Thursday, January 13, 2005

Ainsi :

1.En plein diner de Noël/fête (aussi en retard pour l'un que pour l'autre), hier midi, mon cellulaire sonne : c'est Coordonnatrice. Elle m'annonce que ma cote de sécurité est rentrée, finalement, 3 jours avant la date butoir. Coordonnatrice se lance dans de la manipulation psychologique : si j'ai besoin d'aide pour me trouver un logement, elle va m'aider, c'est un très bon stage, l'autre fille en attente de sa cote ne l'a toujours pas reçue, je suis très chanceuse, cet été, elle n'a que 3 places au bureau de la traduction, etc, etc. Je lui ai dit non deux fois, mais elle exige que j'y pense pendant 3 heures. Je l'ai évidemment rappelée au bout des 3 heures dites pour refuser, mais merde. Au prix que je paye pour être en co-op, j'aimerais échapper à ce type de pression. Je lui ai même dit que j'avais dépensé plus de 130$ pour mes livres, et elle m'a dit que ça se rembouserait - ce qui est faut puisque j'ai déjà commencé à souligner dans mon livre d'anthropo. Elle a disqualifié sans façon cette excuse (pas devant moi, mais devant mes amies qui se trouvaient dans son bureau à ce moment-là) et le fait que j'étais mindée à rester à Montréal (celle-là, oui, à moi directement).
Le problème, c'est pas qu'elle se lance dans le bitchage, le problème, c'est qu'elle me bitche deux semaines après que je me sois désistée ! Je l'ai avertie que je ne voulais plus y aller : c'était à ce moment-là qu'il fallait faire le bitchage, pas maintenant ! Enfin, je suis fâchée, et je compte l'éviter le plus longtemps possible : jusqu'à ce que les placements pour cet été commencent, si j'y arrive. Tous les autres sont allés chercher leur rapport de stage : pas moi, et je m'en passerai jusqu'en mars s'il le faut. À moins que DraG soit assez serviable pour aller chercher le mien.

2. Ai passé un après-midi de fille surprise, hier. En revenant du resto, sommes venues chez moi, avons joué à Jour de paye et Marry, Date or Dump?, qui s'est avéré très comique malgré tous les préjugés de nos chums respectifs.

3. Il faut qu'on aille au bowling samedi soir, Tweety, si tu peux juste me confirmer que tu es libre, je vais appeler Matinée pour organiser ça plus en détails. Galia est sensée venir nous rejoindre dans la soirée : elle finit de travailler vers 8 heures, je crois. On avait pensé allé souper peut-être au Pizza Hut (tu sais, le fameux Pizza Hut en face du FireGrill, où le service est significativement plus rapide) avant d'aller au bowling.

Sinon, j'essaie de diminuer ma consommation de lipsyl et c'est très difficile. À force de lire là-dessus, je suis tombée sur plusieurs articles expliquant qu'il n'existe pas de réelles dépendance "chimique". Simplement, selon les deux explications les plus populaires :
1. on s'habitue à l'impression du lipsyl sur les lèvres et quand on n'en a plus, on a l'impression d'avoir les lèvres sèches, même si elles le sont pas;
2. on a tendance à licher notre lipsyl, ce qui humidifie les lèvres et les rend sèche.
Je suis pas très convaincue. J'ai expérimenté la situation 1 à plusieurs reprises, mais je me limite à 1 application par heure depuis deux jours et j'ai vraiment les lèvres sèches, craquelures à l'appui. Et je mange très rarement mon lipsyl, parce que je sais que ça engendre ledit cercle infernal pendant lequel je finis plus d'en avoir besoin à chaque seconde, qui se règle uniquement en essuyant les lèvres complètement et remettant une couche de lipsyl. Et j'utilise depuis une semaine environ un nouveau lipsyl beaucoup moins hydratant que ceux que j'utilise d'habitude : au début, je passais mon temps à m'en remettre, et juste au moment où j'allais le jeter parce qu'il hydratait juste pas assez, j'ai commencé à m'habituer. Donc, mes lèvres se seraient habituées à une hydratation moindre, DONC ça sous-entend une certaine dépendance au niveau chimique.
Enfin. Je continue à tester pendant toute une semaine : si je remarque un changement, je diminuerai encore la dose et qui sait, ça pourrait être la fin de ma dépendance au lipsyl ? Sinon, eh bien, je verrai : si c'est pas une véritable dépendance, ça devrait pas être si difficile d'arrêter...

1 comment:

Anonymous said...

Je connais tellement cette maudite dépendance au lipsyl. Je suis moi-même complètement dépendante!!
Et j'arrive pas à m'en sortir. 5 minutes sans et je deviens dingue.

Ton article date de 3-4 ans... t'en es-tu sortie depuis??

As-tu des conseils?