Saturday, April 07, 2007

This time around, Tweety and I plan on having something to do during the 7-hour bus ride to NYC, as well as to spend time before going to bed each night. Which is why we'll be carrying our mp3 player (et AYOYE qu'il y aura pas d'Evanescence sur le mien; après avoir passé tout le trajet New York-Albany à en entendre à cause du chauffeur, la dernière fois, j'ai véritablement eu un traumatisme et ce n'est que dernièrement que j'ai recommencé à en écouter !) and plan on carrying a book.

I'm not sure exactly what book to pick, so I'm asking for suggestions. It has to be a book that's readily available in "pocketbook" format, though; I have no preference for French or English; I like suspense (Mary Higgins Clark), humour (Douglas Adams) and fucked up (Prozac Nation, Amélie Nothomb). Oh, and I would like for it to be over 200 pages because I read quickly. So suggest away, folks.
Tweety et moi possédons maintenant nos billets pour New York City. Le plus gros est fait ! On s'est aussi arrêtées au Tim Horton's pour réviser ce qu'on compte faire pendant le voyage, et on a résolu de s'arrêter dans un sexshop qui vend apparemment des trucs vraiment très drôles - je ne donne pas plus de détails parce que nous avons convenu d'organiser chacune de notre côté un souper entre amis à notre retour, lequel sera sans doute le truc le plus divertissant du monde !

Ce qui m'amène à me promener sur quelques sites à mon retour, et donc, Tweety :

1. Les activités au jardin botanique de Brooklyn se déroulent jusqu'à 18h le dimanche. Comme tu l'as vu, les heures des activités du voyage organisé de R et V ne sont pas spécifiées (je vais discuter avec elle pour voir si elle peut avoir plus de détails), mais leur visite du Walt Disney Store est après le diner et avant quelques autres activités avant leur départ; leur heure de départ est 14h. Par conséquent, j'estime qu'ils seront au Walt Disney Store entre 12h30 et 13h30; on pourrait donc visiter avec eux (quitte à poirauter un peu dans le coin en les attendant) et puis disposer de suffisamment de temps pour aller visiter le jardin botanique ensuite. Au pire, on peut faire notre marche sur le Brooklyn Bridge au retour. Sans oublier de bien compter notre temps puisqu'on doit être au théâtre à 19h. Enfin, c'est ce que je propose pour le dimanche après-midi.
2. La visite guidée de l'ONU dure entre 45 minutes et 1 heure, ce qui me conviendrait, au coût de 13$ pour les adultes et 8,50$ pour les étudiants (je précise les deux prix puisque je ne sais pas s'ils acceptent les cartes étudiantes canadiennes). Qu'est-ce que tu en penses ? On pourrait même y aller le dimanche matin; ça ouvre à 10h. Les visites en anglais se donnent aux demi-heure; l'horaire varie pour les autres langues.
3. Le Metropolitan Museum of Art est fermé le lundi; il ouvre à 9h30 les autres jours (hé ! une autre option pour le dimanche matin !!!), pour fermer à 21h les vendredi et samedi, et à 17h30 le reste du temps. Comme Nana disait, l'entrée fonctionne par contribution volontaire et ils nous incitent à donner le montant suggéré, qui est de 20$ pour les adultes mais oh ! de 10$ pour les étudiants !
4. Un petit Américain bête m'a envoyée sur ce site pour localiser le Walt Disney Store. Il y en a deux, et il me semble logique que R et V aillent à celui sur Fifth Avenue (je vais tout de même lui demander si elle peut se renseigner auprès de son agence de voyage pour avoir une adresse et une heure, ça simplifierait grandement les choses !). Le deuxième est situé sur Colombus Avenue.

Sinon, Tweety a évoqué la possibilité d'un VOYAGE pour l'an prochain, soit le fameux VOYAGE Angleterre-Irlande-Écosse de genre un mois dont nous avions déjà parlé.
Ce qui veut dire que je risque fort de prendre un minimum de vacances cette année afin de pouvoir les reporter pour ce VOYAGE-là... Woohoo !

Friday, April 06, 2007

Dans le désordre parce que le foutu internet poche qu'ont mes parents (et le temps que la page de Blogger met à loader) suffit à me passer l'envie de rédiger de longs posts organisés :

1. Pour la dernière fois de ma vie sans doute, je retirerai un bon montant d'impôt cette année. J'ai demandé à ma mère si elle voulait repartir à Madrid; malheureusement, ce sera pas pour cette année puisqu'elle retourne à l'école.
2. Je me demande quand même ce que je vais faire avec mes vacances cet été. Je vais mourir d'ennui si je viens passer une semaine à Montréal - mais je vais sans doute mourir d'ennui si je passe une semaine en Outaouais aussi.
3. Les presque trois heures de route avec Sambuca se sont bien passées, finalement. Sambuca n'a pas peur en auto, elle apprécie plutôt l'occasion de chialer. Disons que la première demi-heure a été longue et pénible, mais ensuite, elle dormait d'un oeil.
4. Suis allée faire du jogging hier soir en revenant du cours de danse, et je me suis encore réveillée avec le genou qui m'élançait ce matin. C'est de plus en plus sacrant. Je vais essayer d'accrocher Em sur MSN dans les meilleurs délais pour lui demander : devrais-je voir un physio ? un chiro ?
5. En tk, c'est à cause de cette douleur que je ne suis pas allée courir avant de partir de chez moi ce matin. Ayoye que ça m'écoeure.
6. Demain : achat des billets d'autobus pour New York. J'ai hâte !
7. Aujourd'hui : petit coup d'oeil à jeter aux plans pour New York et aux avantages et inconvénients de l'éventualité d'emménager avec Maridi, son chum et Mel.

Thursday, April 05, 2007

Quote du jour, dans la catégorie jamais-j'aurais-cru-entendre-ça-dans-le-cadre-de-mon-travail :

Je le sais que tu m'imagines tout nu, maintenant.

On a établi que ça suffisait sans doute à fonder une plainte de harcèlement sexuel !!!
J'ai croisé A en revenant du bureau tout à l'heure. La période d'inscription pour les cours de danse du printemps est terminée, mais elle compte essayer d'appeler à la ville la semaine prochaine pour tenter d'y participer quand même. Ce qui serait très cool.

Comme je suis beaucoup trop gênée pour mon propre bien et que je déteste aller cogner chez mes voisins, j'en ai profité pour lui demander tout de suite de s'occuper de Sambuca pendant mon voyage à New York. Faudra quand même que j'aille cogner pour lui donner ma clef le moment venu, mais quand même. La glace est brisée !
La dernière fois, mon "troublante" a sauté lors de la révision.

Je viens de ploguer "troublé" dans un autre texte.

Je vais y arriver, je vous le promets.
Je suis plutôt contente de moi-même jusqu'à aujourd'hui. Le Défi vert a débuté cette semaine et il n'y a qu'un seul auquel je n'ai pas répondu "je le fais déjà".

C'est d'ailleurs pour ça qu'il faudra que je m'apporte une plante au bureau la semaine prochaine...
Soyez fiers de moi ! J'ai eu un petit boost d'énergie ce matin et à 7h, j'étais dans ma cuisine en train de me préparer une salade !

Wednesday, April 04, 2007

Non mais avouez...
J'ai profité du high sur lequel j'étais après ma conversation avec Maridi sur notre hypothétique futur statut de propriétaire d'une maison pour appeler mes parents. Autrement, je l'aurais pas fait, je me connais bien; je me serais contenter d'envoyer un e-mail pour les avertir que j'allais me rendre chez eux vendredi matin. Et que j'amène Sambuca (à moi les trois heures de miaulement intensives !)

Depuis que j'habite seule, j'ai appris que c'est très concept de parler à mes parents au téléphone tout en m'occupant d'une tâche que je n'ai pas envie d'accomplir, c'est-à-dire, la majorité du temps, la vaisselle. C'est tellement rendu une constante que tout à l'heure, mon père, faisant allusion à mon silence prolongé, m'a dit un truc du genre : "T'as pas fait ta vaisselle depuis vendredi passé, ou quoi ?"

Et c'est là que j'ai réalisé qu'en fait, euh, non, en effet, ma vaisselle s'accumule depuis vendredi dernier. Ça fait trois soirs en ligne que j'essaie de me convaincre de la faire, en vain...

Actuellement, mon appartement est vraiment un reflet précis de mon état psychologique. Je le déclare officiellement zone sinistrée, d'ailleurs; jamais je n'oserais recevoir des gens présentement - et ayoye que je suis donc contente que Peanut ne risque pas de passer à l'improviste, parce que je risquerais de me faire remettre sous le nez tous les discours que j'ai bien pu lui servir parce qu'il ne faisait pas son ménage !

Quoique mon problème, pour le moment, ce n'est pas le ménage. Manquerait plus que ça. C'est plutôt la vaisselle qui s'accumule à outrance (faudrait pas exagérer, quand même, il me reste encore suffisamment d'ustensiles et d'assiettes : je me nourris presque exclusivement de toasts au beurre de pinotte cette semaine), tout comme le linge propre que je dois plier. C'est déjà beau que j'aie réussi à me convaincre de le laver de toute manière. Et ça représente déjà tout un effort que je continue à nourrir Sambuca et à vider sa litière. Et à me faire des lunches pour le bureau. Quoique ça n'a pas été un succès sur ce plan-là ce soir. J'en étais même tout à l'heure à me demander si j'avais réellement besoin de diner demain...! Le plan était de me faire une salade, mais c'est vraiment trop compliqué, alors j'ai fini par foutre un muffin, une pomme et un yogourt dans un sac.

Tout ça pour dire que je sais pas trop ce qui se passe avec moi, mais j'ai vraiment le moral à zéro sans raison. À défaut de prozac de contrebande, je crois bien que je vais me rabattre sur le millepertuis. Histoire d'ajouter à ma routine ibuprofène-multivitamine-glucosamine matinale. Sauf que j'ai lu que le millepertuis peut mettre de quatre à six semaines à faire effet, ce qui me semble un délai horrible. Quelqu'un ici a déjà pris ça ? Ça en vaut la peine ou pas ? À la limite, je me dis que je me contenterais même d'un banal effet placebo....
Épisode vespéral d'hyperactivité dû à :

1. J'ai reçu ce soir mes billets de RENT par la poste ! Woohoo !
2. Maridi est tranquillement en train de nous convaincre, moi et Mel, de nous acheter une maison. Au point que je suis prête à résilier mon bail et à donner Sambuca au besoin. Ça vous donne une idée.
Je suis plutôt tof et je deal plutôt bien avec mon texte actuel qui porte sur la pornographie juvénile, surtout qu'il ne donne pas trop de détails dégoûtants.

Mais il est vraiment temps que ma journée finisse parce que j'en suis au point de me prendre la tête à deux mains et à marmonner "dégueulasse ! dégueulasse !" juste parce qu'on mentionne que les habitués des communautés en ligne donnent des conseils "de sécurité" aux nouveaux venus.

Esti que ça m'écoeure pareil.
Dans la catégorie "joie" d'aujourd'hui :

1. Toujours le mal de genou;
2. Un parapluie brisé;
3. Des cheveux qui frisent de plus en plus n'importe comment;
4. La procrastination entraînée par mon épisode de déprime qui fait que j'ai pas appelé mes parents depuis la semaine dernière et que mon appartement est un champ de bataille, deux situations que je devrais vraiment corriger ce soir - et, vous le devinez, je n'en ai pas la moindre envie.

MAIS (car il faudrait bien que j'ajoute un mais, histoire de me motiver)

1. Entre mes mains : l'horaire du voyage de R et V à New York;
2. La découverte que j'arrive déjà à rire des conséquences de l'imbécillité chronique du mâle moderne;
3. Une paie dans mon compte.

Tuesday, April 03, 2007

The problem is I can't change the past, there's nothing I can do in the present and all I have left is waiting for the future.

And if I don't swear to god tomorrow I'm turning things around, how will I ever do it; but if I make that promise and I break my word, the failure every tomorrow brings will undoubtedly wear me out.

And I keep thinking, nobody said it was going to be easy, and damn it, down the line it has to be my call, I open my eyes and I find I am not being pushed so I stop (or something) - and I guess I don't stand a chance of winning if I don't risk breaking myself to pieces again.
Originalement, le plan était de retourner à New York avec Tweety.

Puis se sont simili greffées à nous AAB et Nana.

Et ce soir, au cours de ma séance hebdomadaire de badminton, j'ai appris que R et V (ayoye qu'il va leur falloir des surnoms de blog à ces deux-là parce que peu importe l'ordre, VR ou RV, ça fait invariablement véhicule récréatif...) se trouveront eux aussi à New York City aux mêmes dates !

J'adore ça.
Le highlight de ma journée jusqu'à présent, c'est d'avoir réussi à trouver la signification du putain de sigle D/C dont est truffé mon texte sans m'être trop cassé la tête.

Évidemment, il m'en reste environ 150 882 d'autres à trouver.

J'en suis à repasser sur ma première version de ma trad, ce qui est plutôt rapide en général puisqu'il suffit de vérifier que tous les éléments du texte sont là et que ça se lit bien.

Sauf pour ce texte-là, où l'activité principale de ma première version était surtout de créer des tableaux pareils à ceux du document original. Je m'en suis bien tirée, ce qui m'a valu l'admiration de ma gestionnaire ("mais t'es un génie de l'informatique !" - et à présent, je ne spécifierai plus qu'elle a précisé "de l'informatique" quand je relaterai l'épisode), mais c'est maintenant que le bout chiant commence : sigles obscurs, tournures de phrases bizarres et vulgarités que je n'ai pas envie de traduire...
Mon genou me fait beaucoup moins mal, déjà. La glucosamine, l'ibuprofène ou le hasard, qui s'en soucie ? Ça fait du bien à mon moral, c'est tout ce qui importe.

De même, une éventualité d'explication plutôt positive en provenance du frère physio de Maridi pourrait faire disparaître le problème de genou pour de bon. Si le pied continue de se tenir tranquille, je pourrai peut-être continuer à faire du jogging en paix.

Pour citer le Comte de Monte-Cristo : Vivre et espérer...
Ah, et puis en plus, j'ai les cheveux qui frisent tout croche aujourd'hui...!
Si vous avez envie de partir un site Imood francophone, soyez sûr d'inclure "décâliss" dans votre base de données.
Aujourd'hui, je suis fâchée contre moi.

Mon pied est presque de retour à la normale - c'est d'ailleurs pour ça que je suis allée faire du jogging hier.

Par contre, mon genou me fait horriblement mal depuis ce matin. Ce qui est frustrant et déprimant.

Ça aide sans doute pas que j'aie manqué de sommeil à cause de Sambuca qui met décidément du temps à comprendre qu'elle devrait aller jouer ailleurs que sur moi quand j'essaie de dormir.

Donc je suis fâchée, déprimée et fatiguée.

Hmmm, je sens que ça va être une bonne journée.

Monday, April 02, 2007

Carbon-made
Found her at the end of a chain
"Time to race" she said
"Race the downhill"
Behind crystalline irises
Loons can dive
Where the world bleeds white
Just keep your eyes on her
Keep, don't look away
Keep your eyes on her horizon
Bear Claw, Free Fall, Gunner's View
Black and blue
Shred in ribbons of lithium
Blow by blow
Her mind cut in sheets
Layers deep, now unravelling
Just keep your eyes on her
Keep, don't look away
Keep your eyes on her horizon
Get me Neil on the line
No, I can't hold
Have him read
Snow Glass Apples
Where nothing is what it seems
"Little Sis, you must crack this"
He says to me
"You must go in again
Carbon-made only wants to be unmade"
Blade to ice
It's double diamond time
And keep your eyes on her
Keep, don't look away
keep your eyes on her
Eyes on her horizon
On her
Eyes on her horizon


Ayoye que je prendrais du prozac de contrebande présentement.
Parfois, elle joue à un jeu : elle joue à faire semblant.

Elle aimerait s'appeler Alice. Comme Alice au pays des merveilles. Si on vit dans un pays des merveilles, ça implique qu'on est merveilleuse, non ?
Ou Pandore, à la limite.
Mais Alice, c'est plus joli.

Elle se promène dans la rue en souriant aux étrangers, confiante. Elle récolte des sourires en récompense, elle jette des coups d'oeil aux vitrines - si elle voulait, si elle le voulait vraiment, elle pourrait entrer là, acheter cette jolie petite camisole au décolleté plongeant; ou arrêter là, rapporter un dessert à la maison, et déguster un grand mochacino sur place, à une de ces petites tables au look branché, en travaillant à un dossier important sur ce portable qu'elle ne possède pas, mais qu'Alice possèderait, qu'elle pourrait acheter à la prochaine boutique d'informatique qu'elle croisera, en fait. Sans problème. Sans effort. Elle pourrait faire toutes ces choses si elle le voulait vraiment.

Elle pourrait ne pas se poser toutes ces questions si elle le voulait, elle pourrait juste enfiler les journées les unes après les autres comme si de rien n'était, comme tout le monde, parce que si elle le souhaitait, ça serait véritablement aussi facile. Alors elle sort, elle rit, elle parle comme si c'était un choix, elle dit ce qu'Alice dirait.

Et elle s'amuse à se faire croire qu'elle prend ces décisions; que c'est demain que ça commence - que dès demain matin, elle sera assise à la table de la pâtisserie avec son portable et son grand mochacino. Avec extra crème fouettée, tiens. Et que ça sera naturel - pourquoi ça ne le serait pas ?

Ou mieux encore : dès cette minute, elle pourrait saisir le téléphone et appeler Marie. Sans problème. Car c'est si simple. Et elle se dit qu'elle va le faire, que c'est maintenant le moment qu'elle choisit - et elle étend le bras, s'empare de la télécommande et change le poste de la télé.

Ce n'est pas une défaite parce que ce n'est jamais qu'un jeu; ça lui fait du bien de s'imaginer que.

Mais elle n'est qu'elle-même, pas Alice; et en attendant, elle croque dans sa pomme.
I currently have the term "cu**", in all its slang-ish and degrading beauty, to translate.

I do have ideas, but I keep trying to find something that won't sound so bad. Good luck, me.

Edit: official thanks to Rob for reminding me that not everyone who surfs the net should be able to access that kind of interesting vocabulary, especially through this blog.
J'avais passé une partie de mon après-midi d'hier à réfléchir à des trucs qui allaient résulter en la production d'un texte ici, et puis finalement, après un coup de théâtre, je me suis rendue compte que je cherchais une explication beaucoup trop éloignée de la réalité, et qu'en fait, on peut justifier la situation à l'aide de deux mots uniquement :

Imbécillité chronique.

Sunday, April 01, 2007

Bon.

Ça a été assez difficile de me défaire de mon envie intense de condo quand j'ai emménagé ici - et là, depuis deux jours, tout le monde parle qu'ils ont envie d'acheter une maison, et moi, Maridi et Mel avons passé la soirée d'hier à nous dire à quel point ça serait génial qu'on s'en achète une ensemble.

Et voilà, c'est fait ! J'en veux une, maintenant !
Maridi a tenté l'expérience du frigidaire avec son mâle moderne personnel - la version théorique, en fait.

Il avait pas l'intention de nettoyer le congélateur lui non plus.

Je prends ça comme un signe attestant la validité de mes théories !