

Ma tête et mon corps se détestent. Franchement. Ils ne s'entendront jamais parce que ma tête ne conçoit pas que mon corps ait ses propres besoins et refuse parfois de faire ce qu'elle veut qu'il fasse.

Wow, c'est moi ou cette phrase-là est également applicable aux relations de couple en général ?

C'est vraiment pour ça que ma tête tourne en bourrique depuis que j'ai un genou handicapé. D'ici les cinquante prochaines années, je ne serai plus autonome et je serai sans aucune doute la bénéficiaire la plus détestable de toute la résidence pour personnes âgées.

Tout ça pour dire que, mon 24h réglementaire entre chaque épisode de course étant écoulé, je suis retournée courir à la pluie ce soir. J'ai longuement hésité, puis j'ai vivement regretté la présence d'un coloc possédant un nombre infini de casquettes que j'aurais pu utiliser pour éviter à mes cheveux de frisotter encore plus. Ensuite, j'ai regretté encore plus vivement d'avoir négligé de m'acheter une casquette à New York. J'en avais eu l'intention, mais comme dès la deuxième journée du voyage, mon genou me jurait de me faire payer tout ce que je lui faisais subir (et il a pas menti, d'ailleurs; dorénavant, j'écouterai toujours les paroles de mon genou) et que je me voyais déjà obligée de cesser de courir à tout jamais, j'avais laissé tomber. J'ai fini par mettre la main sur un foulard que je me suis foutu sur la tête, mais j'espère quand même ne pas devoir recommencer ça trop souvent.

Et maintenant, j'en suis à me geler le genou avec de la glace. J'ai découvert récemment que si je garde la glace pendant genre une demi-heure, jusqu'à ce que j'aie tellement froid que ça fasse presque mal, la douleur de mon genou disparaît complètement. C'est particulièrement satisfaisant, parce que ça donne en plus à ma tête l'impression de se venger de mon corps, le tout de façon tout à fait innocente.

Je fais vraiment de gros efforts pour arrêter de parler de mon genou. C'est pas facile, par contre, puisque je passe quand même la majorité de mon temps, actuellement, à être en crisse après lui...!
En passant devant mon cubicule, une de nos conseillère s'est arrêtée pour me lancer : "Hé, regarde, je fais du Quartz !"

Je me suis retournée - et j'ai constaté qu'elle se baladait nus pieds.

J'ai vraiment une influence incroyable sur mon milieu de travail.

Sunday, June 03, 2007

I loathe every chore that involves bed sheets.

I hate making the bed - I solved that part, actually, I just don't. I also hate changing bed sheets. And most of all, I hate folding bed sheets.

But because I challenge myself to turn my frustration into something creative, you'll notice I finally changed the poll...!
I don't know when the Canadian dates for the American Doll Posse Tour will be released, but given my legendary luck, I think it's safe to guess that those shows are gonna take place, say, probably at the beginning of September when I'm in Tunisia?

Or not, because logically, Tori will only come to Canada after touring the US. So I'll be crossing my fingers until the dates are officially released - in the meantime, let's all explore the following blogs, those of each "band member" of the album: Clyde, Isabel, Tori, Santa and Pip.
Aujourd'hui, je vais faire mes commissions à la pharmacie et à l'animalerie en vélo. (J'ai toujours rêvé de transporter un sac de nourriture à chat dans un sac à dos...)

En transférant mon portefeuille et mes clefs de ma sacoche à la pochette avant de mon sac à dos, je suis tombée sur les pamphlets d'horaire des autobus qui passaient aux deux arrêts près d'où j'habitais avant.

Ça m'a quand même fait de quoi.