Friday, July 09, 2004

We're melting. Litterally. Or if we're not really, the butter is. It was almost all liquefied when I thought about it and put it in the fridge. We turned both blowers off and opened the window in our room, else we're going to die in our sleep.

To anybody who might've been planning to call me tomorrow, I will probably not be there, so try my cell phone if I don't answer, instead of leaving a message on the answering machine. I do intend to change the greeting tomorrow morning, and leave my cell phone number as an emergency number, but I might forget, so just so you guys know.

Suis donc allée travailler aujourd'hui, et encore une fois, je me suis faite traumatisée. (comme si j'avais pas eu mon quota de traumatismes cette semaine...) Enfin, ya un monsieur à la job qui était très gentil au début, mais qui s'est mis à m'apprécier spécialement et qui en est devenu fatiguant (je pourrais t'apprendre à danser... etc) mais jusqu'à maintenant c'était pas si pire. J'en était même venue à croire que mon charme, avec l'âge, n'opérait plus, enfin, avec les 40 ans et plus. J'avais plus de commentaires dégueus, simplement quelques petits commentaires cutes et endurables, et puis là, le foutu monsieur, il est arrivé à la job en me disant : "Bonjour, mon amour".
QUOI ? Mais bordel t'as comme 50 ans ! Et puis moi je suis obligée de faire semblant de trouver ça drôle ! Ensuite il a ajouté que j'étais "sexy", ce à quoi j'ai répondu quelque chose comme "ouais, cé ça, whatever". "Quoi, t'aimes pas ça te faire dire ça ?" "Non" "Okay, té belle, d'abord."

YUUUUUUUUUUUUUUUUUCK !
Alors ça y est, Tweety, je suis de retour en lice pour le titre de celle qui s'est fait agressée par le vieux le plus dégueu. Beat that, now !

Déjà que je ne déteste rien de plus au monde que de recevoir un compliment de quelqu'un (mises à part quelques rares personnes que je connais bien) parce que je viens juste super mal à l'aise, comme si je le méritais pas, et je sais juste faire un petit sourire stupide en articulant un petit "merci" parfois accompagné d'un "cé gentil" tout aussi stupide. Mais là si cé rendu que je dois accepter des trucs aussi dégoûtants, qui sont aux yeux de leur émetteur (joke de linguistique ! joke de linguistique !) un réel COMPLIMENT, je sais pas combien de temps je vais encore rester envie.

Donc, entre mon stage dont je n'ai pas de nouvelles, mes cours, ce monsieur-là, l'invivabilité dans l'appart', le dégât d'eau, FutureShop et les assurances, je crois pas rester en vie encore très longtemps. Profitez de moi tant que je suis encore là.

Euh... c'était pas exactement ce que je voulais dire. Disons plutôt : profitez de ma présence... ;)

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