Saturday, June 02, 2007

Vous me trouviez peut-être opportuniste quand j'ai dit que j'allais prendre l'habitude de concocter un dessert Hershey's chaque fois que je visiterais mes parents.
La quote du jour d'aujourd'hui, qui remonte quand même à mercredi, devrait vous faire changer d'avis.

Pa : Il va falloir que tu viennes nous voir bientôt.
Quartz : Ah oui ? Comment ça ?
Pa : Il ne reste plus de gâteau.
Pour mon souper du jour de l'an, mes parents m'avaient apporté quatre Wildcat que des visiteurs leur avaient laissées quelques jours auparavant.

Personne ne les a bu. Et je ne bois pas de Wildcat.

Elles traînent dans mon frigidaire depuis maintenant six mois, et je n'en peux plus de les voir. En plus, ça prend de la place pour rien. Sauf que je déteste le gaspillage; par conséquent, je me répugne à les ouvrir une après l'autre pour les vider dans le lavabo et enfin m'en débarrasser.

Par conséquent : quelqu'un ici boit de la Wildcat ? Je vous les donne. Je vous demande juste de venir les chercher. Bon, évidemment, je vous donnerai pas mon adresse, mais si vous les voulez, ça me fera plaisir de vous rejoindre en quelque part en Outaoutais pour vous les donner. Même que si vous habitez la région métropolitaine, j'irai vous les porter la prochaine fois que j'y retournerai, ce qui devrait, selon toute vraisemblance, être la fin de semaine de la fête des pères.

N'hésitez pas à me faire signe; vous avez accès à un guestbook, à des commentaires et à mon courriel. Autrement, je vais définitivement devoir les jeter, et ça va vraiment m'écoeurer...
Please tell me I'm hallucinating and I didn't get an actual tan line from the strap of my shoulder bag...
F. Fiou. Anémone et moi venons de passer genre trois heures à marcher. J'adore ça.
G. Depuis un nombre effarant de semaines maintenant, j'ai un craving juste OBSESSIONNEL pour le beurre de pinotte. Sérieusement. C'est juste incroyable. J'ai commencé à raconter ça à Anémone, pour découvrir que c'est également son cas. On a même pu comparer nos comportements respectifs. Je vous le dis, c'est grave. J'envisage la thérapie.
H. Je réalise que c'est pas pratique que les gens à qui vous voudriez annoncer un truc de vive voix lisent votre blog, surtout quand il s'agit d'un truc beaucoup trop drôle pour ne pas le raconter. Mais bon, tant pis :
I. C'est moi qui ai demandé à ce qu'on fasse un arrêt dans un magasin paradisiaque sur le chemin du retour. J'en suis ressortie avec l'objet principal de ma quête, soit des grains d'espresso trempés dans le chocolat blanc (spottés il y a trois semaines pratiquement heure pour heure !), mais aussi avec des grains d'espresso trempés dans le chocolat noir et des boules de pâte à biscuits trempées dans le chocolat. Par la force de l'habitude, j'ai noué mon petit sac en plastique avant de passer à la caisse, oubliant totalement que j'allais vouloir goûter à tout ça dès que j'aurais mis le pied hors de la boutique. J'ai donc passé de longues minutes à me débattre avec mon sac pour en défaire le noeud, devant une Anémone hilare - mais j'ai réussi ! Et - miam.
Le plus drôle, c'est qu'au retour, dans la voiture, j'ai réalisé que le chocolat commençait tranquillement à fondre dans nos sacs respectifs. Pour sauver notre achat, il a donc fallu que je baisse la fenêtre, que je prenne nos sacs dans ma main droite et que je sorte mon bras de l'auto, laissant pendre le tout pour le refroidir un peu. Ya des gens qui ont sans doute été plutôt troublés en nous suivant...!
J. Je sais pas trop comment ma journée va s'enchaîner, mais pour l'instant, je vais manger un morceau, et j'ai l'intention de commencer cet après-midi à occuper ma cour arrière avec de la musique, un livre et un drink.
K. C'est toujours troublant d'entendre votre voisin discuter avec votre chat qui observe l'extérieur à partir d'une contreporte dont la fenêtre est ouverte...
A. C'est toujours surprenant d'avoir un hit du bureau un samedi matin. Courage, les filles !
B. Suis allée au ciné-parc pour la toute première fois de ma jeune vie hier soir.
(Je vous laisse ici un intermède pour vous exclamer, comme chacune des personnes à qui j'ai dû faire cet aveu dans la dernière semaine. Que voulez-vous, c'est ce qui nous arrive, quand on vient de Saint-Glinglin-du-coincoin.)
J'ai bien aimé l'expérience, le seul point négatif étant que c'est pas toujours possible de lire ce qui est inscrit à l'écran.
C. Ainsi, moi, Raiontzukai, R, V, Anémone et son copain S sommes allés voir Shrek III et Blades of Glory. J'ai vraiment adoré Shrek, qui pète vraiment toutes vos illusions concernant Lancelot, Arthur et Merlin. Mais qui compense avec des talking trees vraiment trop hots et un dragon particulièrement utile en cas de besoin. Quant à Blades of Glory, c'était bien quand même. Le genre de film que je suis habituée de voir en français, soit dans sa version particulièrement mauvaise. En anglais, c'est de beaucoup meilleur. (Ça paraît que je suis pas encore tout à fait habituée à voir systématiquement les films dans leur version originale ?)
D. Aujourd'hui, je boude parce qu'il annonce de la pluie alors que toute la semaine, Météomédia m'a promis qu'il allait faire grand soleil. C'est pour ça que moi et Anémone avions l'intention de passer la journée à vélo. Vu les probabilités d'orages, son manque de talent pour le rollerblades et l'épuisement d'autres options, nous avons finalement décidé d'aller marcher à Ottawa. Sérieusement, ya rien de plus le fun et de moins compliqué que la marche.
E. Je pourrais écrire plus, mais Anémone devrait arriver d'une minute à l'autre, donc bonne journée !

Friday, June 01, 2007

Je viens de remettre mes photos de New York en ordre - elles traînent sur ma table de cuisine depuis mon retour, attendant impatiemment que je leur achète un album-photo. J'ai toujours pas d'album-photo, mais au moins, quand j'en aurai un, elles seront prêtes à y être placées.

Bref, tout ça pour dire - Tweety : sur ma photo du Chrysler Building, on le voit très bien. C'est plutôt toi qui es subtile, cachée tout en bas, un peu à contre-jour. Faudra vraiment qu'on compare ça car ça me trouble...
Ladies and gentlement, it seems we have a regular from Ireland...

Do we? Do we really? Please say hi if we do?
Note to self : apporter un paquet supplémentaire de chocolat au bureau.

(C'est pas si pire, si on met un mois à passer à travers un bocal plein, je peux fournir le bureau en chocolat jusqu'à la fin de l'année !)
À la demande générale (car je ne suis plus la seule dans mon entourage à chasser les quotes du jour !), voici une deuxième quote du jour, dite par J, qui lisait l'article Surprise Boob Jobs! dans une revue à potins :

Coup donc, ils lui ont enlevé les joues pour les lui mettre dans les seins !
Quote du jour, prononcée par DraG qui se plaint immanquablement d'être fatigué chaque fois que je lui demande comment il va.

Quartz : C'est que tu dors pas, coup donc, ton problème ?
DraG : Pourtant, je dors. Pas toujours bien, ni nécessairement assez, mais quand même.

Dans ce cas-là, je n'y comprends rien non plus !

Thursday, May 31, 2007

Avis aux gars : une ceinture a une fonction. Une ceinture est principalement pratique avant d'être décorative. Une ceinture, ça sert à tenir vos culottes.

Voilà. Maintenant, vous pourrez pas dire que c'était pas écrit nulle part.

Je prends l'autobus jusqu'au terminus en sortant du bureau.
À l'approche du terminus, les gens commencent à se lever de leur siège et à se diriger vers la porte.

Y compris le gars assis dans le banc devant moi qui s'est levé à moitié, découvrant à ma vue un pourcentage beaucoup trop élevé à mon goût d'une paire de boxers blancs à rayures verticales noires. Le gars s'est arrêté et est demeuré en lévitation le temps de remonter ses pantalons. Pendant ce temps, moi, j'ai détourné le regard parce que bon, j'ai pas pour habitude de détailler les boxers d'un gars que j'ai même pas vu de face; cependant, quand je me suis retournée vers lui, j'ai remarqué que OUI, il portait bel et bien une CEINTURE.

Le découragement m'a fait chanceler.
Quote du jour (à propos d'une phrase contenue dans un courriel à tous qui s'adressait clairement à une traductrice en particulier) :

C : Quand j'ai lu ça, je me suis sentie visée.
Mel : Ouin, nous aussi, on t'a sentie visée !
Tears turn to steel and the wound never heals in the darkness of November

Whenever you pull out a knife and take a look at it, you can see the blade is chipped. And then you know the metal's still within you and you'll never get rid of it.

All you can do is learn to live with it.
Handicapped.

So maybe the bus driver slammed on the brake, or I fell down, or I'm riding a rollercoaster - the remains shake and leave a tiny, tiny scratch that spits out some more blood.

And then I think - it must be me.

There had to be something I lacked or did wrong for people to feel entitled to crush me over and over again. I had to have allowed them to think so little of me. I had to have demonstrated that little me didn't matter. I had to have been unable to build any sort of stronger bond. I had to have proven to be nothing more than a passer-by that no one was ever interested to see staying.

I had to have failed to show I meant to be much better than that.

Really, it had to have been me.

Wednesday, May 30, 2007

How about the new banner, people? I'm not sure whether or not I like it.

What I can say, though, is this blog is so graphically-challenged for a reason: my templating abilities are limited and graphics make a simple thing very complicated. (I mean, why would fitting the banner into a table be impossible anyway???)

Anyways, let me know.
Also congratulate Peanut who did an unbelievable job on this one.
Qui savait qu'on pouvait amasser des air miles au LCBO ?

C'était particulièrement spécial de me faire demander "Do you have Air Miles?" alors que j'achetais de la vodka.

En fait, ça m'a tellement surprise que j'en ai complètement oublié de dire au caissier que je n'avais pas besoin de sac.

Pas parce que j'avais l'intention de prendre l'autobus avec ma bouteille de vodka dans les mains, mais plutôt parce que j'utilise pour travailler une gigantesque sacoche où je pourrais sans doute entrer moi-même en entier en pièces détachées...
Hier, j'ai passé la majorité de la journée sur un texte de fiscalité. Ce qui me fait grimper dans les rideaux chaque fois. Heureusement qu'il n'y a pas de rideaux au bureau.
(La bonne nouvelle, à ce sujet, d'ailleurs, c'est que ma réviseure m'a récompensée pour mes efforts avec non pas un, mais deux petits collants.)

Ensuite, j'ai niaisé sur un foutu document qui allait tellement mal que je devais d'abord rédiger mon texte dans un autre document, puis le coller dans le document original.

Aujourd'hui, je planche sur un document qui parle de stratégie autochtone, bla bla bla... bref un autre truc qui me déplaît tout particulièrement.

Donnez-moi un verre, quelqu'un.

Ce qui me rappelle que j'ai du jus de canneberge chez moi que je dois passer avant de le perdre, et que le moment est sans doute venu d'y ajouter un peu de vodka.
Un autre moment François Pérusse parce qu'en discutant du gag que j'ai retranscrit hier avec Maridi, je me suis souvenue de cette autre phrase aussi, sinon plus, comique :

Tu me regardes de tes deux confus yeux. Me trouve-je dans ton de vision champ ou de drette à côté regarder es-tu en train ?
If, like me, you were wondering why I would not take home that extra pair of shoes that's remained in my cubicle ever since spring got here and I stopped wearing boots to work, here's our answer: it was in anticipation of today, when my knee would advise me it wasn't in any position to face heels and I would desperately need flats to make it through the day.

Rob, shut up. I know very well what you think it is I need to get me through the day. :P

Oh. And I hereby remind you that my tongue-sticking-out smileys do smile. ;)
This morning, I am thankful.

I'm thankful because it's only after we got to Ottawa that the bus doors got stuck, so we only had to walk a few extra blocks. I'm thankful because it wasn't cold, and it wasn't raining, or snowing, or whatever.

I am a little less thankful that my sandals nearly killed my feet and my knee started protesting in the process, but let's not get into that.

Happy, happy, happy...

Tuesday, May 29, 2007

More knee-related thoughts
Because speaking of uninteresting stuff makes the occasional interesting tidbits even more so


1. My first university work term was supposed to be in the Ottawa region. During that term, a bunch of us were supposed to take an appartment together. DraG and I planned on spending most of that term being bored, and we'd decided one of our entertainment devices would be jogging. It probably wouldn't have happened though, because DraG and I are both equally lazy, and our laziness hits previously unheard of peaks when we're together. Although I did start jogging when I got here, whereas DraG did not during his internship.
But anyways: this means my left knee would've died on me during my student days, when paying for physiotherapy would've annoyed me a hell of a lot.
So that's yet another reason I had to be thankful to stay on the South Shore back then.

2. About 3 weeks after I started jogging, I got this Patellofemoral Syndrome and I got arthritis in my foot.
Two weeks ago, Maridi tore a muscle in her leg bicycling.
Really, folks: just WATCH us crazy chicks take over Tunisia.
I really need to get my hands on this. Else I'm probably gonna catch a deadly virus. And die. Or something.

They were on the Archambault website a few months back, but of course now that I'm ready to pay the required crazy amount of money, they've disappeared. They're not on Amazon, they're not on Renaud-Bray; the only place I could find them was on the Chapters website, which identifies the set as "unavailable".

As for the official website linked to above, the province/state field only lists American states. Which obviously causes a problem when I try to proceed to check-out.

So I'm stuck. See Murphy's Law. See Story of Quartz's Life. See Let's Annoy the Bitch Out of Quartz Conspiracy. And stuff.

But really. If you're going to try to keep people from downloading your work, you better make it readily available to them for purchase...
À midi, je me suis vu décerné le prix de la TR-1 qui a les lunches les plus originaux.
Moment François Pérusse du jour, commandité par ma tête de linotte qui inverse les adjectifs et les noms dans mes textes, ce qui donne des perles du genre "les régionaux directeurs" au lieu des "directeurs régionaux" :

- Toé, eille !
- Tu veux quessé, fatiguant maudit ?
- Cette verte lumière, ton attention attirera-t-elle, ou l'avant-midi passeras-tu ici, dans le nez les deux doigts ?
- Les nerfs, ne ti-cul pogne pas ! Habitué suis-je à peine avec cette manuelle transmission ! Comme du monde guère plus qu'une fois sur deux, shifte-je.
- Hmmm-hmmm, m'incline-je d'indulgence et patiemment attends-je que par trouver la vitesse première tu finisses, ou perdes-je patience et toute la file de chars qui attend de la part de te coliboire-je une dont tu te souviendras taloche qui sera, pour te rendre chez vous sur le neutre, suffisante ?

Ya des gags que je pourrai réciter par coeur jusqu'à ma mort...

Monday, May 28, 2007

Vous croyez que mon habitude de parler en bébé au premier venu dont je n'arrive juste plus à me débarrasser est attribuable au fait incontestable que je vieillis et que mon subconscient fait tout ce qui est en son pouvoir pour me rajeunir ?

Vous croyez qu'il me pourrait me venir des pensées encore plus psycho-analytiques en plein milieu d'un procès-verbal ?
Each year, Tweety's birthday shocks me into realizing that I'm next.

Bonne fête Tweety !
Quote du Jour :
Proprio : Salut, Quartz, je voulais savoir si je pourrais passer mardi soir pour changer la serrure de ta porte ?
Quartz : Euh, oui, il devrait pas y avoir de problème...
Proprio : C'est que je vais poser dans chaque appartement des poignées qui se barrent pas.

Pensez-y.

Sunday, May 27, 2007

Je suis plutôt anti-loto, mais ça ne m'a pas empêchée d'embarquer dans le groupe du bureau, ni de suivre l'idée d'E, hier soir, quand il nous a proposé d'aller acheter des 6/49 en gang pour le tirage de 27 M$.
C'est pour ça que quand j'ai ramené Mel chez elle, on discutait de ce qu'on ferait avec autant d'argent - et Mel a dit qu'elle retournerait dans sa région.
C'est là que j'ai allumé : advenant un gros coup d'argent, tous mes amis retourneraient à la région qu'ils ont quittée pour accepter leur emploi ici. C'est pas une éventualité que je trouve très intéressante, par conséquent : ARRÊTEZ IMMÉDIATEMENT D'ACHETER DES LOTOS, TOUT LE MONDE !



Because I'm looking for excuses to get myself out of cleaning up my appartment today, because it just occured to me I haven't posted any NYC pic and because I absolutely need to update you guys on my life plan of traveling the world searching for as many Egyptian temples as possible to strike my My Strongest Suit pose in - first picture is the Dendur Temple found in the Metropolitan Museum of Art. As for the second picture, it was taken on the Brooklyn Bridge - which obviously isn't an Egyptian Temple, but Tweety said it was close enough and I don't argue with Tweety because she's so much taller than me. (Do notice the Black dude in the background who's totally cracking up.)
I hereby introduce to you the banner designed by Peanut for Quartz's Song - this is tentative implementation v1.1, and no worries, it will be improved significantly very soon.

Peanut - pourrais-tu me renvoyer l'image en plus gros ? Je veux que la bannière prenne plus de place que ce que tu avais prévu, et comme tu le vois, la qualité graphique de l'image agrandie est, euh, pas mal mauvaise.
Quant au parchemin, je cherche encore la façon la plus jolie de l'ajouter au template.
Social correctness, interactions and cues confuse me. They just don't make sense to me, which is why I usually follow people's lead on them.

To me, the problem is, nobody ever actually says what they think - they drop clues and expect others to pick them up and make sense of them. Well, I suck at that, and after a while, I always end up with hundreds of different interpretations to choose from, which is totally exhausting.

The best solution I've worked out is walking up to people with one of those many interpretations laid out and saying: "I don't know whether this is what you're trying to tell me or expecting from me, but it's not getting through, so you really should tell me straight up."

It works out pretty good with people who are not professional pretenders.
Pretenders will look away from your casual efforts and make it impossible for you to lay the problem out in front of their eyes. They'll make it so you look like this completely paranoid person when you do - denying is really the easy way out.

So it doesn't work with you. I've tried, repeatedly, I've given you time to seize every opportunity, I've even made them up, but what you want is pretending. Which is so damn deceiving - I so dearly wanted you to be better than that.

I don't think you know pretending something's not broken doesn't fix it. We're changed, and that's a fact. I don't think you understand friendships need maintenance. I don't think you get that I can't just stand here and wait until you have time to remember me.

I just don't think you're ever going to learn.
Ce matin, je suis allée courir à la pluie.

Je sais : qui êtes-vous et qu'avez-vous fait avec Quartz ?
Même moi, je me reconnais plus trop.


Comme il annonce de la pluie toute la journée aujourd'hui, mais qu'il ne pleuvait pas quand je me suis levée, j'ai décidé d'aller courir pendant que je le pouvais. Sauf qu'aller courir, quand vous êtes handicapée, ça demande un surplus de préparation, soit 5 minutes d'étirements - si bien que quand j'ai fini par mettre les pieds dehors, quelques petites goutelettes tombaient légèrement.

Je me suis arrêtée net, extrêmement déçue. Mais comme il pleuvait à peu près pas, que je venais de perdre 5 longues minutes de ma vie à m'étirer et que je ne tolère plus que ma vie soit régentée par des trucs indépendants de ma volonté (lavabo, météo, genou, imbéciles et hypocrites), j'y suis allée tout de même.

Évidemment, la pluie a pris des forces assez rapidement et j'ai quand même dû raccourcir mon trajet, mais bon.
Okay, this is too weird and geeky for me! (through Rob)