Wednesday, February 23, 2005

Tweety : d'accord, moi, je suis toujours partante pour entendre les nouveaux développements de ta vie de soap opera. Est-ce que tu veux une soirée de fille ou une réunion du groupe des 5 ? Quant à en fin de semaine, faudra reconfirmer dans mon cas, puisque comme c'est la fête de Peanut cette semaine, sa mère nous a invité à souper chez elle à une date indéterminée (voyez la grandeur d'âme ! je crois bien que je vais laver ses pieds avec du parfum et les essuyer avec mes cheveux pour lui témoigner de ma reconnaissance envers son généreux pardon. Or not). (Évidemment, si une soirée de filles tombait la même soirée que ce maudit souper-là, ça ferait juste mon affaire, mais faudrait d'abord que j'obtienne la permission de mon chum. C'est quand même sa fête. Il peut pas me forcer à voir ses parents tout au long de l'année, mais si ya une journée de l'année où je devrais essayer de lui faire plaisir, c'est bien le jour de sa fête...)

Sinon, moi, je te défends de t'enfuir. DraG a raison, ça donne absolument rien, et, surtout, je pense que tu l'as déjà fait avec les résultats qu'on connaît. Et comme généralement dans la vie, les trucs se répètent jusqu'à ce qu'on comprenne, eh bien, t'es pas sortie du bois. Enfin.

Et quant à la carte de crédit, t'as bien raison... Mais bon, ya pas beaucoup d'autre moyen de se forger un crédit et, surtout, pense qu'on n'aurait pas pu voir de comédie musicale à New York si j'avais pas eu de carte de crédit ! Quand on a une compagnie compétente, le genre de truc qui m'arrive n'arrive pas. Et comme les trucs qui ont zéro probabilité de se produire m'arrivent, je pense que tu peux assumer que ça t'arrivera jamais à toi le jour où tu auras une carte de crédit !

DraG : disons que t'as une seule chance, quel dictionnaire tu penses que j'ai besoin ? :P
Le Ménard, évidemment. Même les libraires du Renaud-Bray l'appellent comme ça. Moi, je trouble. Enfin. Mais tant qu'à parler de mon expédition au Renaud-Bray, autant y aller pour vrai.

J'ai donc commencé par aller chez Archambault, où j'ai rien trouvé de ce que je voulais. Arrêt inutile. Prochain arrêt : Renaud-Bray. Ça semble simple comme ça, mais quand vous pouvez pas tourner sur la rue du Renaud-Bray et que vous devez aller tourner 2 kilomètres plus loin, ça se complique. Enfin, j'ai tourné en rond comme j'avais pas tourné en rond depuis que j'ai déménagé ici et que j'ai exploré tous les petits chemins environnants pour trouver les chemins les plus courts pour me rendre à peu près partout... Pour faire une histoire courte, j'ai découvert des coins que je connaissais pas et j'ai fini par trouver deux moyens d'accès au Renaud-Bray. Oui, deux. Ya personne d'efficace comme moi.

J'ai mis la main sur le fameux dictionnaire et je me suis fait transférer le Guide du rédacteur. Ce qui veut dire que je pourrai avoir la joie et le bonheur de retrouver le Renaud-Bray. Yay !

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