Saturday, December 30, 2006

Dans la catégorie comment-je-peux-ouvrir-ce-genre-de-porte-sans-m'en-rendre-compte :

Peanut : Pis, as-tu eu des beaux cadeaux ?
Quartz : J'avais demandé des moules en silicone à ma mère... Elle m'en a acheté tout un tas. Je dois avoir tout ce qui se fait en fait de silicone.
Peanut : Sauf les seins.
Quartz : ...

Quand je vous avais dit que c'était un sujet récurrent dans mes conversations...
La raison pour laquelle je ne ferai JAMAIS, au grand JAMAIS mon épicerie la fin de semaine, c'est que vous devez attendre 10 minutes à la caisse juste pour acheter du sucre.

La raison pour laquelle j'ai mis longtemps à maîtriser le parking 90 degrés avant quand j'apprenais à conduire alors que le parking 90 degrés arrière, lui, m'est venu de façon instinctive et qu'encore aujourd'hui, je fais ça d'un seul coup de façon tout à fait naturelle alors que je me parke à reculon genre une fois tous les 10 mois, elle, par contre, m'échappe.

Friday, December 29, 2006

Variante, au choix :

Un jour, il faudra sérieusement que les gens avec qui je ne sors pas arrêtent de sortir avec moi sans que je le sache.
Une énième preuve que les trucs qui n'arrivent PAS m'arrivent exclusivement à moi, c'est que quand j'ai emménagé en Outaouais, j'avais pris la peine de vérifier le fonctionnement du parking d'hiver dans la rue. J'avais appris avec plaisir que ça fonctionnait comme dans mon ancienne ville, c'est-à-dire que la fin de semaine, c'était toujours permis.

Et il y a quelques semaines, j'ai reçu un pamphlet m'annonçant que la ville avait décidé d'uniformiser le parking de nuit dans tous les secteurs et que le parking devenait interdit la nuit la fin de semaine également en hiver. Vous savez, le genre de truc qui ne serait certainement pas arrivé si mon nom ne s'était pas ajouté à liste des résidents cet hiver ?

J'étais pas contente. Autant pour mes belles précautions.

Or, il y a quelques semaines également, mon proprio est venu discuter parking avec moi.

Je vous explique : Il y a 5 espaces de stationnement dans la cours des locataires de Droite, soit un pour le locataire du sous-sol (bonjour !) et deux pour ceux des deux logements au-dessus. Je me stationne juste à côté du terrain, soit où le déneigeur pitchera la neige.... Comme je suis la seule locataire qui se rend au travail en autobus, donc dont l'auto reste dans la stationnement pendant la journée, mon proprio a conclu un marché avec moi et les nouveaux locataires qui ne possèdent qu'une auto : nous avons échangé nos espaces de stationnement, de façon à ce que je sois parkée sur le bord du terrain du voisin. De cette façon, le déneigeur n'aura qu'à contourner mon auto et du même coup, n'aura pas d'auto dans les jambes pour déverser la neige sur le terrain.

Or, en prenant le parking des autres locataires pour l'hiver, je me trouve à avoir deux parkings. Dont je n'avais pas l'intention de me servir puisque je n'ai droit qu'à un seul de toute manière.

Mais bon, en fin de semaine, mes parents viennent chez moi. Comme c'est le temps des fêtes, que c'est exceptionnel, j'ai appelé hier soir mon proprio pour lui demander si je pouvais me servir du stationnement libre juste pour la fin de semaine. Il m'a dit que c'était correct, mais j'ai préféré aller m'assurer que les autres locataires n'y voyaient pas d'inconvénient non plus.

Cet après-midi, je suis donc allée sonner chez eux, et on a conclu ensemble un autre marché : pour l'hiver, les deux stationnements sont à moi, tout simplement. J'en fais ce que je veux. Si eux en ont besoin, ils viendront m'en avertir.

Wô ! Est-ce que je tripe, là, moi ?
Pas facile de trouver des secrets quand ça fait 5 ans que vous bloggez ! J'ai vraiment tout raconté ici... Mais bon, je relève les défis qu'on me lance, alors voici le fruit de ma profonde réflexion !

1. Je n'ai jamais eu la varicelle ou n'importe quelle autre maladie contagieuse, mis à part la jaunisse, que j'avais à ma naissance. Je ne me suis jamais rien cassé non plus. À la place, je me suis foulé presque tous les doigts de chaque main (verdict : le pouce, c'est définitivement le pire) et je me suis fracturé le crâne.

2. Je contrôle et je cache bien mes émotions, sauf dans les cas extrêmes, où mes réactions physiques sont dictées par mes émotions sans que je ne puisse rien y faire. Ainsi, quand je suis folle de rage, les larmes me montent souvent aux yeux - ce qui m'énerve énormément parce que c'est pas facile de prouver un point quand vous avez l'air d'être sur le point d'éclater en sanglots. De même, dans les moments de stress intense, je me mets à trembler de manière incontrôlable.

3. Je suis mature et responsable, mais dans les dernières années, fouillez-moi pourquoi, j'ai pris l'habitude de m'exprimer en bébé régulièrement, peu importe avec qui je discute : amis, patrons, professeurs.... name it. J'en ai pris conscience lors de la deuxième journée de formation, quand Lift m'a conduite chez moi et que, alors que ça faisait un gros vingt-quatre heures qu'on se connaissait, j'ai pris un ton de petite fille pour lui présenter ma voiture : "Ça, c'est mon auto : elle s'appelle Tweenie parce que dedans ya des Winnie the Pooh et à l'extérieur ya des Tweety..."
Oui, je sais. J'ai moi-même été surprise d'avoir encore un lift le lendemain !

4. Les gens qui ont étudié avec moi savent que j'ai une capacité illimitée à apprendre des trucs par coeur, que ce soit à long terme ou de façon temporaire pour, disons, un examen. C'est pour ça que, grâce à la poupée Cricket que j'avais enfant, je suis toujours capable de réciter l'alphabet à l'envers. Ou mieux, quand j'étais petite et que je ne savais pas encore lire, je connaissais par coeur le conte Bambi perdu et retrouvé que ma mère me lisait. Je savais même quand tourner les pages. Quand on avait de la visite, ma mère faisait croire à tout le monde que je savais lire en me faisant faire mon show.

5. Jusqu'à très récemment, j'avais une phobie des douches, hormis celle de chez moi. Quand j'étais toute petite et que j'étais partie en voyage avec mes parents, nous nous étions arrêtés dans un motel et j'avais été prendre ma douche avec ma mère. Ma mère avait de la difficulté à régler la température de l'eau et j'ai reçu un jet d'eau brûlante dans le dos, ce qui m'a valu cette phobie. Alors quand je suis allée à Ottawa avec l'école, à l'âge de 11 ans, j'ai pris une douche glacée le soir tant j'avais peur de me brûler. C'est aussi pour ça que je n'ai jamais pris ma douche après les cours d'édu, au secondaire et au cégep. J'ai fini par vaincre ma peur en m'inscrivant au gym, mais encore aujourd'hui, je règle la température de l'eau de l'extérieur de la douche.

Je tag Swan_pr, ma jumelle cosmique de la blogosphère !
Un jour, il faudra que je songe sérieusement à arrêter de vivre toutes les étapes d'une relation amoureuse avec les gens avec qui je ne sors pas...
'tis done! 'tis official!

I'll finally join the happy world of high-speed internet in January - probably during the second week!
J'ai bien fait de traduire un nombre démesuré (pour mon niveau) de mots hier parce qu'aujourd'hui, la rumeur veut qu'on puisse finir à midi encore une fois et que j'ai pas envie de rester juste pour terminer mon texte.

Évidemment, ça tombe sur la seule journée de l'hiver où il fait -1000 dehors et j'espère fortement que mon express passe pendant l'heure du diner aujourd'hui aussi.

Ça adonne bien qu'on finisse tôt puisque j'ai des tas de trucs à préparer pour le souper que je fais chez moi demain.

Mais bon, maintenant faut que je continue mon travail si je veux réellement partir à midi...

Thursday, December 28, 2006

Un blog, c'est une arme à double tranchant.

Et je ne parle même des inconvénients qu'une simili "popularité" peut engendrer pour la prétendue "élite" de la blogosphère. Non-non, je parle au niveau personnel, je parle du terrorisme domestique, auquel je-vous-laisse-deviner-qui fait référence dans The Power of Orange Knickers.

En général, d'abord, les gens prétendent être vos amis pendant une plus ou moins longue période. Pendant cette période-là, il importe peu qu'ils lisent ou non votre blog, il faut seulement qu'ils connaissent son existence.

Au bout d'un certain temps, quand vous êtes aussi facile à oublier et à trahir que je semble l'être, ces gens-là vous jouent dans le dos, puis s'attribuent le rôle de la victime, vous laissant vous débrouiller (ou pas du tout) alors que votre monde s'écroule sur votre tête.

C'est à ce moment-là que ces gens-là vont commencer ou continuer à lire votre blog en tant qu'espion. Pour voir si vous parlez d'eux. Pour être déçus si ce n'est pas le cas. Pour se faire croire qu'ils sont encore en contact avec vous. Pour se convaincre que cette lecture leur permet de connaître le fond de votre pensée. Pour répondre à vos textes ou les plagier honteusement sur leur propre blog, le cas échéant.

En résumé : pour obtenir des réponses à leurs questions ou pour essayer de discuter avec vous, dans les deux cas parce qu'ils n'ont pas le nerf de le faire en personne.

J'ai un problème avec ça, moi, par contre : je déteste qu'on chiale parce que je bitch à mots couverts sur mon blog parce que je suis désolée, vraiment, mais vraiment très désolée, car peu importe ce que je peux dire ici, ça demeure de simples mots sur un blog. Des mots. Juste des mots.

Je pourrais faire ma propre campagne de salissage, je pourrais aller mettre une chainsaw dans ta porte, je pourrais faire tout un tas de trucs pour essayer de te donner une minuscule idée de ce que c'est que perdre tous ses acquis - à la place, je vomis mon venin en crachant des mots sur la blogosphère. Ridicule comme ça. Des mots qui parlent peut-être de toi, mais qui ne s'adressent aucunement à toi puisque si c'était le cas, je te les dirais en pleine figure, moi.

Et d'accord, peut-être que des mots peuvent faire mal, mais du moment qu'ils sont écrits sur un blog, à mon sens du moins, ça leur enlève tout impact. Je peux pas juger de l'effet des miens, mais je n'ai jamais eu la moindre considération pour les réponses et les imitations que j'ai lues sur d'autres blogs, qu'il s'agisse de bitchage ou d'aveu : ce sont de misérables mots sur un blog, ils sont là, je les ai lus mais j'aurais pu ne pas le faire, et ils ne comptent pas.
Bref, un blog n'aura jamais valeur de discussion ou d'explication.

Et bon, le cycle recommence.
On vient lire mon blog, on interprète ce que j'y raconte, on va le raconter à la clique pour bitcher, puis on me pitche des craques par rapport à tout ça.

Puis j'ai eu le flash du siècle : qu'est-ce que ça ferait, si j'inventais des histoires sur mon blog ? Rien de romanesque, juste un peu de trucage çà et là.
Ça pourrait être sérieusement amusant.
Ça illustrerait surtout mon point : qu'un blog ne sera toujours qu'un performance space et qu'il ne faut s'y fier que modérément...
Ça peut pas être bon signe si, quand j'arrête de me concentrer sur les phrases impossibles de mon texte, je réalise que la chanson que ma tête me chantonne depuis quelques minutes déjà, c'est Petit papa Noël.
J'en peux plus....
Si ça continue comme ça, je vais avoir traduit aujourd'hui plus du double de ce qu'on attend de moi au cours de mes trois premiers mois ici....

Je suis pas certaine si c'est bien ou si c'est juste déprimant.
Wow.

Ça fait littéralement des lustres que je n'ai pas eu personne avec qui discuter par e-mail pendant que je travaille (est-ce que je devrais dire ça ?). Disons que c'est long, 40 minutes, comme ça.

Bon, d'accord, c'est sûr que j'ai pas mal de travail alors c'est aussi bien comme ça, mais quand même.... Si quelqu'un a envie de discuter avec moi, faites-moi signe, je suis pas difficile...!
Variation sur un même thème -

1. C'est étrange comme une personne qui vous appelle pour vous soutirer de l'information et qui, pour mieux faire passer la pilule, vous promet en passant de vous organiser un souper d'adieu et décide finalement de ne pas le faire sans même avoir la délicatesse de vous en avertir - elle ne le fait pas, tout simplement - s'insultera parce que vous ne lui avez plus téléphoné.
2. Encore plus étrange comme la même personne refusera de vous donner la moindre explication quand vous la confronterez et préférera s'insurger et retourner bitcher dans votre dos.
3. J'aime pas donner une mauvaise impression des gens que je connais, mais je suis quand même pas pour refuser de répondre aux questions :
Mom : Es-tu en train de me dire que tes amies t'ont pas appelée pour Noël ?
Quartz : C'est pas mal ça.
Mom : T'as pas eu de nouvelles d'elles depuis que t'es déménagée ?
Quartz : J'ai parlé brièvement deux fois à X sur internet, on était sensées se voir une fois mais finalement ça n'a pas fonctionné, et depuis, rien. Faut dire que la dernière fois que je l'ai vue, elle a été tout raconter ce que je lui avais confié à Z, alors c'est pas surprenant.
Mom : Ben voyons donc.
Quartz : Je sais.

Wednesday, December 27, 2006

In and out on this same path that I followed for years
Can't I look around and ask how could we still end up here
I can't just hold tight
Wait for them to cut us to ribbons
If the sharpest thing where you come is a blade of grass
Oh, take me with you
I don't need shoes to follow
Barefeet, running with you
Somewhere the rainbow ends my dear
These injuries
Don't you think we need a new referee
I can't let the ball drop
Boy I need some interference to shut them up
Oh, take me with you
I don't need shoes to follow
Barefeet, running with you
Somewhere the rainbow ends my dear
Oh, take me with you
Chase rabbits into their burrow
Barefeet, running with you
Today even the rain can cut me up
Tears turn to steel
And the wound never heals
In the darkness of November
Well the witch is in the tower
And the snake's in the bower
And the hunt goes on forever
Now the stake is there to burn
My father's robe is torn between cross and Mother
With the blood on your hands
Come on, what you're doing
I am fed up with this questioning
Oh, take me with you
Chase rabbits into their burrow
Barefeet, running with you
Today, today
Oh, take me with you
I don't need shoes to follow
Barefeet, running with you
Today even the rain
Even the rain
Even the rain
Can cut me up
Take me with you
Take me with you
Note to self -

For Saturday: buy some wine, figure out some activities and call the landlord.
Must also buy January bus pass before next Wednesday.
Peanut : Ça a comme brisé sur le moteur.... argh, c'est dur à expliquer : retiens juste le mot "flexible".
Quartz : *fou rire incontrôlable* Quoi ?
Peanut : Bla bla bla... char.... bla bla bla.... muffler.... bla bla bla... Tu comprends ?
Quartz : Vraiment pas, mais c'est pas grave.
Peanut : Bla bla bla... rigide.... bla bla bla... boum-boum.... bla bla bla... catalyseur...
Quartz : Oh, regarde, je comprends pas pantoute, mais c'est pas important.
Peanut : T'as vraiment juste retenu le mot "flexible", toi, hein ?
Quartz : Oui, mais comme je peux même pas faire une phrase avec, ça m'avance pas à grand chose...
Hmm, d'accord...

J'ai une paie qui est rentrée dans mon compte aujourd'hui, alors je me logge dans le libre-service de ma carte de crédit pour en vérifier le solde et l'acquitter.

J'ai oublié que j'avais payé ma carte de crédit la semaine dernière et je fais le saut en voyant un solde qui dépasse même pas 40$. Je me souviens que j'ai déjà payé, mais étant donné que tout ce que j'ai mis sur ma carte de crédit depuis la semaine dernière, c'est 20$ d'essence, le solde ne me semble toujours pas sensé.

Je clique pour avoir les détails de mon relevé.
Et j'aperçois un montant de 18,98$ facturé par "Le Relais Lyonnais, Montréal".
Pause pour troubler.
Reprise de la réflexion.

Google m'apprend que Le Relais Lyonnais est un hôtel de luxe de Montréal.

Je suis pas mal certaine de ne pas m'être loué une suite dans un hôtel de luxe de Montréal avec un inconnu (ni même avec un connu, tant qu'à ça !) dernièrement, mais je prends quand même la peine de vérifier ce que j'ai fait à la date où la transaction a été autorisée.

Ça adonne que c'est le soir où je suis allée au resto et puis danser avec des amis. Ça adonne que je ne crois pas avoir payé le resto cash parce que je n'avais plus beaucoup d'argent sur moi et qu'après vérification de mon relevé de compte de la caisse, je n'ai apparemment pas payé par interac.

Me semble que j'ai payé par carte de crédit - mais la transaction n'apparaît pas non plus sur mon relevé de carte de crédit.
Me semble que c'était un montant de ce genre-là, aussi.
Et puis à la réflexion, je vois mal ce qu'on peut se payer dans un hôtel de luxe avec 18,98$.

Reste quand même que je vois mal le lien entre cet hôtel et ce resto, et que je suis jamais allée au Relais lyonnais de ma vie.

Conteste, conteste pas ?

Tuesday, December 26, 2006

I thought I should add that no, this isn't what I wanted and this isn't something I'm happy about.
I'm not a deliberately mean person but I don't lie to spare anyone and if you ask, you damn well better be prepared to take it.

If you're going to start rambling about how someone is an ass, you damn well better be better than them and have something to show for it.

If you're going to call me a liar, you damn well better be prepared to take it when I remind you of your own lies.

If you're going to talk behind my back, you better be able to face it when I tell you I know and that those very "friends" you talk trash about me with, they used to talk trash about you to me.

If you're going to whine that I'm gone, you damn well better be able to remind me of the last time you actually were there for me - and not for yourself, or for her.

If you're not going to be able to prove me wrong, you probably should've shut up in the first place - because I for one have the nerve to tell you what my fucking problem is and not to be hypocritical about it.

I'm listening -

Where the fuck have you been in the past months? When did you ever call to chat and not to verify information, or to gather information to pass on to your little clique? When did you ever have any intention to call me or to see me?

Where the fuck have you been in the past years? When was the last time that you called to catch up? When did you ever actually suggest to see me or us, at the time? When was the last time you kept what I told you to yourself? When did you ever acknowledge the fact that I was leaving and when did you ever make the slightest effort to see me while you still had the opportunity? How dare you blame me for walking out when you never dared discuss the fact that we had been steadily drifting apart?

I never pushed you away - I just blinked and when I opened my eyes, you were ALL GONE.

Friends don't betray. Friends don't let a friendship die. Friends don't choose a side.

This is why I saw no need to fight or to try and prove I had a point, too.
Because real friends would've known and trusted that.

I didn't push you away - I tried to hold on to you, but you never grabbed my hand; you were slippery and I let you go.

And you allowed for this to happen.

If you have a problem with those who caught me as I was falling, then you should've kept me from falling in the first place. Maybe it was you I wanted to catch me, and maybe I could have sworn it was impossible for anybody else to help me.

Damn it, I did truly believe you cared. I trusted that you would remain neutral and that you wouldn't be so easily manipulated. I was certain that I wouldn't have to prove anything to you.

So you know what, justify yourself to yourself as much as you want - I can readily hear you anyway. Good for you if you can put all the blame on me and convince yourself your behavior was the most appropriate.
I just hope you are aware that it doesn't change how you've made me feel and the extent to which you disappointed me.

Not that you would give a damn, of course.
En ce jour du Boxing Day, j'ai enfin réussi à mettre la main sur un sac de voyage à prix et taille décents. Le sac de voyage rouge que je possédais depuis ma tendre enfance et avec lequel je suis partie dans l'Ouest a manqué de me tuer à New York et je l'avais jeté quand je me suis acheté mon supra gigantesque sac de voyage pour Madrid.

Or, ai-je découvert par la suite, un sac de voyage de taille moyenne est utile quand vous partez pour une fin de semaine ou quelques jours dans un chalet, chez vos parents ou encore chez un ami.

Je suis donc à partir d'aujourd'hui l'heureuse propriétaire d'un nouveau sac de voyage rouge Air Canada réduit de 30$ et je suis prête à repartir en voyage.

Sinon, je suis également la propriétaire d'une veste noire et de deux camisoles et je tiens à souligner que Suzy Shier est sans conteste l'endroit où aller magasiner pour vous remonter le moral puisqu'il s'agit de la seule boutique au monde où vous portez du extra-small et où un pantalon de taille 0 sera trop grand pour vous.

Hourrah !

Monday, December 25, 2006

Dans le désordre, du passé et du présent :

1. Conversation extrêmement satisfaisante du jour :
D : Coup donc, as-tu maigri, toi ?
Quartz : Ha ! Non ! Mon poids a pas bougé, cette année !
2. Je suis toujours prise de court quand les membres de ma famille me demandent où en sont mes amours. C'est pas simple de trouver une réponse inoffensive propre à faire croire que les choses sont du genre long fleuve tranquille sur ce plan-là.
3. Je suis allée chez la coiffeuse il y a deux ou trois semaines pour faire rafraîchir ma coupe uniquement. Depuis, tout le monde me demande si j'ai fait foncer mes cheveux. C'est troublant.
4. Jusqu'à maintenant, je me suis fait traiter de fonctionnaire et d'Ontarienne. C'est pas si facile. Pour l'instant, j'ai réglé le problème en spécifiant que je ne suis pas fonctionnaire, mais traductrice, et que je contribue à la propagation du français au Canada anglais.
5. J'ai passé la soirée d'hier à coacher mon oncle au crible, mon oncle qui a demandé à mon père de lui apprendre à jouer parce que moi, je refusais obstinément de jouer. Finalement, comme j'ai fait la coach, c'est moi qui me suis fait avoir, dans l'affaire.
6. Mon imitation lointaine de Horacio Caine déclenche des réactions extrêmement variées chez les gens.
7. J'ai posé des wipers cet après-midi. C'était pas la première fois que je m'essayais, mais c'était la première fois que je réussissais.
8. Tiré de la carte de Noël de ma tante : Je te souhaite la santé (le reste, ça m'inquiète pas). J'ai bien aimé.
Merry Christmas to all those of you who are not here to spy, who truly care and aren't two-faced, who do not need to blame me in order to justify their actions or lack thereof.

Sunday, December 24, 2006

Yesterday I handed my father a check covering the amount I still owed him for my car. It'll have taken me 3 years to pay it, which isn't so bad.

Now of course I still owe my father a pretty interesting amount for car repairs and furniture, but never mind. At least my car is paid up.

Other than that, so far, I have categorized over 700 posts.
I am obsessed.