Saturday, August 11, 2007

Actuellement, je me dis :
1. D'abord que j'ai salement mal partout, et que si c'est ça avoir un accident à vélo, je veux même pas imaginer à quel point ça doit être souffrant d'avoir un accident de voiture.
2. Que mes cheveux sont trop longs et que je suis due pour refaire mes mèches, mais que je sais pas si je devrais attendre de revenir de la Tunisie pour ça.
3. Que j'avais jamais autant rencontré de gens dont la personnalité et/ou la vie est aussi près de la mienne avant d'emménager ici. Peut-être que ça faisait 23 ans que j'habitais la mauvaise région, finalement.
4. Que je suis absolument crevée et que je m'en vais me coucher d'ici quelques minutes. Zauriez dû me voir tout à l'heure : j'ai bu un seul drink chez Anémone, mais il était plutôt fort, on avait passé l'après-midi au soleil, j'étais fatiguée et j'avais rien mangé depuis l'avant-midi... il a frappé très fort ! Disons que j'étais définitivement pas en état de conduire après ça...
Men barely look where they're going when they're driving a car - how could we expect more from them when they're riding a bike?

I got into my very first bike accident - this dude rode straight into me from the right.... he was riding on the grass and tried to cross the pathway at full speed without, apparently, looking at all.

Is there anything more insulting than getting run into by a freaking bike?

Anyway. He did have a good sense of priorities, as he asked whether I was okay before asking about my bike.

Bike's fine, although the flashy plastic thingy that indicated what speed I was on broke so now I have no way of knowing, but I wanted a new bike anyway, so it doesn't really matter. As for me, I'm fine too, but the 10 minutes it took me to get home bleeding from both my hands and my knee - not the knee I went into physiotherapy for and which started tingling a little as I was biking, mind you, the other one. I had one good knee and somebody had to ruin it... Anyways, those 10 minutes seemed pretty long. My ribcage also feels pretty sore as it is what took the blow before I crumbled to the ground.

To think I was only coming home to get into the car and drive to Anémone's.

Just to top it off, when I come home to my appartment building, bleeding, sore, angry and sweaty, there is a party in my backyard, and there must be about 15 people sitting on the lawn. There is no way to avoid them as I have to get my bike through in order to put it back in the locker, and I have to ask whoever is parked behind me to move so I can leave...

Anyway, I figured I should get this off my chest as I checked how to get to Anémone's on Mapquest. Thank you.
Even after pulling this off for so long, there are days it feels impossible.
Ah non !

Je viens de découvrir le mystère de la litière agglomérante qui n'agglomère plus : apparemment, ça arrive quand je passe quelques jours sans la nettoyer.

Cette semaine, j'ai pratiquement pas été chez moi et qu'est-ce que je découvre ce matin en voulant nettoyer la litière de Sambuca ? Encore du pas-d'agglomérage !

Cochonnerie ! Ça veut dire que je dois encore tout vider.... bon, la bonne nouvelle, c'est que ça me permettra de remplacer le tout par la ré-vo-lu-tion-naire litière biodégradable que j'ai achetée l'autre semaine...

Suis pareil pas contente, bon.
En écouté Monty Python avec Tweety, j'ai été très troublée quand j'ai réalisé que le grand Knight of Ni que les chevaliers rencontrent s'exprime vraiment beaucoup trop comme Louis-José Houde quand il demande un shrubbery...
Because it's getting late and I'm dead tired, and because rambling on on this blog is what I do when I'm too tired to make any sense, I intended on expanding on my inability to stick to any sort of healthy sleep pattern... but it's going to have to be some other time, because I'm actually tired enough right now to go to bed and actually fall asleep.

But really - I can't believe I'm the only person on this earth to hate nights? the only one to encounter meaningless triggers who'll cause her to be entirely unwilling to sleep at all?

Friday, August 10, 2007

A. Je me suis accordé un down d'environ 24 heures. Demain, c'est samedi, et je me donne jusqu'en fin d'après-midi pour remonter ce petit moral-là à des niveaux plus acceptables. Et je me donne le droit de refuser de me coucher à une heure raisonnable jusqu'à lundi soir.
B. J'ai fait un peu de temps supplémentaire cet après-midi. L'été, la charge de travail est significativement allégée au bureau; j'ai donc fait le saut quand la conseillère est venue me voir pour me demander si je pouvais travailler en fin de semaine... Heureusement, j'ai pratiquement terminé ce que j'avais à faire cet après-midi, si bien que je vais pouvoir prendre ma fin de semaine.
C. Samedi dernier, moi et Tweety nous étions fait des rouleaux de printemps pour souper. J'avais fait à voix haute la réflexion que ça serait un truc à organiser par chez moi, ça, un souper avec des rouleaux de printemps; next thing I know, mardi matin, S propose d'organiser un souper de filles... J'en conclus qu'à défaut de distinguer mes prémonitions de simples impressions bizarres, je maîtrise de mieux en mieux l'art de demander des trucs à la vie. À présent, faudrait que je me rentre dans la tête le principe du be careful what you wish for.
D. On s'est donc cuisiné des rouleaux de printemps en entrée, un pad thaï en plat principal et une tarte aux framboises et au yogourt pour le dessert. J'avais proposé de chercher un dessert santé dans mon livre de recettes fétiche, mais finalement, la tarte que Mel avait déjà cuisiné a remporté la faveur des convives... et qu'est-ce que j'ai découvert une fois la recette entre les mains ? Oui-oui, cette recette est tirée directement de mon livre. Ça me fait déjà une recette de moins à essayer par moi-même...
E. Sinon, on dirait que chaque fois que je vois ces filles-là, le sujet des Backstreet Boys vient sur le tapis. Je comprends pas, honnêtement ! Ce soir, c'est Mel qui a mis leur CD dans le lecteur pendant qu'on faisait le pad thaï. Elle s'attendait à nous dégoûter; nous nous sommes plutôt mises à chanter gaiement. Car oui, on se rappelle pratiquement de toutes les paroles par coeur. À partir de là, on a chanté tout un tas de vieilles tounes quétaines, de Julie Masse à Patricia Kaas, de Kathleen à François Pérusse, des G-Squad à Hanson, sans oublier les B.B., et surtout Pourquoi t'es dans la lune, sur laquelle on s'est vraiment cassé la tête avant de retrouver l'air et les paroles... mention spéciale à Mel qui a eu le flash juste au moment où on capitulait et où on allait recourir à l'internet pour avoir la clef...
Not classy, but certainly funny - thanks to Anémone.
Aujourd'hui, le mot que j'ai appris, c'est oblitération.
Dans le cadre de mes observations en-Outaouais-c'est-comme-ça :

J'ai remarqué que les piqûres de maringouins ne piquent à peu près pas, ici.

C'est stupide, non ?

Même que les quelques piqûres dont j'ai hérité cette année n'ont pas entraîné de réaction allergique aussi démesurée que celles auxquelles je suis habituée.

Thursday, August 09, 2007

Je suis la seule que les pubs de l'ANEB mettent complètement à l'envers ?

They pull up their chairs to the table
She stares at the food on her plate
At the toast and the butter
Her father, her mother, she pushes away
And they rise in the morning
And they sleep in the dark
And even though nobody's looking
She's falling apart
She gets home from school too early
And closes the door to her room
There's nothing inside her
She's weak and she's tired of feeling like this
And they rise in the morning
And they sleep in the dark
And even though nobody's looking
She's falling apart
They call her for dinner, she makes up a reason
She looks at her arms and she rolls down her sleeves
And her mother is starting to see through her lies
And last night her father had tears in his eyes
And they rise in the morning
And they sleep in the dark
And even though nobody's looking
She's falling apart
And we rise in the morning
And we sleep in the dark
And even though nobody's looking
She's falling apart
By the way - je me donne jusqu'à samedi. Promis.
If I knew how to waste all that time, I wouldn't sleep tonight.

There are just periods of the day you never quite get the hang of.
Je suis où ?

C'est la pensée à laquelle je suis parvenue pendant ma marche de ce soir.

Un high de près de trois semaines. C'est quand même de mieux en mieux.

Je flotte tellement que j'ai dévié de mon trajet habituel, ce qui a raccourci le tout d'une dizaine de minutes. Je ne m'en suis rendue compte qu'une fois pratiquement arrivée chez moi.

Maintenant, je vais prendre un café avec une amie, alors je me remets en mode "cohérence". Car oui, je n'ai pas de filtre et je parle avant de réfléchir très souvent, MAIS j'ai bien un mode "cohérence" dans mes fonctions mentales. Impressionnant, n'est-ce pas ?
Quote du jour :

Peanut : C'est déstabilisant d'être en couple... Là, j'essaie de pas faire comme d'habitude : faire chier l'autre...

On doute de la réussite de l'entreprise, mais l'intention est louable...
Après examen approfondi de la question avec Maridi, selon Le Petit Robert :

Copine : Camarade (femme), amie. Une copine de classe. Les copains et les copines de ma fille. Tu n'es plus ma copine. Compagne, petite amie (d'un homme, d'un garçon). C'est sa petite copine.

Amie : Personne liée d'amitié avec (une autre personne), ou qui est l'objet de l'amitié de qqn. fam. copain, pote. Par euphém. Amant (compagnon), maîtresse (compagne).

On remarque que "copine" désigne une petite amie, et qu'"amie" désigne une maîtresse. On en conclut qu'il peut y avoir du sexe entre amis ET entre copains, mais qu'entre amis, ça n'implique aucune relation amoureuse.

Par conséquent, j'avais saisi le concept instinctivement en choisissant le terme "copain"...

Okay, oui, peut-être qu'on pousse un peu...
Vous savez tous que l'expression "conjointe" me fait traumatiser. J'en ai parlé sur l'heure du midi, en expliquant que mon expression consacrée pour désigner le concept est celle de "copine".

Apparemment, je suis la seule dans cette situation.

C'est comme ça que j'ai appris que je considère Maridi comme une amie, mais que pour elle, je suis une copine, l'échelon d'en dessous. Oh well. Ça m'apprendra à m'attacher si vite !

Et de votre côté, comment ça fonctionne ? Vous avez des échelons d'amitié ? Vous aimez le terme "conjoint" ?
I don't know
This could break my heart or save me
Nothing's real
Until you let go completely
So here I go with all my thoughts I've been saving
So here I go with all my fears weighing on me
Three months and I'm still sober
Picked all my weeds but kept the flowers
And I don't know
I could crash and burn but maybe
At the end of this road I might catch a glimpse of me
So I won't worry about my timing, I want to get it right
No comparing, second guessing, no, not this time
Three months and I'm still breathing
Been a long road since those hands I left my tears in
But I know it’s never really over

Wednesday, August 08, 2007

Pêle-mêle :
1. Dernier rendez-vous chez la physio, espérons-le pour toujours. Mon genou ne me fait plus mal; j'ai l'intention de me limiter à la marche jusqu'à mon retour de Tunisie, histoire de ne pas courir le risque de me scraper le genou juste avant de partir en voyage.
2. Pour bien fêter ce dernier rendez-vous, j'ai choisi de m'électrocuter avec la foutue machine qui envoie un courant dans votre muscle afin de le contracter. La machine était sur pause; la physio l'a remise à "on" sans vérifier l'intensité du courant auquel je l'avais laissée dans mes efforts pour essayer de la faire marcher. Maintenant, je peux dire que moi, un jour, dans ma vie, j'ai été étendue sur une table médicale, à souffrir la douleur d'une décharge électrique trop forte en criant : "Okay, ça marche ! Ça marche ! Arrête ça, s'il-te-plaît !" Un genre de variante de Milgram's Experiment, quoi.
3. Depuis cet après-midi, je suis définitivement de plus en plus bouche bée devant des comportements humains qui m'échappent complètement. J'en profite pour re-saluer la Rive Nord.
4. Ça fait déjà quelques temps que j'oublie d'en parler, mais voilà : selon mes observations, je me ramasse au centre des potins une fois par deux ans. Je vaux la peine d'être connue, ne serait-ce que pour mettre de la vie dans votre morne milieu de travail !
5. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'à partir de ce soir, je me mets à parler au "on" - avec une bonne poignée de collègues !
Je crois que j'ai vraiment vécu dans une bulle pendant très longtemps.

La bande des cinq était certes un beau mensonge vide et sans valeur aucune, mais au moins, on y était bien.

Dans cette bulle-là, les gens s'appréciaient et souhaitaient toujours inclure les autres et, mieux, faire sentir à ces autres qu'ils étaient les bienvenus.

Le monde en-dehors de cette bulle-là, eh bien, il est salement weird, et je ne le comprends pas.
Expérience non-concluante du jour : un Hershey's Kiss chocolat noir et café trempé dans le beurre d'arachides.

Et pour une fois, c'est une folie que je n'ai pas faite moi-même ! J'ai uniquement proposé l'idée pour répondre aux besoins d'une amie en détresse !
Mot du jour, qui figurera dans mon texte de ce matin grâce, je dois bien l'avouer, à l'intervention d'une réviseure, car j'ignorais totalement à la fois son existence et, par conséquent, sa signification :

TRIUMVIRAT

Faites mieux.

Tuesday, August 07, 2007

NotreMatelot a emménagé mercredi dernier; j'avais un message d'elle sur mon répondeur quand je suis revenue de ma marche ce soir.

Elle part passer une semaine à Montréal demain (tu vois Mel, un peu plus et je te trouvais réellement un lift pour en fin de semaine !) et elle me rappellera sans doute la semaine prochaine, à son retour. Ce qui adonne plutôt bien parce que ma semaine s'est bookée toute seule juste dans l'avant-midi d'aujourd'hui.

Je crois que ça va me faire du bien d'avoir un petit quelque chose de stable et de pas pré-gâché dans les parages.
You spend so much time thinking about how you'd like others to be; but how often do you think about the person you want to be?
I've walked miles already, discarding every spin-off of stuff I've explored once, twice, three hundred times already.

What did I write about before?

Monday, August 06, 2007

Après vérification grâce aux vidéos de mon bal de finissante, je conclus que mon hypothèse est fondée : ce sont vraiment les photos qui me font paraître maigre à ce point. S'agira de faire disparaître subtilement celle qui m'a fait faire le saut. Ça me rassure.

Ce qui me rassure moins, c'est de voir le manque d'évolution de nos vidéos : à 16 ans, on fait du karaoké en rollerblades; à presque 17, on fait le métronome devant la caméra; à 19, on chante "feu, feu, joli feu" devant un rond de camping et à 23, on chante du Julie Masse sur un pont...

Ce qui me fait penser : Tweety, je me demande si ça serait une bonne idée de traîner une caméra vidéo pendant le Voyage, l'an prochain ?
No showers, but traffic again. Took me 3h25. Which hey! is 20 minutes less than Saturday, after all - and I'm very thankful. But somehow now, a car is really that last place I want to be in...
Saturday, it was road work; today it's thundershowers.

I'm seriously considering not driving back home at all!

Sunday, August 05, 2007

1. Comme la Mustang n'a pas de lecteur CD, avant de partir chez Tweety, j'ai fouillé dans les cassettes de Mom quelque chose qui me permettrait de chanter à tue-tête en chemin. J'ai fini par opter pour du Madonna - il n'y a pas grand chose de plus approprié que les paroles 'Cuz we are living in a material world/And I am a material girl quand vous roulez dans une Mustang décapotable sur l'autoroute.
2. Avons écouté Monty Python and the Holy Grail, vestige de notre cours d'anglais de secondaire IV. C'était beaucoup mieux que dans mon souvenir, et j'ai retenu la ligne suivante : I fart in your general direction.
Sinon, la fin m'a laissée sans voix.
3. Je me suis achetée Blazing Saddles la fin de semaine dernière; c'est ce qui occupera la prochaine soirée cinéma que Tweety et moi nous organiserons. On remplacera peut-être les tim bits par de la Haagen Dasz, cette fois.
4. Tweety et moi partageons un unique cerveau depuis le secondaire, c'est reconnu. C'est la seule explication au fait que depuis que j'habite en Outaouais, je parle avec Tweety un drôle de mélange d'anglais et de français.
5. Je crois que je ne laverai plus jamais mon auto car j'ai eu un genre de coup de chaleur cet après-midi. Ça faisait même pas 15 minutes que je m'activais quand j'ai été prise d'un mal de coeur. J'ai dû m'étendre pendant trois quarts d'heure pour me remettre d'aplomb. Quelle moumoune je fais.
Je lave ma voiture une fois par année parce que ça me donne le temps, d'une fois à l'autre, d'oublier à quel point je déteste ça. Surtout la balayeuse. Même si Pa est équipé avec la supra balayeuse extérieure et le jet d'eau à pression. Câline que j'haï ça. S'ils pouvaient inventer une voiture auto-nettoyante, je serais la première à m'en procurer une. À partir de quel âge vous croyez que je pourrais forcer mes éventuels enfants à nettoyer ma voiture pour moi ?
Le principal désavantage de la Mustang, c'est qu'elle n'a pas de lecteur CD, seulement cassette...
Une énième preuve que l'instinct de Quartz est infaillible
Pa et moi sommes allés déjeuner au resto avec quelques autres membres de sa famille en avant-midi. C'est moi qui ai proposé qu'on prenne la Mustang - je m'en servirai ce soir pour aller chez Tweety, mais ça veut pas dire qu'il faut la négliger jusque-là, pauvre bête.
En revenant du resto, le miroir du côté passager a déclippé et est tombé au sol. J'étais jamais débarquée d'une voiture pour aller récupérer un morceau tombé; ce fut une expérience. Le miroir n'est pas brisé, par chance - mais si on n'avait pas pris la Mustang pour aller déjeuner, le miroir serait sûrement tombé ce soir en chemin vers la maison de Tweety, sur l'autoroute, et alors, d'abord, sans doute que j'aurais pas risqué ma vie pour aller le récupérer, puis, il aurait sûrement été cassé de toute façon. C'est pour ça qu'il faut m'écouter, chers lecteurs : j'ai raison presque tout le temps !

Par contre, mieux vaut ne pas trop se fier à mon sens de l'observation
En général, pour illustrer mon absence totale de sens de l'observation, je raconte l'histoire du weed-eater qui a été placé juste à côté de la porte de la maison pendant toute une semaine sans que je ne le remarque.
Maintenant, je raconterai plutôt celle-ci :
Ça fait maintenant dix mois que je suis en exil; je viens faire un tour dans la métropole une fois par mois en moyenne. Chaque fois, je passe par le même chemin, qui implique d'accéder à la 13 à partir de la 40.
Je m'engage dans la bretelle hier après-midi et j'aperçois un avion qui vole très bas. J'en déduis qu'il atterit, et, par conséquent, qu'il doit y avoir un petit aéroport pas très loin. Or, je peux lire les mots "Air Canada" sur l'avion.
Je hausse les sourcils, regarde à ma droite.... et qu'est-ce que je remarque, pour la première en 10 mois, donc après avoir passé par cette route environ VINGT FOIS ?
L'aéroport Pierre-Elliot Trudeau.
Non mais, comment est-ce qu'on peut ne pas voir un A É R O P O R T ?????

Quartz a un nouveau héros
Comme je l'ai mentionné hier, j'ai été prise dans le trafic pendant une demi-heure en Ontario. Dans le trafic, les gens agissent en imbéciles, on le sait tous. Quand, par exemple, la voie de gauche est bloquée et que toute la circulation doit utiliser l'unique voie de droite, les conducteurs utilisent la voie de gauche pour clancher tous les véhicules qui attendent sagement leur tour pour aller couper la file tout au bout. C'est d'ailleurs ces idiots-là qui créent tout le putain de trafic.
Eh bien hier, deux ou trois voitures derrière moi se trouvait un truck. En jetant un coup d'oeil dans mon rétroviseur, je l'ai vu qui se tassait dans la voie de gauche. J'ai eu un soupir d'exaspération et j'ai brièvement envisagé de me foutre dans la voie de gauche juste pour le bloquer. Je l'ai pas fait parce que j'ai une grande gueule, mais j'ai pas ce guts-là. Au bout de quelques secondes, ne l'ayant pas vu passer à côté de moi, j'ai regardé de nouveau dans mon rétroviseur - le truck roulait à vitesse réduite dans la voie de gauche afin d'empêcher tous les énervés de couper les autres !
J'avais jamais vu ça avant, et j'étais vraiment contente. Il reste bien deux ou trois personnes correctes dans l'univers, et j'en ai croisé une hier.
Quote du jour :

L : Faites attention à ce que vous dites parce qu'il va y avoir une noyade quand on va aller au lac !
Y : Je sais nager, tu sais !
L : Pas avec une roche autour du cou !
Question du jour : où sont mes vidéos du bal ?

Ils ont pas l'air d'être ici, est-ce que ça veut dire que je les ai chez moi ?

Parce que ce matin, je pose comme théorie que j'étais pas réellement maigre au point que le font paraître les photos, et j'aimerais visualiser les vidéos pour trancher la question.