Friday, September 16, 2005

Tweety - suis pas mal en panne d'idées moi aussi, je compte aller me balader dans les magasins dimanche, ou peut-être lundi.... J'avais eu une idée hier soir mais je ne m'en souviens plus maintenant...!

Thursday, September 15, 2005

Tweety : bien d'accord avec toi, c'est un peu ce que j'ai répondu à Galia quand elle a fait la proposition. On pourrait simplement proposer les deux options à Matinée, après tout, c'est sa fête, et si ça s'adonne qu'il y a un film qu'elle veut absolument voir...

Je vais essayer de faire en sorte que Peanut appelle Jo en fin de semaine, je te donnerai des nouvelles ensuite... Qu'est-ce que tu as acheté à Matinée comme cadeau, toi ? Ou qu'est-ce que tu penses lui acheter ?
Tweety : j'ai parlé avec Galia de la fête de Matinée - on a pensé aller souper au fameux Café Ramsès (on compte vérifier s'ils servent des repas complets) et puis aller au Skratch ou au cinéma ensuite. Qu'est-ce que tu en penses ? Peanut a accepté d'appeler Jo pour lui en parler.
Je vous avais promis l'histoire il y genre un mois, mais je tiens mes promesses.... J'ai écrit ça d'un jet pendant mon cours, c'est pas parfait mais j'ai pas envie de la retravailler. Si je la retravaille, je sais que je vais m'éloigner et m'enfoncer dans les symboles, alors que je préfère garder le tout compréhensible.

Lui seul aurait pu expliquer ce qui s'était passé. Ou peut-être pas. Il avait été suffisamment malade dans sa vie pour ne plus s'attacher à la cause. Peut-être aussi qu'il ne la connaissait pas. Peut-être qu'il n'y en avait pas.
Pour elle, c'était un retour à un terrain connu. Rien de grave, quelues petites pilules et ce serait fini. C'est pour cette raison que, innocemment, sans se poser de questions, elle a fait appel à l'Autre.
L'Autre était une personne confiante. Elle se croyait professionnelle et compétente - après tout, elle était médecin et il ne faisait aucun doute qu'il - et tous les autres - seraient en sécurité auprès d'elle.

Il se demandait ce qu'il faisait là, poruquoi il y avait tant de personnes, mais aucune qu'il ne connaissait et ce que toutes ces odeurs et ces impressions effrayantes et pas très rassurantes signifiaient exactement. Ou peut-être qu'il savait ce qu'elles signifiaient. Peut-être qu'il a immédiatement su la suite.
Elle avait été un peu surprise d'apprendre par l'Autre que tout ne semblait pas aussi simple que ç'avait paru d'abord. C'était peut-être un peu plus grave - surtout un peu plus cher - mais on allait trouver.
La batterie de tests était terminée; l'Autre était médusée. Tout était normal. C'était impossible, un simple coup d'oeil à Lui permettait de s'en rendre compte. Il se battait vraisemblablement contre quelque chose - mais quoi ? L'Autre résolut que trois prescriptions lui permettraient de justifier tous les tests et de se justifier elle-même.

Au moins, il était de retour chez lui. Il se sentait toujours aussi mal, mais il était chez lui, donc tout ne pouvait qu'aller mieux. Il y avait bien ces fichus trucs à avaler, mais il était chez lui. Ou peut-être qu'il n'y a pas cru une seule seconde.
Pour elle, c'était pratiquement fini. Tout allait revenir à la normale, un point d'interrogation allait demeurer, mais peu importait, au fond. C'était terminé.
L'Autre considérait ausi le dossier comme clos. Elle avait sauvé les apparences, il était maintenant parti, elle pouvait maintenant passer à autre chose.

Quelque chose n'allait pas, n'allait pas du tout. Il se sentait de plus en plus mal. Tout semblait tourner. Il avait mal. Son instinct lui criait de se cacher. Pourquoi venait-Elle le chercher dans sa cachette ? Il se demandait ce qui lui arrivait. Ou peut-être qu'il le savait.
Tranquillement, la panique la gagnait. Que se passait-il ? Il était censé guérir, et son état empirait, plutôt. Elle ne pouvait plus le toucher; il se plaignait constamment. Peut-être qu'Il voulait qu'elle l'aide. Peut-être qu'elle ne pouvait même plus l'aider. C'est un peu ce qu'on lui dit : "Je ne pense pas que vous ayez le temps..."
Que faisait l'Autre à ce moment-là ? Peut-être qu'elle passait du temps avec sa famille. Peut-être qu'elle se reposait, qu'elle écoutait la télé avec le sentiment du devoir accompli.

C'était fini. Il le savait. Et il souffrait tant qu'il avait presque hâte que la fin arrive. Peut-être qu'il se demandait toujours ce qui s'était passé. Peut-être qu'il savait qu'il n'y avait pas de réponse.
Il était trop tard : tout le monde le lui avait dit, personne n'avait voulu l'aider. Alors elle attendait. C'était injuste. Ç'avait pris deux jours. Elle n'aurait jamais dû faire confiance à l'Autre.

Et ce fut tout. Peut-être qu'il a été soulagé. Peut-être qu'il ne comprenait toujours pas. Peut-être qu'il a pensé à avant. Peut-être pas.

Elle dit qu'il est bien, qu'il est dehors, que c'est fini, et qu'au moins, il est chez lui.

Wednesday, September 14, 2005

Les dates du stage d'hiver sont le 3 janvier au 28 avril. Je connais pas la date de début de la session d'été, j'espère que c'est pas le lundi suivant, parce que je la trouverai pas drôle : d'une, c'est rushant, et de deux, l'Angleterre est à l'eau.
Bon, bordel, ça fait une demi-heure que je fouille mes archives à la recherche de mon post insulté du jour où j'ai appris que j'avais ma toute première carie, l'an passé. Si Blogger avait pas enlevé l'option search, j'aurais pu le trouver tout de suite. Grr.

Je cherchais ce post pour y faire un lien... parce que je suis retournée chez la dentiste l'autre jour et.... j'ai 3 autres minuscules caries à faire plomber. Je commence à être tannée ! Je comprends pas pourquoi je me mets à avoir des caries avec cette dentiste-là alors que j'en n'ai jamais eu avant !

Enfin, selon ce qu'elle m'a expliqué, ce sont mes dents qui sont affaiblies un peu parce qu'elles sont décalcifiées. Mon ancien dentiste m'avait dit le contraire. Faut dire que mon ancien dentiste me faisait un nettoyage en 30 minutes et chargeait la moitié du prix, mais quand même...
Why did Blogger take away the search blog feature from my board? And why does it not manage for the search feature from the navbar to actually work properly?
Parce que c'est vraiment trop drôle.... Sorti de mes archives :

Enfin, ça nous a coûté la peau des fesses, heureusement qu'on splitte ça à deux, mais on a vraiment des beaux électros.

Quand je pense que nos électros nous ont coûté moins que la moitié que ce que certaines personnes vont payer, moi, je me bidonne.

Tuesday, September 13, 2005

TWEETY !!!! T'as pas le droit d'être soudainement pro-Star Académie, même si l'homme de ta vie s'y trouve peut-être présentement !!!!!
Je croyais que j'étais un rare spécimen humains dont la faculté de remarquer des trucs et de se poser des questions à propos de ces trucs était significativement altérée. Je dois dire que j'ai rencontré 6 personnes qui, à mon humble avis, m'accotent.

Monday, September 12, 2005

Wow. Some things are just harsh.

J'allais écrire ma ligne en français, mais comme le seul qui me venait, c'était "rushant" et que je crois que j'ai moins d'impact quand j'utilise des expressions de mon primaire, j'ai préféré y aller en anglais...
Hey, I am not in your way
Hey, no need to push me again
I know it's your day in the sun
Last time I checked he came
To light the lamp for everyone
Relax, love, he said before he left
Take those hands away from your eyes
From where I stand, you're in my sky
Moi, j'ai un gros problème avec les gens qui viennent chez moi, fouillent dans mon frigidaire sans me consulter, sortent mes CD de mon lecteur CD-ROM pour les câlisser au petit bonheur la chance dans n'importe quel foutu case de CD sur mon bureau afin que je passe une journée à le chercher (une chance que j'ai juste ça à faire) et qui ne font que trouver ça très drôle quand je leur en parle, qui ignorent élégamment tous les règlements qui vont avoir été créés spécifiquemnt pour eux afin que la situation ne se reproduise plus, qui se croient les rois du monde au point de downloader des photos de filles toutes nues sur mon ordinateur, qui se câlissent de ma gueule lorsque je leur demande très poliment d'arrêter de sauter sur la tête du voisin d'en dessous ("pff, qu'elle monte chialer, m'en crisse !") et qui questionnent avec autant de mauvaise foi qu'il est humainement possible d'en avoir les règlements d'un jeu simple. J'ai aussi un gros problème avec les gens qui ne respectent aucune de vos opinions, qui vous couperont pendant que vous les exprimez pour vous expliquer dans le détails pourquoi vous avez tort, mais qui ne vous laisseront jamais la chance de les contredire sur certains points, parce qu'ils ne feront qu'hausser le ton (logique de deuxième année du primaire : plus on parle fort, plus on a raison) et continuer de parler sans vous laisser en placer une. Je déteste les gens qui se prennent pour les rois partout où ils vont, qui croient qu'ils ne doivent rien à personne et qui refusent toute responsabilité.

Je déteste par-dessus tout les gens qui regroupent toutes les caractéristiques ci-haut et qui, en plus, ne peuvent concevoir qu'on les traite de la même manière qu'ils traitent les gens. Non mais si tu te câlisses des gens, eh bien, faudrait pas s'offusquer quand les gens se câlissent de toi. Si tu veux absolument être le roi et faire à ta tête, reste chez toi et fous la paix aux gens. Parce dès que tu vas sortir de chez toi, faudrait que tu t'attendes à devoir respecter les gens, ne pas sauter sur un plancher en dessous duquel vivent des gens, surtout à onze heures le soir, à devoir accepter que tu n'as pas toujours raison et que les gens ont des opinions autres que les tiennes et qu'elles sont aussi valides.

Sinon, faudrait s'attendre à ce que je me tanne de devoir toujours te laisser faire ce que tu veux alors que tu sais pas vivre, et faudrait pas s'attendre à ce que je braille parce que tu décides de partir en plein milieu d'un jeu parce que je te dis d'arrêter de faire exprès et de jouer, parce que tu vas avoir couru après. Même qu'en toute franchise, je te dirais que je vais plus être satisfaite de t'avoir fait autant chier que toi, tu me fais chier à chaque fois que tu fais comme si le monde t'appartenait.

Évidemment, ça fera de moi une personne "condescendante et méprisante".... C'est bizarre, moi, la condescendance, je pense qu'elle a commencé quand tu as décidé que tu étais chez toi partout.

Quant aux autres personnes qui ont l'impression que je les persécute alors que c'est pas du tout le cas, eh bien, c'est pas mal de valeur qu'elles n'aient jamais appris la signification du mot "sarcasme". Je suis plutôt très sarcastique et j'ai tendance à être aussi assez pince-sans-rire, et c'est juste triste si vous prenez ça pour de la condescendance. En fait, c'est surtout pathétique de penser que j'ai suffisamment de temps à perdre dans ma vie pour passer du temps avec des gens dans l'unique but de les descendre. Franchement, je sais pas pour vous, mais moi, j'ai beaucoup mieux à faire de mon temps. Je vous ai toujours traité comme je traite n'importe qui, et si vous interprétez ça comme de la condescendance, encore là, tant pis pour vous. Comme je vous traite de façon très correcte à mes yeux et que l'autre zouf a tout simplement mérité le bon coup de pied au cul que je lui ai donné, je considère que je ne dois pas d'excuses à personne.

Du reste, si qui que ce soit est prêt à participer à une VRAIE conversation, une VRAIE discussion, avec un esprit ouvert sans m'avoir condamnée à l'avance, eh bien, moi, j'ai aucun problème avec ça. I stand by what I say and what I do. Mais comme à ce que je peux voir, c'est pas le cas, je crois pas que ça serait possible.
IL EST PAS LÀ ! IL EST PAS LÀ ! JE SERAI PAS OBLIGÉE DE SUIVRE STAR ACADÉMIE CETTE ANNÉE ! HOURRAH !!!!

Sunday, September 11, 2005

J'ai pas beaucoup de temps, alors j'élaborerai sur les sujets suivants plus tard :

1. Je suis sortie de chez ma dentiste couverte de honte;
2. Je déteste les gens qui se prennent pour le nombril du monde, qui agissent comme si tout leur était permis mais qui s'offusque dès qu'on leur remet la pareille;
3. Je suis condescendante avec tout le monde et méprisante avec mon chum. Vous vous en doutiez, n'est-ce pas ? Ya vraiment des gens qui n'ont jamais appris la définition de "sarcastique".