Saturday, September 01, 2007

Saviez-vous que si vous échappez un tube de pâte à dent dans votre bol de toilette au moment où vous flushez, le tube va y disparaître ?

Il va réapparaître dès la fin du processus de flushage, mais si vous êtes comme moi, vous allez littéralement tomber des nues en le voyant partir dans le trou et continuer à fixer votre toilette avec un air de "hein ???" peint au visage.

Friday, August 31, 2007

1. Tous mes épisodes de la saison 1 d'Ally McBeal sont maintenant sur mon ordi. Ça veut dire quoi ? Que je m'attaque à la gravure du tout en fin de semaine. Et c'est mieux de marcher !

2. J'ai sorti les damnées Wildcat de mon frigo hier avec pour idée d'enfin m'en débarrasser. Pa m'avait dit qu'elles ne seraient sans doute plus bonnes de toute manière.
En revenant du bureau, j'en ai donc ouvert une pour la vider. Avant de le faire, par contre, j'ai eu un mouvement d'hésitation : faudrait au moins que je sois certaine... je déteste le gaspillage.
Alors, j'ai pris une gorgée. Et pis elle était encore bonne. Je peux pas jeter des trucs encore bons !
Bon, j'ai vidé celle que j'avais déjà ouverte, MAIS j'ai appelé mon père pour lui demander si je pouvais lui rapporter les autres la prochaine fois que je descendrais. C'est mon grand-père qui avait apporté la Wildcat chez mes parents, et c'est mes parents qui me l'avait apporté... par conséquent, la prochaine fois que mon grand-père ira chez mes parents, il pourra boire sa Wildcat... et mon frigo sera enfin libre !
Okay, groupe, ARRÊTEZ d'insérer des documents dans vos documents, c'est DÉ-TES-TA-BLE comme habitude !!!
Dans la catégorie nous-sommes-evils :

Une de nos collègues revient de vacances mardi prochain, et parce que moi, Mel et Isa sommes particulièrement insignifiantes quand on s'y met, on a décidé de faire de son bureau un giga farces et attrappes.

Ainsi, on a accroché une fausse chauve-souris au plafond (c'est un running gag, car elle a déjà trouvé une chauve-souris dans son bureau), on a remplacé toutes ses photos personnelles par des images trouvées dans des revues à potins (et on a mis une pub de Vagisil sur sa chaise...!), on a scotché trois des cinq roulettes de sa chaise, on a également scotché le récepteur de son téléphone sur sa base, on lui a laissé, à partir de son propre téléphone, un message sur sa boîte vocale où on lui chante le thème musical de l'émission Mini-fée, et, enfin, on a mis deux bandes de saran-wrap dans l'entrée de son bureau.

D'où le terme "insignifiantes"...

Sérieusement : une porte sans poignée, POURQUOI ça existe ?

(Car ça existe : il y en a une où je travaille...)

Because I watched a few old Ally episodes in my VHS last night and I just love this:

Ally: That's just dumb.

Judge: Would dumb be the legal definition ?

Ally: Your Honor, if you look at alimony and palimony, it comes down to fairness. Now whatever his problems, which couldn't be kept in check, much less his pants, she endured it for nine years. She's taken care of the children, she's...

Judge(interrupting): The problem, Counsel, is that the fairness issue presupposes a valid union, here, technically it might have been invalid !

Ally: And that's dumb !

Judge: We're back to legal definitions.

Ally: If we're really gonna go down that road and hold up marriage ceremonies to standards of sanity, watch out ! People run out to Las Vegas on their first dates. Some listen to their astrologers. So many people make terrible horrendous decisions out of passion and we still enforce those marriage contracts.

Judge: There is a difference between recklessness and insanity !

Ally: Oh he wasn't insane. He knew what he was doing, even if he was being led by little Mister Helmet Head !

Judge: Mister Helmet Head ?

Ally: Love by definition is crazy ! I'm crazy about him, he's mad about her, people get blinded by love, they fall ass over tea kettle. What does that expression even mean, ass over tea kettle ? It's nonsensical ! But we excuse it because if it's about love, fine. Love doesn't make sense. People fall in love for all sorts of insanity's, and we don't legislate the reasons. But once they take vows, once they get that legal piece of paper and once they start having kids, we take that seriously. And we call it an institution. And for this man to be running around vaccinating any woman he can convince to play doctor. For this man to indulge his little affliction at the expense of his wife and his children. For this man to skirt financial and moral responsibility because he found a skuzzy lawyer and a skuzzier shrink to pronounce him disabled. For this man to waltz into a court and get an order saying that this woman was never married, when she led an exemplary married life. For this man to say that he's addicted to love, addicted to sex, addicted to infidelity, lying and cheating. For this man to come in here prorating his penis, like he should qualify for handicapped parking ! (she turns around to Mr. Goodman) How dare you subject this woman to this embarrassment ? How dare you subject your kids to it ? How dare you live ? You giant ass !

Thursday, August 30, 2007

Vous habitez Montréal ? Je vous envie, car vous pouvez marcher dans la rue en paix.
À Montréal, les gars se contentent de vous regarder. La très faible majorité qui vous adresse la parole le fait de façon plutôt sweet, avec des "salut, ça va ?", des "t'es belle" et des "t'as des beaux yeux".

En Outaouais, oubliez ça. La minorité est constituée de ceux qui se contentent de vous regarder ou de vous dire bonjour.

Cet après-midi, on m'a crié, d'un pick-up : "eille, où tu t'en vas ? Embarque avec nous autres !"

Câ-lis-se.
Quartzy pas dormi suffisamment de la semaine.

Quartzy fatiguée-crevée-épuisée.

Quartzy tannée d'être au boulot.

Quartzy boude.

Hmmf.

Confession du jour : quand je tombe là-dessus à la télé, j'écoute Instant Star, j'aime ça, et PIRE, je trouve la majorité des chansons plutôt bonnes.

(Pourquoi je m'acharne à faire en sorte de me descendre dans l'opinion des gens comme ça ?)

J'ai déjà downloadé plus de la moitié des épisodes convertis de la première saison d'Ally McBeal. En runnant les downloads 24h sur 24, redémarrant mon ordinateur seulement entre mes updates d'anti-virus. (Ce qui vient de me faire réaliser que je ne ferme plus mon firewall systématiquement et quand ça fonctionne quand même.... j'aime quand les trucs se règlent d'eux-mêmes, je vous l'ai déjà dit ?)

J'espère vraiment que je vais réussir à me graver la première saison sur DVD avant mon départ pour la Tunisie. Ça me surprendrait, mais ça coûte rien d'espérer. J'ai vraiment une envie intense de me taper épisode par-dessus épisode, même si la première saison est pas ma préférée...

C'est bon signe si la première chose qu'on me dit quand je rentre au bureau, c'est : "Ouin, t'as l'air fatiguée toi aussi" ?
I have my plane tickets in my hands right now!!!

Wednesday, August 29, 2007

Wanna know what's particularly annoying when you have cracked ribs?

Hiccups.

Hier soir, une cycliste s'est fait tuer par un automobiliste soûl à quelques mètres seulement de l'endroit où je me suis fait emboutir par un autre vélo, l'autre semaine.
J'ai un ami qui a changé de job (sans m'avertir; j'espère qu'il apprécie que je courre après quand j'ai plus de nouvelles parce que c'est donc quelque chose que je ne fais jamais); j'ai su ça ce matin et je suis la première étonnée du choc que j'ai eu en l'apprenant.

Tuesday, August 28, 2007

Quelques commentaires sur le film Les 3 p'tits cochons que je suis allée voir ce soir avec Raiontzukai et Mel.
1. C'était très bon. Pas aussi excellent que ce que j'espérais, et avec quelques longueurs, mais vraiment très bien. Et très drôle. Les comédiens sont extrêmement convaincants.
2. Ce film ne devrait pas causer trop de chicanes de couple. Je m'attendais personnellement à sortir de la salle en feelant un peu croche, mais non, même pas. Disons que Closer me met au moins 30 fois plus à l'envers que ça.
3. C'est bourré de petits clichés sur le statut social : 450, Îles-des-soeurs et oui ! Gatineau ! Notez bien que le couple en provenance de Gatineau est constitué de losers qui s'arrangent mal et parlent plutôt mal; l'homme s'appelle Gaston, il est ramoneur et il est fou et pathétique.
4. Je dois avouer que je me suis sentie concernée quand Mahée Paiment a traité Claude Legault de "450". J'ai jamais véritablement eu conscience de la guerre 514 vs 450; j'ai simplement eu un petit mouvement joyeux de "hé ! c'est moi, ça !" au moment de cette réplique-là. Suivi d'un coup de masse mental quand je me suis souvenue que non ! 450, c'est plus moi et ça sera plus jamais moi !
5. Pour finir, une belle citation tirée du film : Si tu m'aimes, laves-toi !
Weird Stats Fact #45: my counter allows me to see every hit I get through Google Reader... except my own. Now, that's one intelligent counter I got.
Ah ben tabarnouche !

Maridi et moi nous ramasserons dans un hôtel quatre étoiles à Sousse !

Par mal, pour des filles qui devaient originalement faire le tour de la Tunisie avec un sac à dos !

Ya des moments comme ça où vous regardez vos stats et vous vous sentez espionnée.
Quote du jour :

Quartz : Si je m'étouffe toute seule dans une pièce, je meurs, c'est clair. J'ai juste pas le guts de me faire la méthode de Heimlich avec une chaise.
J : Ah, moi, j'ai pas le guts de mourir.

Aujourd'hui, je manque de sommeil, je me fais niaiser simultanément par Excel et Powerpoint, au point de complètement oublier de déjeuner jusqu'à une heure avancée de l'avant-midi, puis parallèlement par les notes de bas de page de Word. Le tout a entraîné un bon rush d'adrénaline, de stress et de frustration qui a bien failli entraîner un commentaire sec à l'endroit d'une personne qui chiale depuis exactement deux semaines à propos de la même affaire, mais bon, je garde quand même pour moi une bonne partie de mon agressivité.

J'espère que votre journée a mieux débuté que la mienne.

Monday, August 27, 2007

J'ai réussi à me secouer et à reprendre forme humaine, et non forme de coin de demi-sous-sol.

Par contre, je prendrais bien une nuit blanche, ce soir.

De toute manière, je devais réfrigérer le dessert que j'ai commencé pendant 3h avant de passer à l'étape suivante.
It's just lying down on your back, looking up in amazement at those neat, white clouds painted on the clear, blue sky, wondering where that sort of blatant perfection comes from and thinking fix me. heal me. save me.
Je suis la seule qui connaît des soirs, comme ça, où elle est incapable de faire autre chose que de s'effoirer dans un coin et de prendre la forme du coin ?

Je pourrais continuer, mais faut vraiment que je me donne un coup de pied au cul et que je me bouge parce que je viens de réaliser que je suis encore en train de me ronger les ongles, alors que j'ai vraiment presque arrêté complètement, là. Pas le temps de faire une rechute.
Ça fait à présent presque 6 ans que j'écris ici, et le seul truc qui ne semble jamais se régler, c'est le complexe de persécution qui semble parfois assaillir mes lecteurs quand ils lisent un de mes épisodes de chialage : est-ce que je m'adresse à eux ? est-ce qu'il s'agit d'un message subtil ?

La toute première fois, c'est Tweety qui avait interprété complètement de travers un de mes épisodes de déprime cégépien, et qui m'avait répondu sur son blog. C'est sans doute la première fois de ma vie où je me suis fait engueuler sur un blog.... Mais bon, on s'était expliquées (en personne), Tweety avait retiré son post, et je crois que depuis, ça a toujours été clair pour elle qu'aucun de mes posts ne représentait une quelconque attaque envers elle ou qui que ce soit d'autre. (Bref, soit c'est clair, soit elle se tait quand elle se sent attaquée - et comme il s'agit de Tweety, on peut pas être certain, mais bon, moi, j'aime bien croire qu'elle le sait.)

Pendant un temps, mon blog a été envahi de parasites : ceux qui venaient ici chercher des bibittes, interpréter et puis répondre par des intermédiaires douteux. J'ai vu sur les blogs de ces parasites les trucs les plus pathétiques qui existent : des attaques directes, des réponses, des excuses, des aveux, et le plus insultant, des foutues imitations - un de ces parasites a même été jusqu'à reprendre mes métaphores. Si vous voulez me rendre furieuse, pas besoin de vous casser la tête : plagiez-moi, tout simplement. J'ai aussi reçu des courriels de personnes frustrées - le plus drôle étant celui qui provenait d'une personne qui s'insurgeait contre une phrase qui, à son avis, était une attaque à son endroit alors qu'il s'agissait en réalité d'un commentaire positif sur elle.

Il faudra définitivement que j'élabore un disclaimer, même si je n'en ai aucune envie, mais en attendant, si vous êtes nouveau, voici un peu de lecture pour vous.
Okay, à partir de la page 7, en plus d'être plate et urgent, mon texte est devenu incompréhensible en bonus...
Aujourd'hui, j'ai vu quelques trucs troublants (pour changer), j'ai un texte à la fois plate et urgent, ce qui est jamais intéressant, j'ai réussi à me faire confier la lourde tâche de préparer un dessert (et voilà, c'est maintenant que je regrette d'avoir laissé mon moule à charnières chez mes parents en leur disant de me le ramener quand ils passeraient), je suis plutôt fatiguée parce que j'ai refusé d'aller dormir à une heure raisonnable hier soir, j'ai laissé mes downloads d'Ally McBeal runner pour la journée et je rêve qu'ils seront presque tous terminés à mon retour, mes côtes me font significativement moins mal et j'espère que le tout sera placé d'ici les 7 prochains jours.

Et vous, comment se passe votre journée ?

Sunday, August 26, 2007

Une différence fondamentale entre les hommes et les femmes vient de me frapper tout à coup.

Effectivement, si on généralise, les femmes éprouvent un grand besoin qu'on les fasse se sentir importantes et spéciales. Les hommes, de leur côté, se croient irremplaçables et inoubliables, tout simplement.
I made it this far: 5 whole weeks.

And somehow, yet again, it doesn't count.
Si j'avais à engager quelqu'un pour me donner des mots quand je n'en trouve plus, ce serait incontestablement Swan. Juste des mots pour dériver ou à inverser.

J'ai passé de longues semaines cachée sur un nuage que je m'étais créé, où j'étais très occupée à faire en sorte qu'il ne se passe rien. Rien du tout. Je voulais juste du vide. Une pause. Un peu de tranquilité.

Jusqu'à ce qu'on me force à en descendre. Et oui, honnêtement, ça m'écoeure un peu d'agir, de saisir des occasions, de faire des choix, de me diriger en quelque part. Je sais bien que c'est comme ça que ça fonctionne, la vie, mais heureusement que c'est pas obligé de faire mon affaire.

Moi, c'est la lumière qui me fait peur et qui m'épuise. Je n'y trouve rien pour m'accrocher, rien à posséder. Et je suis pas tout à fait assez solide pour ne pas partir au vent si je n'ai rien pour me retenir.

Mon identité, je la trouve dans l'ombre, à certains moments plus que d'autres. Mon habitat naturel, il est là. C'est là où je me réfugie en cas de besoin, et ya des périodes où je ne peux rien faire d'autre que tourbillonner passivement et attendre de voir arriver une fraction de seconde où je pourrai retrouver un semblant d'équilibre. Et revenir.

Tout ça pour dire que c'est pas facile de demeurer une personne entière. Dans les derniers mois, j'ai passé des excès de drame au calme induit, de la lumière à une des noirceurs les plus totales que j'aie connues - car vous le savez à présent, ma vie est un enchaînement d'extrêmes.

Sauf que je commence à me dire aujourd'hui que ces extrêmes-là, c'est peut-être ce qui mène au juste milieu. Ce sont peut-être eux qui arrivent à vous fatiguer suffisamment pour que vous finissiez par faire les efforts nécessaires pour atteindre un certain état d'équilibre et d'entièreté.

Ce sont peut-être eux qui font en sorte que vous compreniez que cet état-là, il ne vous viendra pas tout seul.
Okay, j'en peux plus.

Pour profiter un peu du soleil et m'aérer l'esprit, j'ai décidé d'aller marcher.

Ben merde, j'ai failli me faire renverser par une voiture, cette fois. Un imbécile qui sortait de son entrée de cours (même pas en reculant, non !) à toute vitesse sans regarder. J'ai dû reculer subitement de quelques pas pour l'éviter. Sa blonde l'a gratifié d'un "Yannick, tabarnak !" en m'apercevant. Le con est resté bouche bée jusqu'à ce que je lui lance un commentaire laissant entendre que je prendrais bien des excuses. Câline, là. Lâchez-moi un peu, s'il-vous-plaît. Je cours et je me blesse au genou. Je fais du vélo et je me fêle des côtes. J'essaie de marcher et je passe à un poil de me faire frapper. Faudrait changer de victime, là.

En tk, je prends l'avion dans 13 jours, et ça commence sérieusement à me faire peur.
Un problème de résolu, un !

Et s'il y a un truc qui m'apparaît clairement aujourd'hui, c'est qu'il me faut de la RAM de façon urgente !
Bon, disons maintenant 3 bugs informatiques. À présent, c'est Windows qui plante systématiquement dès que je lui demande de supprimer le deuxième compte inutilisé de mon ordi.

Ça devient vraiment enrageant.
Quartz est lâche
Parce qu'il est 11h passé et qu'elle traîne toujours en pyjama. Avec sa chance, son voisin doit bien être sur le bord de venir sonner chez elle. Dans les 10 derniers mois, Agnan doit bien m'avoir vue en pyjama plus souvent que mes propres parents. J'ai le don d'avoir de drôles de relations avec mes voisins.

Quartz est victime d'une conspiration informatique contre son bonheur personnel
Parce qu'elle est en actuellement à downloader des fichiers d'Ally McBeal déjà convertis grâce au génie de Virtuallogik, MAIS qu'elle se ramasse comme ça avec deux bugs informatiques : sa connexion qui plante et la force à redémarrer constamment son ordinateur, et son foutu firewall qui refuse de la laisser configurer ses ports. Si bien que Quartz se ramasse encore une fois à travailler à l'identification et à la résolution de problèmes informatiques. Non mais, ya une raison pour laquelle j'ai jamais écouté les gens qui me disaient d'aller étudier en info. En tk, je vais les avoir, mes Ally McBeal pouvant être visualisés sur un lecteur DVD nord-américain, groupe, et personne pourra dire que je les ai pas mérités.