Saturday, February 04, 2006

You moved like honey in my dream last night
Yeah, some old fires were burning
You came near to me and you endeared to me
But you couldn't quite discern me
Does that scare you? I'll let you run away
But your heart will not oblige you
You'll remember me like a melody
Yeah, I'll haunt the world inside you
And my big secret - Gonna win you over
Slow like honey, heavy with mood
I'll let you see me, I'll covet your regard
I'll invade your demeanor
And you'll yield to me like a scent in the breeze
And you'll wonder what it is about me
It's my big secret - Keeping you coming
Slow like honey, heavy with mood
Though dreams can be deceiving
Like faces are to hearts
They serve for sweet relieving
When fantasy and reality lie too far apart
So I stretch myself across, like a bridge
And I pull you to the edge
And stand there waiting
Trying to attain
The end to satisfy the story
Shall I release you?
Must I release you?
As I rise to meet my glory
But my big secret
Gonna hover over your life
Gonna keep you reaching
When I'm gone like yesterday
When I'm high like heaven
When I'm strong like music
'Cuz I'm slow like honey, and
Heavy with mood


In a sense, your ability to keep people around you without having to cling onto them teaches you a great deal about your worthiness as a person.

Friday, February 03, 2006

4. Je crois avoir identifié le numéro marmonné par la dame aux 3 mois de Nautilus gratuits sur mon répondeur. Au bout de deux semaines, pas mal quand même.... Ça a aidé quand ma mère m'a dit avoir envoyé le coupons à un truc appelé Nutriforme. J'ai réussi à trouver un numéro d'un truc de santé naturelle à La Prairie avec les pages jaunes. J'appellerai ce soir, et faudra aussi que j'appelle Galia car j'aurais vraiment besoin d'une copinette d'entraînement, surtout une qui sera capable de m'agripper par les cheveux et me traîner au gym le soir si besoin est.
5. J'ai relu ma propre traduction ce matin. Ça adonnait bien puisque, sinon, je n'ai pas accès à la révision à moins d'aller vérifier dans le réseau les modifications qui ont été apportées. C'était pas la gloire, il y avait plus de corrections que je l'aurais cru, mais point de vue sens, tout était là. J'avais surtout des corrections au style, ce qui, comme c'est la première fois de ma vie que je fais du juridique, est pas vraiment étonnant. Donc je crois que tout va plutôt bien pour le moment.
6. Finalement, Tweety, Matinée et Jo ont refusé ma sortie de samedi soir. J'ai pas vraiment envie de me pointer là seule alors j'irai pas non plus.
Je retire ce que j'ai dit. Pas eu de nouvelles de Relecteur qui m'avait dit vouloir finaliser un autre texte avant de continuer ma lecture en mot à mot... Faut croire que l'autre texte était plus long que je ne le croyais. Tant mieux. J'ai lu 10 pages en une heure ce matin, pour vous donner une idée, et le truc, bon, je ne l'ai pas vu au complet, mais il doit compter une bonne cinquantaine de pages. Donc, à ce rythme-là, pour sauver ma pauvre gorge, j'aime autant étaler la lecture sur plusieurs jours.

Alors j'ai commencé à prendre des notes pour mon rapport de stage. J'ai pas beaucoup travaillé encore, mais bon, j'ai quand même pas mal de trucs à dire...
1. Je passerai la journée d'aujourd'hui en relecture. Encore un paquet de feuilles à lire au mot à mot. C'est là que je remercie le ciel de pouvoir lire rapidement et de pouvoir parler rapidement.
2. En revenant à mon bureau, j'ai trouvé un appel en absence sur mon cellulaire, mais pas de message vocal. En tapant le numéro sur Google (vive l'afficheur), j'ai découvert que c'est un monsieur du Bureau de la traduction à Ottawa qui m'a appelée. Ça a peut-être un lien quelconque avec mon T4, enfin, c'est un peu troublant.
3. Je m'étais inquiétée, hier, en ne recevant de confirmation du versement de ma paie dans mon compte. Pourtant, elle est bien rentrée. Je l'ai reçue aujourd'hui, avec un post-it m'expliquant qu'elle avait été envoyée par erreur au bureau d'Ottawa.
Quand je disais qu'à entendre parler ma mère, c'était à croire que des trucs se passaient tous seuls sur son ordinateur sans qu'elle n'y touche....

Mom : Ah, tu te souviens quand je te disais que ma barre avec précédente, suivante et tout ça avait disparu ?
Quartz : Oui.
Mom : J'ai découvert finalement pourquoi, j'avais cliqué sur quelque chose....

Je n'ai pas pu m'empêcher de rire et de lui dire que je m'en étais douté !!!

Hier, ma mère avait déplacé l'icône d'Internet Explorer de la barre Quick Launch au bureau et n'arrivait pas à l'y remettre. J'ai été plutôt surprise parce que c'était à la fois un problème véritablement chiant à résoudre pour un néophyte (et je parle d'expérience, la première fois que mon père m'a fait le coup, j'ai voulu le tuer) et aussi très simple à résoudre par téléphone.

Je crois bien que ma mère commence à s'améliorer sur l'ordinateur. Je suis impressionnée, et je reprends espoir.
Ah, zut, j'ai oublié de prendre ma multivitamine ce matin...

Et je tiens à souligner que, ce matin, Peanut et moi avons été légèrement en retard pour rejoindre Concierge parce que, tenez-vous bien, Peanut se préparait. Oui-oui. Moi, j'étais prête et j'attendais après lui.
Today I'm a bad girl. If it has to be defined in terms of black and white, today is going to be black.

[...] although I know [it] isn't the answer, I can never forget the tricks I learned on the other side.

And I figure, if I'm in control, and I mostly am now, where's the harm?

Thursday, February 02, 2006

Si ya quelque chose de plus drôle que Marc Labrèche maquillé en noir qui parodie Normand Bratwaite, je demande à voir...
En écoutant vaguement Les missions de Patrice (d'accord, ici, je me dois de commander une minute de silence pour que nous appréciions tous ensemble le savoureux jeu de mot), j'ai eu la chance d'entendre un sexologue-neurologue qui a affirmé que les femmes étaient plus enclines à tomper leur mari pendant leur ovulation.

Voilà !

Ajoutez à ça l'existence des laisses auxquelles j'ai fait un lien il y a quelques semaines et on vient de régler un gros problème !

Autre chose ?
Ma mère m'a envoyé un message texte pour me demander de l'appeler ce soir car elle a de la misère avec l'ordinateur.

Au début, j'avais espoir qu'un jour ma mère apprendrait à se servir de l'ordinateur. Maintenant, je sais que c'est peine perdue. Ma mère voit l'ordinateur comme une machine dont il faut apprendre à se servir d'une manière précise. Si je lui montre à faire un truc et qu'elle oublie une étape, elle n'essaiera pas quelque chose par elle-même. Pour elle, chaque étape doit être exécutée de façon précise, sinon.... sinon, je ne sais pas, probablement que ce sera l'apocalypse. Ma mère manque aussi complètement de compréhension machine et de capacité de généralisation. Elle sait qu'on peut cliquer avec le bouton droit ou gauche de la souris, mais elle n'a toujours pas compris la différence entre les deux. Pourtant, je lui ai répété au moins 5 fois que le clic droit fait sortir des options sur l'objets cliqué. Oubliez ça : quand je lui dis de cliquer sur un truc, elle me demande invariablement avec quel bouton. Finalement, et ça c'est franchement le bout comique, ma mère n'a aucune notion de la conséquence de ses actes sur l'ordinateur. Quand ma mère essaie de faire quelque chose - car ça lui arrive, je lui ai répété à maintes et maintes fois que si elle scrapait Windows, j'allais tout lui arranger - elle n'essaie pas vraiment de comprendre ce qu'elle fait ou ce qui est écrit - elle clique au hasard et est déboussolée par le résultat à l'écran. Et quand ensuite elle m'en parle, c'est vraiment drôle : c'est à croire que quand elle s'assoit devant l'ordi, les choses arrivent, comme ça, sans raison ! Il se passe vraiment un paquet de trucs incompréhensibles de façon automatisée sur cet ordi-là ! Incroyable !
Les marées lumières.

Parce que j'ai toujours rien de mieux à faire au boulot que de voguer de blog en blog...
Pendant une grosse demi-heure, je me suis sentie professionnelle. Tout comme le dernier cours de physique, quand je me suis mise à faire mes exercices, m'a rappelé pourquoi j'avais choisi d'étudier les sciences, mon bref épisode de travail de ce matin m'a rappelé que j'aimais travailler. Une chance, parce que je commençais à croire que j'allais passer le restant de mes jours à me complaire dans mon état présent d'attente de travail quelconque.

Comme je l'ai déjà dit, j'ai reçu un e-mail ce matin m'avisant de modifications à venir sur la traduction que j'ai fait hier. Quand les modifications sont rentrées, j'ai dû aller discuter avec Adjointe qui m'a expliqué la marche à suivre dans ce cas-là, et j'ai passé quelques minutes à me promener pour aller récupérer les différents trucs à imprimer (à l'imprimante habituelle, puis à l'imprimante couleur), ensuite j'ai dû créer une nouvelle version de mon documents, y apporter les modifications et le ré-imprimer, remettre le tout dans la chemise et rapporter le tout sur le bureau de Directrice. Je me suis rassise à mon bureau pour recevoir un coup de téléphone d'Adjointe qui m'annonce qu'une autre légère modification a été apportée au document... Re-imprimage, re-nouvelle version, re-modification, re-imprimage et re-portage du tout sur le bureau de Directrice.

J'ai aussi profité de ce bref moment de travail pour aller faire signer ma feuille de temps (par une personne beaucoup moins volatile que Directrice, ce sera donc la deuxième feuille de temps que je remets à la date, et c'est franchement aussi bien parce qu'on a m'a averti au début de la semaine que si je les remets trop en retard, elles ne seront pas portées sur mon chèque de paye...), la mettre dans une enveloppe et déposer le tout dans le Out Basket de la messagerie interne.

Maintenant, il est onze heures et je retourne à mon état végétatif...
Je viens de recevoir un e-mail de l'adjointe de Directrice, qui me forwarde un e-mail où on nous apprend que des modifications ont été apportées au texte que j'ai traduit hier et qu'on nous enverra la nouvelle version dès que possible. Donc, espérons-le, aujourd'hui.

En temps normal, ça me gosserait, mais bon, je prends ça comme une promesse comme quoi j'aurai un peu de travail aujourd'hui !
AAB: Ah ! Je n'arrive pas à croire que je n'ai pas réussi à voir dans ce nom de host-là le délicat sens de l'humour typiquement geek...
Peanut ne prenait pas son auto aujourd'hui pour aller travailler; j'en ai donc profité pour dormir 45 minutes de plus, faire des rêves vraiment fuckés et arriver un quart d'heure seulement en avance au bureau. J'ai tellement minuter le timing des métros depuis que je suis à l'université que, sans regarder ma montre, j'ai su quelle heure il était quand je suis arrivée au bureau.

Autobus, 8 h 15, arrivée au métro, 8 h 25, premier métro, 8 h 30, deuxième métro, 8 h 35, arrivée au bureau, 8 h 45.

En me dirigeant vers les ascenseurs, un messager est entrée dans l'immeuble. J'ai failli éclater de rire encore une fois : Tweety, tu te souviens du sosie de River Phoenix qu'on apercevait souvent au cégep ? Eh bien il est apparemment messager à Montréal, maintenant....

Hier soir, j'ai écouté un peu mon CD de Tori Amos et j'ai plongé dans le livret de paroles pour savoir ce qui était dit dans le dernier couplet de Leather... Il n'y avait qu'une ligne que je ne comprenais pas du tout. Selon le livret, elle dit "He had a nice big fat cigar". Je m'étonne de ne pas avoir compris, après tout, c'est de l'anglais plutôt de base, mais bon.

Je remets la chanson... et j'ai compris pourquoi je n'arrivais pas à identifier les mots qu'elle disait pour cette ligne-là.... Parce qu'elle la chante comme si elle avait un cigare dans la bouche, donc ça donne un truc du genre "he had a big nishe fat shigar" et bon, c'est pas évident !

Wednesday, February 01, 2006

I know, I know, but it doesn't change a thing.
Je pensais connaître la majorité des FAI au Québec, mais apparemment, je me trompais. J'ai découvert aujourd'hui qu'un de mes visiteurs plus ou moins régulier est avec Rocler. Qui avait déjà entendu parler d'eux ? Pas moi, en tk.

En raccordant les IP à des hosts, j'ai obtenu un aybabtu.matrox.com. Selon mes sources, AYBABTU est l'abbréviation de "All Your Base Are Belong To Us", ce qui me laisse plutôt songeuse. Quant à Matrox, les seules références que j'ai parlent de cartes graphiques et trucs du genre. En gros, ce host-là est tellement absurde que... eh bien, ça m'amuse.
Will you believe me if I tell you I just spent an hour and a half on an actual translation?

I can hardly believe it myself.

I can also hardly believe that it's been a few days since the last time I got somebody trying to sell me medication on my guestbook. Looks like there's hope.
Bon, eh bien ça a l'air que je n'aurai pas mon abonnement au gym. Ce qui, étant donné ma motivation à faire quoi que ce soit ces temps-ci, surtout passer une coup de fil, ne me dérange pas du tout. J'ai essayé de noter le numéro de téléphone qu'a laissé la dame sur le répondeur, et franchement, je suis pas fière d'elle. Je suis pas télémarketeuse, moi, et je répète toujours mon numéro deux fois en détachant les chiffres, quand je laisse un message. Pas elle. Elle l'a dit une fois en quatrième vitesse. Résultat ? Pas trop certaine du numéro. J'avais deux options, et après vérification sur le site Web des pages jaunes, ma première option me dirige vers un truc de serrurerie à Saint-Hilaire et l'autre n'existe pas. Par conséquent....
J'ai jamais été bonne pour retenir les noms des gens, et je contre cette incapacité psychologique en leur trouvant simplement des surnoms temporaires, le temps que j'apprenne leur nom. La liste n'a pas de fin : Youpy, Marketing, AmideMaths, M. Micro, etc. Ce qui m'a toujours troublé, c'est que les gens adoptent mes surnoms très rapidement.

Grébiche, qui vit dans mon immeuble, ce n'était pas ma création. C'est Concierge qui l'a traitée de grébiche une fois, et à force de l'appeler «la grébiche», on en est venu à l'apeller Grébiche tout court quand on était entre nous.

Or, l'autre matin, alors que je proposais un surnom pour une autre personne (parce qu'on crée de la confusion dès qu'on se met à parler de cette personne-là et que ça prend toujours 5 minutes avant que tout le monde sache de qui on parle), Concierge s'est réécrié : «Ah non, mauvaise idée.... l'autre jour, j'ai failli appeler Grébiche «Madame Grébiche»...»
Has anybody noticed I've gotten increasinly vulgar lately? I mean take the "fucking freezing" below. That would classify amongst "unnecessary", wouldn't it?

Oh well.
Réviseure est venue vérifier un truc avec moi concernant la deuxième traduction que j'ai faite, et elle en a profité pour me dire qu'elle n'avait pas relevé d'erreur. Bien sûr, c'était une simple lettre de remerciements, donc rien de vraiment difficile, mais ça fait toujours plaisir de savoir qu'une traduction se rendra au client exactement comme nous l'avons rédigée. Surtout que ça arrive pratiquement jamais.

Ça réchauffe un peu intérieurement, mais je lui aurais pas dit non si elle avait offert de faire quelques jumping jacks en guise de félicitations.
Now would be a good time for you genuinly devoted to me people to once more come up to my office and do jumping jacks in order to raise the temperature a notch. I am fucking freezing. I closed the door and put on my scarf, but it doesn't seem to be working.
YESSSSSSSSSS! YESSSSSSSSSS!

The search feature is back to the dashboard!!!!

Thank you, thank you, thank you!

This is even more of a happy, happy, joy, joy moment because I was logging in hoping to check a post I had written a little while ago. I can't remember what it was now, but still.
Quelqu'un est arrivé ici en faisant une recherche sur google avec les mots «cuisine» et «quartz». J'en conclus que ya beaucoup plus de gens que je ne le crois qui attendent avec impatience mon livre de recettes...!
J'arrive au building où je travaille. Je me dirige vers les ascenseurs juste au moment où j'entends le «ding !» signifiant qu'un ascenseur vient d'arriver. Il y a déjà à peu près 5 hommes et une femme qui attendent. J'arrive juste à côté de l'ascenseur, mais comme ils étaient tous là avant moi, je préfère attendre qu'ils aient tous entrés avant de les suivre.... Ainsi, si l'ascenseur se révèle trop plein et qu'une personne doive attendre le prochain (hier soir, j'ai attrappé le troisième, c'est vraiment incroyable), j'aimais mieux que ça soit moi plutôt qu'une des personnes qui attendait depuis quelques minutes.

Voilà, mais j'avais oublié cette supériorité génétique : je suis une fille. Par conséquent, des trois hommes qui se trouvaient près de la porte d'ascenseur, un est entré, un autre n'a pas bougé du tout pour que je passe avant lui et le troisième a fait un pas, a vu que je n'allais pas passer devant lui et s'est arrêté en tenant la porte d'ascenseur pour que j'y aille d'abord. J'ai capitulé, sinon on y serait encore. Mais quand même. J'ai été impressionnée.
At first I used MSN Web Messenger, until it was blocked. So I turned to Emessenger, which started crashing two days ago. I tried Web Messenger again, and suprisingly, it wasn't blocked anymore.

This morning it is blocked again.

Yay Emessenger.

Tuesday, January 31, 2006

Si j'ai bien compris, c'est vers 3 h que les journées sont à leur point le plus difficile. Plus que 2 h. D'ici la fin de mon stage, je serai devenue complètement paresseuse.
I don't know where the modified versions come from, and I swear I'll keep it all to myself, but everyday I see more lies being uncovered and if I wasn't clenching my jaw so hard I'd scream.
I understand more than I thought I would, but I can see much more than you'd think I could.
I should tell you, I should tell you
I should tell you - No!


It makes me sad that you can't see the consequences - but how could you when you never got to see the causes.

It makes me crazy to see you like this. I wish I could just shake you sane, because damn it, you're fucking missing the point. Instead I just back off and pretend that you don't need help, because in a sense I know what it is to need help but not want any. And it seems to have worked well for me anyway.

It makes me to furious to have, everyday, the confirmation that it wasn't meant to be this way. Really.
A. Merci public à Peanut qui m'a prêté ses écouteurs pour soulager mes pauvres oreilles souffrantes.
B. Presque une heure de relecture ce matin. Y a-t-il de l'espoir ? Je ne sais même pas. Mais depuis que j'ai de la musique, tout va mieux. J'ai pas contre découvert qu'un seul CD pour passer la journée, c'est un peu difficile. Je peux passer des mois, voir des années, à écouter le même CD à répétition chez moi, mais toute la journée, ça devient rushant. Je me suis traînée 4 CD aujourd'hui, et j'ai bien l'intention de ressortir un paquet de vieux trucs...
C. MSN Web Messenger est définitivement pas mieux que Emessensger. C'est même plutôt troublant.... Parce qu'Emessenger permet d'afficher une photo, d'envoyer des wizz et d'afficher les contacts de différentes façon.
Mais... Tweety.... j'ai jamais dit le contraire ! Si j'ai laissé entendre que mon avis sur É était l'unique bon, je suis désolée car ce n'est pas du tout ce que je crois, j'aime simplement expliquer mon opinion sur les gens et toi aussi je crois.... donc pour moi ça se limite à ça : de l'explication. Et au fond la seule raison pour laquelle j'insiste qu'il n'était pas un nul, c'est pour contrer ton affirmation comme quoi ya que des nuls qui s'intéressent à toi... Enfin ! Sujet clos, j'imagine !

Tant qu'à te parler, par contre : fais-tu quelque chose samedi prochain, toi ? Une amie d'une amie (ça vient compliqué, mais tant pis) a loué un bar pour la fête de son chum et elle essaie de le remplir... Je suis invitée et je peux inviter autant de gens que je veux, donc j'ai pensé à toi et à Matinée et Jo, ainsi qu'à Galia si elle ne travaille pas... Je vais aussi leur dire d'inviter des gens de leur côté si ça leur tente. Ça tient aussi pour toi, si des sherbrookois sont intéressés à sortir à Montréal (tiens, ça serait le moment d'inviter le Chat botté, non ? (je fais ce que je peux en fait de surnom, moi...) Enfin, donne-moi des nouvelles le plus rapidement possible, moi j'aimerais bien y aller, on aurait tout à nous, le DJ, le karaoké et les spéciaux. Il risque d'y avoir un cover de genre 5$.

Hier soir, moi et Peanut sommes tombés sur le show d'Éric Salvail, On n'a pas toute la soirée, le fameux show à propos duquel j'ai rêvé des mauvaises critiques avant même que la première n'ait passé. J'en avais pogné un bout la semaine passée et c'était vraiment plate. Hier soir, Peanut voulait voir de quoi ça avait l'air, et au bout de 3 minutes, il était déjà en train de me demander à quoi ça servait des shows inutiles de même. Sauf que c'est comme Ramdam : extrêmement mauvais, mais on n'est incapable d'arrêter de l'écouter. C'est comme ça qu'on a écouté Mitsou chanter de ses vieux classiques, et là, je me suis souvenue que j'avais bien eu une passe Mitsou au primaire... Je l'avais oublié ! Probablement pour me protéger, mais quand même.... Je me souvenais uniquement que j'avais une fixation sur «La corrida» quand j'étais toute petite et que mon but était de la chanter aux Mini-stars de Nathalie... C'est jamais arrivé, évidemment, quel parent responsable laisserait sa petite fille chanter à la télé Touche mon coeur de ta lame, tu verras à quel point je suis femme...

Mais maintenant que j'y pense, ça devait être une propension génétique, après tout je me suis reprise en audition avec Dance: 10; Looks: 3 et La monture. Mais bon. Mieux vaut être salope sur scène que dans la réalité, non ?

Monday, January 30, 2006

GOD does this day ever end???
Brought to you by an extreme lack of anything-to-do at work is today's list of interesting blogs (90% French, sorry) I stumbled upon recently:
1. Why Don't We Get Drunk and Blog?. Indeed. I can't find a good answer for that one.
2. J'écris parce que je chante mal. On se trouve les excuses qu'on peut, après tout.
3. Le blogue de Patrick Lagacé. J'aime pas vraiment le Journal de Montréal, surtout parce que c'est Québecor et du sensationnalisme à la pelle. Je le lis quand même quand j'y ai accès, parce que j'ai pas la patience psychologique de lire quelque chose de sérieux comme La Presse. Bref. J'aime quand même Patrick Lagacé, qui a sa chronique dans le Journal de Montréal, c'est une des chroniques que je lisais religieusement à chaque matin en déjeunant quand je travaillais au café.
4. [...]. Jamais pu vraiment déterminer le titre, mais bon, c'est ce qui apparaît dans la barre de la fenêtre d'Internet Explorer...
5. La ville s'endormait. Ya des gens qui ont le don de raconter leur vie de manière à ce que ça soit intéressant.

There are others, but they'll be for another day when I have nothing to do...
La journée d'aujourd'hui est vraiment pénible. Heureusement que j'ai décidé sans trop m'en rendre compte que j'allais bien.

J'ai fait un gros 50 minutes de relecture ce matin. J'ai passé tout le temps à buter aux 3 mots. Je suis allée porter ma traduction en révision. J'écoute mon CD d'Ariane Moffatt et j'envisage d'aller acheter son premier. Mes écouteurs me font mal aux oreilles, si bien qu'au bout d'une heure, je les mets simplement autour de mon cou et je monte le volume pour entendre les chansons assez clairement. Et j'attends que le temps passe. J'ai eu une visite d'un stagiaire qui faisait son arrivée aujourd'hui. Et aussi de Formatrice qui a installé une mise à jour de Outlook. Excitant, n'est-ce pas ? Je devrais peut-être abandonner la traduction et faire de l'argent avec mes prédictions (voir plus bas). J'ai réussi à deviner l'heure à laquelle Rob s'était levé, l'autre jour. Avec un peu de pratique, je pourrais devenir tout à faire médium.

Sinon, Tweety, je soutiendrai toujours que É était pas nul, bon.... C'était pas un génie ou quoi que ce soit, mais bon, n'importe qui avec qui je peux avoir du fun comme j'en ai eu avec lui ne mérite pas l'appellation de nul, bon. Il avait de grands problèmes d'estime de soi et il sortait n'importe quoi pour faire rire les gens, mais bon. Enfin.

Il est 3 h 02, plus qu'une heure et cinquante-huit minutes !
S'il y a un truc que j'aimerais que les gens comprennent, c'est que les choses, la majorité du temps, n'«arrivent» pas toutes seules. Généralement, on choisit nos actions, on choisit donc de faire «arriver» les choses.

Et dire qu'on se demande ce qui va «arriver» ou qu'on ne savait pas que telle chose «arriverait», c'est vraiment tomber dans le haut niveau de déresponsabilisation.

Dire que les choses arrivent toutes seules, qu'on laisse aller les choses et ce genre de truc, c'est une bien piètre excuse pour ne pas avouer qu'on ne veut simplement pas s'arrêter à réfléchir. C'est plutôt hypocrite et, surtout, c'est se mentir à soi-même. Et vraiment, si on veut se mentir à soi-même, d'accord, mais la moindre des choses, c'est au moins d'en être conscient.
This is almost as funny as it is annoying. I wonder when my predictions will stop becoming true.

You might get to overrate your importance as a person while you're comfortably hiding in the world you have to make up because the real world doesn't validate your illusions, but you can't force the outside world to care.

Trying to pull others into your world, or trying to interact with the outside world from your little haven only results in pain for those you love, but the choice is yours: stay in or get out and never return.

Masks work out as long as they're believed to be true because they look out of the ordinary, and of course they are, but they lose all charms when they fall down because they're purely lies - and they always do fall down. Twisted ideas made up to create what reality doesn't allow for vanish. But nothing can change the facts, you can never have what you're not willing to make sacrifices to get, and you can never take away what you wish you had from those who have it.

You weren't worth half the time wasted on you.
Eh ben.

L'autre semaine, je suis arrivée et MSN Web Messenger était bloqué. Depuis ce temps-là, j'avais recours à Emessenger. Qui s'est mis à planter aujourd'hui... J'ai donc réessayé Web Messenger sans trop y croire et.... oui ! ça marche ! Il n'est plus bloqué !

Mais comment ça ???
You don't give yourself credit for how strong you are. (Ally McBeal)
J'ai eu droit à un paquet de belles quotes du jour en fin de semaine... Elles étaient probablement plus drôles sur le moment et avec le visage de la personne, mais quand même :

1. Matinée (alors que j'envisageais à voix haute de ne fournir aucune aide à Peanut quand on déplacera le bureau d'ordi, meuble qui, en pièces détachées, a donné du fil à retordre aux livreurs, qui devrait donc peser une bonne tonne) : C'est une bonne idée... Comme ça, la prochaine fois qu'il vivra une belle relation, avant de tout foutre en l'air, il va peut-être se dire "ouin... les meubles sont lourds..."
2. Matinée : Moi et Jo, on n'a tellement rien en commun, si on s'aime pas, on n'a plus rien à se dire.
3. Peanut : Non, vraiment, c'est.... (mouvement de tête inspiré) aberrant.
4. Peanut : Hé, regarde l'immeuble en face, on dirait qu'il a des yeux de démons...
5. Peanut : Est-ce qu'on s'achète une maison l'année prochaine ?